ELECTIONS,
Votation citoyenne le 7 décembre
Les citoyen(ne)s indrien(ne)s sont
invité(e)s à se prononcer
pour ou contre le droit de vote des
résidents étrangers !
Dans
l'Indre, un collectif (1) s'est organisé pour
que le 7 décembre il soit possible à toute personne de voter «Oui»
ou «Non» au droit de vote des résidents étrangers aux
élections locales.
A cet effet, six bureaux de vote (Châteauroux
Centre universitaire, Châteauroux Centre social Saint Jean, Issoudun :«Maison
d'Issoudun et du Berry», Le Blanc : salle Rabelais, La Châtre :
salle n°2 -rue l'Olmor, Argenton : salle Charles Briallaud).
Chaque citoyen pourra voter dans le bureau de son choix, entre 9h et 17h.
Le collectif annoncera le soir-même les résultats à 18h30
au Centre universitaire de Châteauroux.
Cette «votation citoyenne»,
qui va se tenir dans toute la France les 6, 7 et 8 décembre, est d'autant
plus justifiée et d'actualité que le droite de vote des résidents
étrangers aux élections locales vient d'être, une nouvelle
fois, refusée.
Or, comme le souligne le Collectif, «seule
la participation pleine et entière de tous les citoyens à la vie
de la cité garantit la cohésion sociale. Certains sont mis à
l'écart de la participation électorale alors qu'ils peuvent voter
aux élections professionnelles, scolaires, associatives, syndicales...»
Dans l'Indre, le 7 décembre donc, chaque citoyen aura la liberté
de s'exprimer favorablement ou non. «Un «oui» franc et massif,
commente le Collectif, démontrerait la volonté des citoyens de France
de ne plus laisser perdurer une inégalité en droits entre étrangers
communautaires (actuellement potentiellement électeurs et éligibles)
et extracommunautaires. Il est pourtant réclamé à ces derniers
les mêmes devoirs que tout autre contribuable, paiement des impôts,
des taxes professionnelles... La reconnaissance du droit de vote des étrangers
aux élections locales demeure plus que jamais indispensable dans un contexte
de xénophobie grandissante».
(1)
Sont membres du collectif : Ligue des Droits de l'Homme,
Vivre Saint-Jean, Femmes Solidaires, Les Verts, Pastorale des Migrants,
Relais étrangers de l'Indre, Ligue de l'enseignement,
SGEN-CFDT, UNSA, PCF, PS, Attac 36, FSU.
| Et
de deux !
Les mutations dans la préfectorale, ça n'arrête
pas.
Preuve en est après le départ de Mme Boquet, Préfète,
c'est au tour de Mme Misson, Sous-Préfète du Blanc, dont nous dépendions
directement.
Son remplaçant nous est, à ce jour, inconnu.
Nous, nous l'aimions bien aussi, Madame la Sous-préfète.
Mme la Sous-Préfète
Sylvette
Misson, photographiée ici, en août 2002, lors de
la Foire Ovine de Saint-Benoît.
Une photo qui montre bien qu'il faut
souvent être encadré par 3 grands costauds afin d'éviter les
éventuels assauts de quelques petits béliers en quête d'occasions
(ou de subventions) ! | En
attendant de le savoir, voici déjà quelques réflexions de
la NR, publiées il y a quelques jours :
"Le Blanc : la sous-préfète nommée en Alsace
Moins
de deux ans après son arrivée dans l'Indre, Sylvette Misson quitte
la sous-préfecture du Blanc pour rejoindre celle de Guebwiller, dans le
Haut-Rhin.
Le 14 novembre, Sylvette Misson fera officiellement ses adieux à
tout ce que le pays blancois compte de représentants de l'État,
d'élus, à celles et ceux aussi qu'elle aura eu l'occasion de côtoyer
au hasard de ses sorties officielles ou de manière plus intime.
Nommée
le 1er janvier 2000, la sous-préfète du Blanc s'en va. Elle rejoindra
très bientôt sa nouvelle affectation : une autre sous-préfecture,
celle de Guebwiller, dans le Haut-Rhin.
Originaire du Puy-de-Dôme et
âgée de 56 ans, Mme Misson aborde ainsi une nouvelle étape
dans sa vie professionnelle marquée par des séjours à Vitry-le-François,
Sedan, Nantes, Provins ou bien encore Auxerre.
Après un détour
par le tribunal administratif, elle retrouvait un poste de terrain au Blanc où
elle a su se faire apprécier par son efficacité, sa constante recherche
du dialogue et sa simplicité. [...]"
Et
la NR ajoute plus loin :
"Si le nom de son successeur n'est
pas encore connu, nous interdisant de lui souhaiter la bienvenue dès à
présent.
Qu'il nous soit permis, en revanche, de souhaiter bonne chance
à Mme Misson dans ses nouvelles fonctions alsaciennes."
Qu'il
nous soit permis aussi de lui souhaiter un bon séjour sur les bords du
Rhin.
Mais en plus de devoir apprendre quelques mots d'Alsacien, patois germanique
comme chacun sait et plus difficile à appréhender que le patois
berrichon, il lui faudra connaître les bonnes blagues racontées en
Alsace. Exemple celle-ci :
"Quelle différence il y a-t-il
entre un Haut-Rhinois et un Bas-Rhinois ? Et bien, le premier n'est toujours
pas descendu de l'arbre ! (Roger SIFFER) Son
remplaçant devra, lui, suivre les dossiers douloureux dont nous parlions
le mois dernier, et particulièrement celui du CET de Mouhet qui échauffe
déjà les esprits de notre canton. |
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Début |
Bonjour,
Monsieur le sous-préfet ! |
Monsieur
Michel CAMUS nous vient de Romorantin-Lanthenay...
Échappant de peu au désastre annoncé de l'entreprise
MATRA, et venant dans la Brenne, il aura certainement des dossiers moins
sulfureux à traiter.
Encore que le CET (désastre) de Mouhet est sur son secteur.
Et
il y aura aussi, dans le domaine de l'agriculture, le problème des
CTE.
Nous, nous l'avons rencontré (lors des voeux du député-maire
Jean-Paul Chanteguet au Blanc).
Mais notre nouveau sous-préfet laisse planer le doute... Jusqu'à
maintenant rien sur lui dans la presse locale... pas la moindre déclaration
officielle (Au Blanc, il est resté muet) !
Le
personnage est discret et semble ne pas trop aimer les photos… encore
que allez savoir !
Nous, avant la NR, on vous donne son CV et on vous montre une photo faite
au Blanc (voir plus haut) :
|
Monsieur
Michel CAMUS
Né le : 21/02/1945
Profession : Sous-préfet
Mandats :
----
Diplômes :
Licence
d'histoire
Maîtrise de philosophie
Parcours :
- Adjoint au sous-directeur chargé de l'archéologie
à la direction du Patrimoine du ministère de la Culture
(1975-1982)
- Chargé de mission de préfiguration à l'Établissement
public du Grand Louvre (1982-1984)
- Chef du bureau des Monuments historiques n'appartenant pas à
l'État à la direction du Patrimoine du ministère
de la Culture (1984-1986)
- Secrétaire général de la Mission de réaménagement
du Musée des Plans en relief aux Invalides (1986-1988)
- Chef du bureau des entreprises publiques maritimes à la direction
de la Flotte du commerce au ministère de l'Équipement,
des transports et de la mer (1989-1992)
- Sous-préfet de Loches (1992-1995)
- Sous-préfet de Châteaudun (1995-1998)
- Sous-préfet de Romorantin-Lanthenay (1998-novembre 2002)
- Sous-préfet du Blanc (décembre 2002- )
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Photo Marcel LORRE |
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Début |
Les
Vieux du maire pour 2003 ! |
Poubelles's
boy !
Selon
la NR du 16/01/2003, monsieur le maire de Saint-Benoît-du-Sault n'hésite
pas à se mouiller devant la population… âgée de
la commune.
Vous trouverez ci-dessous la prose en question.
Au cours du repas des anciens, il s'est donc rapidement dédouané
du nouvel impôt que les Bénédictins ont payé,
ou vont avoir à payer.
Il a oublié une chose :
53
357 euros soit 350 000 F sont passés,
dans le budget 2002, du poste "ordures ménagères"
à un poste inconnu du budget bénédictin.
Enfin, cela n'est jamais qu'une partie (ou presque) du coût prévu
pour le somptueux bureau (avec jardin d'hiver privatif, s'il vous plaît)
qu'il souhaitait se faire aménager dans la future nouvelle mairie.
Ou encore une partie de la somme prélevée sur le budget 2002
pour acheter la maison Cogne.
Aurait-il
même oublié qu'il est Vice-Président du SICTOM du Rasimier,
qu'il a choisi l'emplacement des points de collecte dans notre belle cité,
et qu'il a voté le montant des redevances ?
Il est vrai que l'on peut dire n'importe quoi aux anciens, surtout pour
se faire réélire !
Cherchez la faille !
 |
"Le
repas des anciens
(légende
photo : Avant de glisser les pieds sous la table, dimanche dernier au
banquet offert par la commune.)
Soixante-dix personnes, les 70 ans et plus de la commune de Saint-Benoit-du-Sault,
se sont retrouvées dimanche autour du banquet annuel offert par
la municipalité. Cette rencontre a été l'occasion
pour le maire Marc Dumont, exceptionnellement accompagné de son
épouse, de présenter ses vœux et de donner quelques
informations sur la vie de la cité. « Les personnes
qui n'ont pu assister à ce banquet se verront remettre comme
l'an dernier un cadeau à domicile », a-t-il annoncé,
sans oublier de faire remarquer que la date de cette rencontre avait
été déterminée un peu tôt dans ce
mois de janvier et que nombre de personnes âgées n'étaient
pas encore revenues de leurs vacances en famille.
Le maire a également annoncé qu'une autre solution était
à l'étude concernant le marché du samedi, que beaucoup
ne fréquentent plus depuis qu'il a lieu place Hervé Faye.
« Quant au cadeau empoisonné
de ce début d'année, c'est bien le tri sélectif »,
ajoutait le premier magistrat de la commune, en signalant toutefois
qu'il fallait démarrer ce service au 1er janvier pour bénéficier
d'une TVA à 5,5 %.
Dans son discours, Marc Dumont a souligné l'excellent travail
de l'équipe ASSIDO, des docteurs Barbier puis Isambert qui ont
redressé très efficacement une situation catastrophique
des soins infirmiers à domicile, et félicité l'action
bénévole de madame Bost au sein de l'ADS, qui a permis
d'effectuer près de 5.000 toilettes l'an passé. Les 70
ans et plus ont ensuite levé le verre de l'amitié et fait
honneur au banquet qui n'aurait su se terminer sans quelques pas de
danse."
|
Guy
Carlier, sur France-Inter, pourrait dire (à ce sujet) que c'est
dans les vieux pots de la démagogie que l'on fait la meilleure soupe
!
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|
Début |
Brèves
(de comptoir ?)... |
Un
adjoint chez les pandores !
- Paraît qu'un adjoint
bénédictin aurait porté plainte contre X pour "attentat
au moral des troupes municipales" ?
- Oui, mais pourquoi contre X, puisqu'on les connaît tous, les responsables
des maux qui frappent notre commune !
-T'as raison, car si les corbeaux croassent si fort à Saint-Benoît,
c'est sans doute aussi parce que la municipalité multiplie les couacs !
- Oui, cela nous prévoit donc un joli concert pour la Pentecôte !
Repas
des Anciens.
- Alors Grand-Père, t'as été au repas des Anciens du
dimanche 12 ?
- Et non, Jeunot, bien que retraité, paraît que j'n'ai pas
encore l'âge (70ans) d'être invité à la fête.
Et je ne dois pas être un électeur intéressant pour
le maire.
- Ben, tu te rattraperas en te faisant rincer la dalle à la présentation
des voeux...
- Là, je crois que tu rêves un peu... sauf si le maire venait
ici offrir sa tournée, mais c'n'est pas le genre.
- Ouais, et dans ce cas, il serait bien capable de se faire rembourser la
note de frais par vote du prochain conseil !
Concernant
Saint-Benoit, la NR du 23/01/2003 nous faire part d'une curieuse nouvelle
:
"Surconsommation d'eau potable.
Le réseau d'eau connaît actuellement une surconsommation inhabituelle
qui pourrait être due à des ruptures de canalisations suite
au dégel. Chacun est invité à vérifier ses installations.
En cas d'incident, prévenir la mairie au 02.54.47.51.44."
En fait, nous avons trouvé dans la même page, même colonne,
les responsables.
Ceux qui s'entraînent pour :
'"Thé dansant.
Dimanche 26 janvier, à partir de 15h, au foyer rural, thé
dansant du Club de football animé par Maurice Guelpin. Réservations
au 05.55.76.26.77."
À cette lecture, nous avons quand même eu un léger doute
sur l'exactitude de la localisation à Saint-Benoît, et nous
avons tendance à penser qu'à la rédaction de la NR,
nos confrères ne consomment pas que du Thé...
Un
conseiller municipal râle...
Car il se ferait régulièrement souffler dans les bronches
par les gendarmes, qui seraient vraiment écoeurés du spectacle
peu ragoûtant qui s'offre à leurs yeux depuis les fenêtres
de la gendarmerie et de leur casernement.
En effet, les containers placés sur la place ne suffisent pas, et
c'est un amoncellement de sacs-poubelles, et autres détritus, qui
s'accumulent autour d'eux.
Mais que fait la police ?
Ite
missa est...
Monsieur le maire n'a guère d'idée sur l'avenir du Prieuré.
Dieu en est témoin!
On va d'ailleurs finir par croire qu'il ne croit vraiment pas au SIVU, projet
que M. Mayaud a défendu devant le conseil du 14 mars 2003.
Il est vrai que dans la NR du 15/02/2003, il y avait une erreur commise
par un confrère, erreur que nous avions commise aussi.
En effet on pouvait lire dans la NR précitée :
"Un projet pour l'ancien prieuré de Saint-Benoît
L'ancien prieuré de Saint-Benoît-du-Sault, un ensemble architectural
des XVIIe et XVIIIe appartenant à la ville de Bondy et inoccupé
depuis une dizaine d'années, devrait être racheté par
un Syndicat à vocation unique rassemblant toutes les communes du
canton. Le projet a été présenté hier aux élus
du chef-lieu par le conseiller général Gérard Mayaud.
Le but de l'opération est d'assurer la sauvegarde du site, considéré
comme un des fleurons du patrimoine de la région. La ville de Saint-Benoît-du-Sault
n'ayant pas les moyens d'acquérir et surtout de restaurer un bâtiment
de 2.500 m2 habitables dont le réaménagement avoisinerait
les sept millions d'euros, un syndicat réunissant les quatorze communes
du canton sera donc créé. Cette structure
deviendrait propriétaire de l'ancien prieuré et aurait plus
de poids pour solliciter les subventions nécessaires à la
deuxième phase de l'opération : la création d'un centre
de rencontre du paysage. Les lieux seraient ensuite mis à
disposition de l'association gestionnaire sous forme de convention bail.
« Le dossier est bien parti » affirme Gérard Mayaud qui
va poursuivre les démarches au cours des semaines à venir."
Et sur notre site aussi, la même erreur :
"Non, car au conseil municipal, où le Budget 2003 n'est
pas programmé, il sera débattu d'un sujet d'importance pour
Saint-Benoît :
Le SIVU du Centre du Paysage (Syndicat intercommunal
à vocation unique), donc l'achat du Prieuré à la ville
de Bondy.
Pour défendre le projet du Centre, ce sera Gérard Mayaud,
conseiller général, qui parlera devant les élus bénédictins.".
Pan sur le bec, car le SIVU proposé par Gérard Mayaud n'est
prévu que pour acheter et rénover le Prieuré.
Mais pas pour s'occuper de ce que l'on y fera. C'est effectivement une autre
affaire.
Et comme le disait ce même jour, Gérard Mayaud :
"Ce n'est pas parce que la Loi de Séparation
de l'église et de l'État a rendu les maires, propriétaires
des églises, que ce sont à eux de dire la messe !"
Seulement, le maire de Saint-Benoit n'a pas l'air d'aimer les erreurs, sauf
les siennes pour lesquelles il doit, probablement, se confesser.
Ce qui est prouvé par sa réponse publiée dans la NR
du 19/02/2003 dont nous vous passons l'extrait publié :
"«L'avenir du
prieuré préoccupe l'ensemble des élus du canton. […]
La commune devra renoncer à ses droits pour permettre à un
SIVU cantonal de faire l'achat de cet ensemble immobilier.»
Après avoir fait le tour des différentes charges financières
liées à ce rachat, le besoin de les chiffrer et les aides
qu'il faudra solliciter,
M. Dumont s'attarde sur l'annonce de la création d'un centre
d'étude de paysage et précise qu'elle
«n'est pas envisagée dans l'immédiat et pour cause :
aucune structure porteuse d'un projet aussi lourd n'existe. En particulier,
les conditions de création d'une communauté de communes élargie
n'existent pas. Pour cette raison, la municipalité de Saint-Benoît
n'accompagnera pas un processus de fuite en avant dont chacun sait qu'il
n'est pas viable».".
Deo gratias !
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Début |
St-B:
Un conseiller municipal démissionne... Encore ! |
Boulettes
de Fioul dans la NR qui nous délivre, en page 2/Indre du 04/01/2003,
l'article suivant :
"Saint-Benoît-du-Sault
encore une démission
« Monsieur
le maire, je viens vous remettre ma démission du conseil municipal.
En effet, je ne trouve plus dans celui-ci les orientations et l'esprit
qui ont motivé mon adhésion. Je ne crois pas devoir
poursuivre dans la perspective actuelle, absente de toute concertation
constructive. Respectueux de tous, cette prise de position n'engage
bien évidemment que moi-même… »
En remettant, mardi, sa lettre de démission au maire Marc Dumont,
Jean-Pierre Montané, conseiller municipal, vient allonger la
liste des élus démissionnaires de la municipalité
de Saint-Benoît-du-Sault. Après les démissions
des adjoints Pierre level et Jean-Claude Bourgoin – qui continuent
néanmoins à siéger –, et celle d'Isabelle
Marin, un vent de fronde continue donc de souffler sur la mairie de
Saint-Benoît.
Interrogé
sur cette dernière démission, le maire ne veut pas parler
de crise municipale : « Je m'attendais depuis un moment
à la décision de M. Montané car je sais qu'il
a des problèmes professionnels, commente Marc Dumont. Il n'est
pas facile de partager sa vie entre Saint-Benoît-du-Sault et
des activités extérieures. Je pense que derrière
cette démission, se cachent d'autres soucis… »
Cette situation ramène le conseil municipal de Saint-Benoît
à treize élus." |
Contrairement
à ce que dit la NR ce n'est jamais que le troisième démissionnaire...
Il ne reste donc que 12 élus !
Qu'un conseiller décide de quitter un navire qui fait eau de toute
part, il n'y a maintenant plus rien de surprenant !
Mais que le maire de Saint-Benoît s'empresse de délivrer sa
réponse, en soulignant de soi disants problèmes professionnels
que connaîtrait le conseiller démissionnaire, c'est une attitude
pour le moins cavalière (pour ne pas dire ignoble), surtout avec
quelqu'un qui l'a mis en place.
Et même si les difficultés étaient réelles, en
quoi cela le concerne-t-il, lui le maire qui n'a mis que 10 mois à
découvrir la déconfiture financière d'une de ses locataires ?
Ce maire qui prétendait, pour se faire élire, développer
la vie commerçante et artisanale bénédictine, voudrait-il
rendre notre commune aussi stérile et aussi polluée qu'une
côte Basque ou Bretonne après le naufrage d'un pétrolier ?
Il faut croire que oui !
Car en "taillant un short" à quelqu'un qui ne lui devait
rien pour son activité professionnelle, pas plus que pour les locaux
dans lesquels il pratique son artisanat (et là, tout le monde ne
peut pas en dire autant) et dont nous avions constaté l'indépendance
d'esprit, il confirme (le maire) son désintérêt pour
le devenir de sa commune !
En cela, il se comporte un peu comme ceux dont parlait, en ce début
d'année, le Président de la République : "un
voyou des mers" [1]
Après avoir déversé ses boulettes polluantes sur les
bords de l'étang de Saint-Benoît, il en rajoute, accusant un
de ses marins d'en être la cause.
Contre de tels maires pollueurs, faudra-t-il un jour créer un corps
de "Gardes-côtes", pour éviter que de tels inconscients
nous les brisent (nos côtes)?
Alors maintenant, A QUI LE TOUR ?
Car il faudra bien qu'un jour, comme le laissait entendre le président
de tous les Français, les pollueurs soient les payeurs !
Le
OuaibMaistre.
[1]
PARIS, 3 jan (AFP) extrait :
Vendredi, en Conseil des ministres, le chef de l'Etat a haussé le
ton pour dénoncer "des hommes d'affaires véreux, des
voyous des mers". Il a clairement désigné les fautifs:
"les capitaines, les propriétaires, les affréteurs des
bateaux-poubelles, les sociétés de classification et les assureurs
de tels navires, les sociétés gestionnaires des pavillons
de complaisance".
|
|
Début |
Démission
d'un conseiller municipal (suite) ! |
Visiblement
pas trop rancunier, Jean-Pierre Montane, après le commentaire du
Maire de Saint-Benoît au sujet de sa récente démission
(NR du 04/01.03).
Il la confirme dans la NR du 07/01/03, comme il nous l'avait déjà
confirmé trois jours avant.
La NR commente donc sobrement ce rappel de l'ancien élu, en indiquant
: "L'élu démissionnaire persiste
et signe..." et que "Au
lendemain de cette parution accompagnée d'une réaction du
premier élu de la commune, M. Montané tient à préciser
qu'aucune autre raison que celles qui étaient liées à
son engagement municipal ne motive aujourd'hui sa démission".
Il n'y avait bien que le maire pour penser le contraire, et surtout le cier
sur les toits... comme les corbeaux !
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Début |
Comme
un oiseau sans ailes !
(28/01/2003)
|
Nous
avons récemment reçu "l'indépendant Bénédictin".
Mais, au moins, ce texte était signé de son auteur.
Mais voici que "Le corbeau bénédictin"
(surnom donné à l'unanimité par tous les collaborateurs
de st-benoit-du-sault.info, pour ce poulet anonyme)
vient de livrer sa deuxième édition.
Si nous remercions son auteur de nous l'avoir adressé par courrier
(dans une enveloppe libellée en lettres-bâton et, comme l'indique
le cachet, expédiée le 27/01 d'Argenton-s/Creuse), nous n'avons
toujours aucune idée de son origine.
Mais, à sa lecture, et parce qu'il contient quelques réflexions
importantes et intéressantes sur la vie communale, nous avons décidé
de le publier, mais...
Mais en censurant quelques passages qui nous semblent litigieux - voire diffamatoires
ou insultants - car nous ne voulons pas être complices d'un franchissement
de limites !
Ce texte, emmanant d'électeurs de la nouvelle municipalité,
démontre bien l'incapacité de cette municipalité à
gérer correctement les affaires de notre commune.
De plus, il atteste que la lettre adressée à la population par
les élus de l'ancienne municipalité est une des seules propositions
constructives faite, dans cette commune, depuis les dernières élections
municipales.
Bon, on vous livre le poulet... mais rogné de quelques ailes :
|
Comme
on l'a reçu !
|
"Chers bénédictins
Nous sommes écoeurés de voir que c'est l'ancien conseil
municipal qui est obligé de présenter des solutions concrètes
en matière de ramassage d'ordures ménagères, les
élus semblant bien incapables d'écouter tu revendications
des gens.
Même l'indépendant bénédictin, le "transparent
bénédictin" critique, mais n'apporte rien en guise
de solutions, il ménage tout le monde, ... [CENSURE]...
!
Messieurs D., D., C., et B. [noms censurés],
le temps des propositions est révolu, ça, c'était
pendant la campagne.
Vous souffrez. tous d'un mal chronique à passer à l'action.
Pourtant, les promesses ont été faites et vous tous frappiez
à nos portes en nous vantant les mérites de votre liste.
Vous avez donc menti, et aujourd'hui, vous ne pouvez même pas
dire que vous vous êtes trompés. vous n'avez encore rien
fait !
- rien fait pour le centre bourg, rien pour la grande rue et ses commerces,
rien pour mettre en valeur le patrimoine.
Rien encore en matière de sport, les promesses dont parlent les
dirigeants du club de foot sont sans doute bien réelles, qu'en
est il ?
- Qu'en est il de la situation financière de la commune que Monsieur
le traire jugeait peu enviable lors de ses voeux 2002 ?
- Avez vous, chers conseillers, pris soin des recettes communales, avez
vous respecté le budget que vous aviez voté ?
- Nous demandons à tous les conseillers de faire entendre leurs
voix et leurs idées,
Ne laisser pas les décisions importantes aux seules mains malhabiles
du maire et de ses adjoints.
Si vous juger qu'il est impossible de se faire entendre, prenez, vos
responsabilités !
Maintenant, nous aimerions dire au maire, que, être maire ce n'est
pas mépriser les gens et leurs idées, même celles
de ses amis conseillers.
-agir en comité restreint, même contre l'avis du conseil
comme cela a été fait pour l'emplacement de la plate forme
de déchets route de Chaillac.
-se mettre mal avec tous les maires des communes voisines
-chercher à tout prix l'objectif de la Nouvelle République
pour voir son portrait dans les journaux.
-envoyer ses ... [CENSURE]... !!
-tenir des propos diffamatoires à l'encontre d'un conseiller
qui démissionne.
Nous
nous excusons d'avance auprès des gens de ne pas signer explicitement
nos lettres, mais nous avons tous encore quelques intérêts
à St Benoit et le maire n'apporte pas les gages suffisants
de respect de l'autre. pour que trous agissions sereinement. Vous
qui, comme nous avez élu ces gens, venez vous rendre compte
par vous même de notre erreur, venez assister au conseil municipal.
Comité
pour un nouveau St Benoit" |
|
|
Début |
Quand
"Je" se prend pour un "Comité" ! |
La
manie des textes sans signature semblait avoir cessé....
Mais en voici un nouvel avatar, envoyé fin décembre
par courrier, ou bien encore glissé dans les boîtes
à lettres
(c'est selon).
Cette dernière livraison est loin de valoir les précédentes
puisqu'elle ne porte sur aucun point particulier... Et ne semble
pas être d'une grande qualité syntaxique.
À Saint-Benoît, on connaît un individu qui écrit
ses lettres à la troisième personne du singulier (façon
Alain Delon).
L'auteur de ce poulet, lui, doit faire dans le clonage "façon
secte extra-terrestre" pour se multiplier à outrance !
Et cela est prouvé par l'emploi d'un "je"
révélateur qui prouve bien que son "comité"
ne doit comprendre qu'une unique personne : son auteur !
Sur ce site, nous n'hésitons pas à vous le livrer
:
|
"St
Benoît du sault
Le 30 Décembre 2002
Chers bénédictins,
Inutile de se voiler la face. je crois
que nous sommes tous installés dans une belle galère
!
Nous avons sans aucun doute commis une énorme erreur en croyant
qu'une équipe municipale neuve et inexpérimentée
viendrait à bout de nos préoccupations quotidiennes.
Après un an et demi, c'est un cuisant échec !
Tout d'abord, les promesses non tenues, village fleuri, nouveau stade
et installations dignes de ce nom, un centre ville vivant mais surtout,
du dynamisme !
- Les deux sapins qui ornent la rue principale de St Benoît
sont à l'image de la municipalité, sans queue ni tête
!
Beaucoup disent que le changement de premier adjoint a marqué
le « début de la fin », il est vrai qu'à
ce jour, notre bel administré fait beaucoup de vent, s'écoute
beaucoup parler, mais il ne répond jamais à nos attentes,
et pourtant, lui,
il criait haut et fort qu'il allait tout changer !!
La gestion du personnel municipal est une véritable catastrophe,
l'absentéisme récurent depuis quelques mois en est la
preuve.
D'ailleurs. l'absentéisme au conseil municipal n'est pas non
plus digne de la confiance que les bénédictins ont donné
à cette équipe !
-Nous
déplorons aussi le manque d'information au sein même
du conseil (dossiers non préparés), à tel point
que la question revient sans cesse sur la table, existe-t-il encore
une équipe municipale, entre un maire qui taille des costards
à ses conseillers et adjoints, et quelques conseillers qui
aimeraient voir partir le maire.
-Nous
passerons sur le dossier sensible des ordures ménagères,
les coupables de ce désordre ne sont pas à St Benoît
!
Une nouvelle année va commencer, ce conseil municipal va continuer
à gérer à !a petite semaine, en voulant nous
faite croire qu'ils ont les choses en mains.
Vous, qui comme nous et des dizaines, avez élus ces personnes
en tout bonne foi,
Venez assister en nombre aux prochains conseils pour vous rendre compte,
par vous même de la médiocrité de ces quelques
personnes, qui décident pour nous.
Ceux qui ont démissionné auront eu le mérite
de ne pas cautionner cette gestion accablante et désastreuse,
l'honneur est sauf !
A
tous, bonne et heureuse année 2003.
Comité
pour un nouveau St Benoît."
|
Qu'un
Maire-adjoint de Saint-Benoît (celui qui a l'air de se prendre une
baffe dans le texte reçu) laisse entendre, en public, que le Ouaibmaistre
(Marcel Lorre) en serait l'auteur, cela n'étonne guère mais
cela prouve au moins une chose :
C'est qu'il a un manque total d'imagination !
Car s'il en avait, il comprendrait vite qu'il lui faut essentiellement chercher
ce genre d'auteur dans les rangs de ses électeurs... Et peut-être
même dans l'actuelle équipe municipale !
Certains
pourraient penser que notre site ne respecte rien. Ils se trompent !
Nous avons eu un coup de coeur pour un site qui parle d'une église,
et de son orgue...
L'orgue de l'église Saint-Génitour, sise au Blanc.
Le site est beau, bien que les images soient un peu longues à télécharger
(il
paraît que cela va être corrigé),
mais il permet de découvrir une des richesses de notre chef-lieu
d'arrondissement, que le ouaibmaistre avoue ne pas connaître. et de
connaître l'existence de la très récente Association
des Amis de l'Orgue de l'église St-Génitour,
En plus ce site, précis et documenté, a été
créé par un des deux organistes bénévoles, un
passionné de son art et de son instrument, sans aucun doute, qui
nous l'a signalé par un email sympa.
Alors à défaut de passer le portail de l'église, découvrez
déjà ce qu'elle contient.
http://orguestgenitour.free.fr
PS
: Il est hébergé sur Free.fr... et il semble que ce site soit,
comme le nôtre, interdit de visibilité par les logiciels des
collèges de l'Indre. Donc inaccessible à un jeune public…
on se demande bien pourquoi !
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Mon pauvre ami !
