<<retour à la page Index SICTOMl>>

SICTOM & nouvelle déchetterie du Rasimier
(décembre 2002 - Janvier 2003) :
Articles en ordre chronologique inversé:

- OM : Réactions et précisions (31/01/2003)

- O.M. : Une lettre de précision des élus de l'Ancienne Municipalité de Saint-Benoît (26/01/2003)
- 31 janvier 2003, Tribunal pour certains et Manif au Blanc ! (23/01/2003)
- La NR corrige l'erreur et apporte une précision de l'ancien Maire Jean Chatelut (02/01/2003) !

- La NR s'affole sur une diatribe... et se trompe ! (31/12/2002)
- Nous, en plus, on vous explique la magouille !(28/12/2002) !
- Monsieur Bourgoin n'aime pas trop que l'on s'assoie sur ses rapports, mais file un coup de main à Dumont (27/12/2002)!


350.000 F d'économie = 770 Francs à nous rendre !

Après les interventions de quelques-uns de ses conseillers, il aura fallu le courrier des élus de l'ancienne municipalité de Saint-Benoît, pour que le maire réagisse enfin.
Ben il était temps !
Nous l'apprenons dans la NR du 31 janvier, le jour même où les contestataires sont convoqués, et manifesteront au Tribunal du Blanc.
Le Maire déclare, enfin, dans un courrier adressé à Monsieur Nogrette, Président du SICTOM du Rasimier:
«Je ne puis, en tant que maire, être éternellement sourd
[ah bon, il l'était ?] aux demandes qui me sont répétées depuis des semaines ni, bien sûr, bloquer l'institution municipale qui, dans son ensemble, soutient ces exigences.
Je demande donc que le Rasimier provoque une assemblée générale afin d'examiner au plus vite les mesures d'améliorations que nous pourrions proposer : celles que les communes prendront immédiatement à leur charge, celles qui nécessitent un complément d'appel d'offre comme le ramassage porte à porte des déchets triés.»

La pratique du "c'est pas moi, c'est l'autre" est devenu une habitude chez lui, et il le confirme par ce texte.
En plus, en prétendant que les propositions des élus de l'ancienne municipalité «rejoignent celles présentées par l'association de défense des usagers du Rasimier», le maire fait un amalgame douteux puisque, jusqu'à maintenant, "l'association des usagers" ne faisait qu'attaquer le SICTOM, et non les maires responsables du chaos.
Bref, il n'est plus tout à fait sourd, mais il ne veut pas encore entendre...

Quand MM. Mayaud et Duplant, conseillers généraux des cantons de Saint-Benoît et de Belâbre, expliquent, selon la NR, que «Si certains ont pu être surpris de voir apparaître cette redevance c'est que, dans certaines communes, avant la création du syndicat, le coût du ramassage et du traitement était inclus dans le budget général de la commune. Une telle pratique est dorénavant illégale», Le maire de Saint-Benoît, se garde bien, lui, d'évoquer les 350.000 F. (environ) détournés dans son budget communal !
Certes, la responsabilité des opérations financières et contractuelles de certains travaux de ramassage n'est plus légalement du ressort des communes.
Mais qu'y aurait-il d'illégal à ce que ces communes apportent un PLUS aux services prévus lorsque ce PLUS est effectué par les employés communaux ?
Et qu'y aurait-il d'illégal dans une diminution de la taxe d'habitation ?
Rappelons que pour Saint-Benoit, 350.000 F ( 53.357€) divisés par 450 foyers fiscaux (environ) = 777 F. ( 118 €)
Soit plus d'un semestre de Taxe de ramassage des O.M. !

M. LORRE. (31/01/2003)

Précisions de l'ancienne municipalité !

Alors qu'en fin de semaine, le 31 janvier, de nombreux habitants de Saint-Benoît se rendront au tribunal du Blanc, les élus de l'ancienne municipalité réagissent dans un courrier distribué aux Bénédictins le dimanche 26 janvier. Vous en trouverez le fac-simile plus bas.
En recadrant la responsabilité du malaise et de la contestation sur l'actuelle direction communale, les anciens élus sortent évidemment de leur réserve et ils confirment la thèse de J.Cl. Bourgoin, actuel élu, déjà confirmé par l'ancien maire.

"Les ordures ménagères

La question des ordures ménagères nous force à sortir de notre réserve et à faire quelques propositions à la municipalité.

En effet, le service actuellement prévu est inacceptable :

- un seul ramassage par semaine des ordures ménagères
Ceci serait insupportable en été et dans de nombreux logements qui ne disposent pas de jardin
- obligation pour chacun de porter le résultat do ses tris dans des containers
Traverser la ville avec nos sacs verts et jaunes nous ramènerait à des temps très anciens et c'est tout simplement impossible pour de nombreuses personnes. De plus, un des lieux de dépôt est très mal choisi et dangereux.

Auparavant, Saint-Benoît se chargeait de l'enlèvement au porte à porte de tous les déchets
- les ordures ménagères deux fois par semaine,
- les verres, papiers et cartons une fois par mois.
Le budget communal finançait.
Lorsqu'il fallut se grouper avec d'autres communes pour un ramassage collectif, nous avions fait reconnaître par nos partenaires notre droit à deux ramassages par semaine.

Les habitants de Saint-Benoît doivent demander la continuation de ce service, c'est à dire :

- ramassage des ordures ménagères deux fois par semaine
Soit la municipalité obtient le passage de l'entreprise en faisant valoir l'économie de parcours et de temps dans une commune entièrement groupée,
soit la commune effectue elle-même ce deuxième passage

- ramassage au porte à porte, au moins une fois par mois, par les services de la commune de tous les produits triés - papiers - verres - emballages

- à ceci pourrait s'ajouter aussi un service régulier vers la déchetterie

Qu'on ne vienne pas nous dire que cela est impossible !
Chaque commune a non seulement le droit, mais le devoir d'apporter à ses habitants ces services qui sont habituels.
Un syndicat ne peut envisager toutes les situations particulières, c'est alors à chacune des communes de compléter ce service collectif.

Faut-il ajouter que les sommes consacrées autrefois à l'enlèvement des ordures - plus de 300.000 francs par an (45.000 Euros ou encore 30 millions de centimes) - n'ont pas été redonnées aux habitants qui payent maintenant une contribution élevée.
Ce serait donc la moindre des choses que ces sommes servent à maintenir un service indispensable à la population et même à lui en apporter de nouveaux.

les membres du précédent Conseil :
Mme D. Arraud, Mme E. Bost, M. Brossard,
J. Chatelut, J. Deforge, J. Dubois, R. Dupeux,
M. Gau, Mme R. Gerbaud, J.M. Lecesne,
J.F. Mercier, J. Morée, Dr. J. Pérot.

le 21 janvier 2003"

31 janvier au Blanc : Tribunal et Manif !

Comme l'indiquait J.-M. B. dans la NR du 22/01/03 : "... Le tri sélectif passe mal dans le secteur de Saint-Benoît-du-Sault. Les usagers vont contester le montant de la redevance au tribunal du Blanc."
Une pétition critiquant le système de redevance et son montant aurait déjà recueilli près de 1200 signatures.
Et notre confrère indiquait aussi que "Certaines personnes n'ont donc pas réglé la taxe réclamée par le SICTOM gestionnaire, d'autres n'en ont payé qu'une partie. Une cinquantaine d'usagers ont même saisi le tribunal d'instance du Blanc pour faire valoir leurs arguments, et l'audience donnera lieu à un déplacement en groupe, le 31 janvier.".
Ce que notre confrère ne savait pas, c'est que lors de cette audience, les maires des communes dans lesquelles résident les habitants qui ont saisi le tribunal, seront cités à comparaître !
Ensuite J.-M. B. ajoute que "l'association demande que les communes qui le souhaitent puissent sortir du syndicat pour bénéficier du bon rapport qualité-prix du tri sélectif de la CDC Brenne-Val de Creuse. Une structure où se trouvent déjà quatre localités du canton de Saint-Benoît-du-Sault : Sacierges-Saint-Martin, Chazelet, Saint-Civran, et Vigoux…"
Comme le souligne enfin notre confrère, cette solution n'est guère probable actuellement.
Cela parce que des communes font un barrage géographique, quand ce n'est pas un barrage politique, qui empêche un éventuel ralliement à la structure Blancoise et qu'en plus, les investissements déjà engagés ne permettent guère d'y songer dans un proche avenir.

Précision sur l'ancien Maire et la politique prévue !

Le correctif attendu n'est pas venu de M. Bourgoin, mais au moins celui-ci qui viens de l'ancien Maire confirme que l'actuel maire continue de mentir et que la précédente municipalité avait, elle, quelques idées et une vrai politique sur l'avenir de la commune.
Maintenant, qui pourrait en douter ?

de la NR 02/01.2003, page 2 Indre :

"Ordures ménagères de Saint-Benoît :
précision
Jean-Claude Bourgoin, dont nous avons publié la lettre dans notre édition de lundi 30 décembre, n'est pas l'ancien maire de Saint-Benoît-du-Sault, mais celui de Bonneuil, dans le même canton. L'ancien maire de Saint-Benoît est Jean Chatelut qui nous précise, à cette occasion, quelle était la position de la précédente municipalité sur cette question des ordures ménagères :
« Autrefois, l'ensemble du ramassage des ordures ménagères, plus celui des verres et des papiers était pris en charge financièrement par le budget communal. Dans la nouvelle organisation cantonale, nous avions prévu de continuer à faire ramasser, par les employés de la commune, tous les produits triés à chacun des domiciles et surtout d'alléger la redevance des particuliers de la somme très importante (environ 45.000 €) que la commune consacrait précédemment à ce service. Tout autre système représente en effet une double imposition ».


La NR engage une polémique.. à trier !

De la NR du 31/12/2002 Page 11 locale
ARGENTON/ CANTON DE SAINT-BENOIT/ SAINT-BENOIT-DU-SAULT

"Déchets ménagers
un échange de courriers

Comme il le précise dans l'en-tête de son courrier, JeanClaude Bourgoin est l'ancien maire de Saint-Benoît et, depuis mars 2001, "conseiller municipal indépendant". C'est à ce titre, alors que la grogne s'installe dans les foyers (voir la NR » du 30 décembre), qu'il vient d'adresser une lettre à son successeur, lettre rendue publique et dont voici quelques extraits.
"Voici plusieurs mois, je proposais des mesures par l'installation de plateformes, à divers points de notre village, afin de permettre eux habitants de ne pas avoir plus de 200 m environ pour la dépose des produits recyclés, ainsi que des conteneurs pour les ordures ménagères. Ce rapport est resté lettre morte, pourquoi ?"
Et de poursuivre : "Vous nous proposez un service public au rabais. Je propose que notre commune prenne en charge, dès le mois de janvier 2003, la collecte des produits recyclés avec distribution de sacs jaunes pour les plastiques, de bleus pour les papiers et journaux. Depuis un an, la commune économise plus de 53.000 €, ce que coûtait l'èlimination des ordures ménagères, maintenant supportée par la population par le biais de la redevance. Le coût de cette opération réalisée chaque semaine ne devrait pas dépasser la somme de 15.800 € par an. Reste à régler le problème si souvent soulevé des ordures ménagères qui trouvent place au coin de nos rues au départ des résidents".

La réponse de Marc Dumont
II va sans dire que Marc Dumont. maire de la commune, a aussitôt réagi en nous faisant parvenir une copie de la réponse qu'il a adressée à M. Bourgoin. Dans cette lettre, M.Dumont rappelle qu'à l'époque "où vous avez transmis vos propositions, l'assemblée générale du Rasimier avait déjà entériné le tri sélectif à partir de plateformes d'apport volontaire. Dès lors. nous ne pouvions nous opposer seuls au système choisi par la majorité. Vous savez d'ailleurs très bien que la gestion des ordures ménagères n'est plus de la compétence communale. Les commandes que pourrait passer la commune de Saint-Benoît pour des ramassages supplémentaires seraient de ce fait nulles et non honorées. Dans ces conditions, il est de notre devoir de démarrer le tri sélectif selon la méthode préconisée par le syndicat et d'observer avec soin la période de démarrage. Si des aménagements doivent être apportés, ils seront discutés rapidement avec le président du Rasimier."
"Certains, après avoir avalisé toutes les étapes du processus, se retournent aujourd'hui contre lui. Ce n'est pas ma façon d'agir et je rappelle que notre commune a adhéré sans hésiter et sans contrainte à cette structure. A nous de faire. dans la concertation, qu'elle fournisse un service adapté à la demande."

En lisant le texte ci-contre, il convient de marquer quelques précisions :
1/ Bourgoin n'a jamais été Maire de Saint-Benoît! Espérons qu'il demandera un correctif!
2/ Le fait est qu'il faut constater que Bourgoin voulait tendre une belle planche de salut au maire dont il a facilité l'élection (il n'est pas le seul) et que la population commence à trouver incapable.
Que le maire ne reprenne pas la balle au bond et refile, une nouvelle fois, le bébé en direction du SICTOM du Rasimier ne nous surprend guère, même lorsqu'il ose affirmer : "Certains, après avoir avalisé toutes les étapes du processus, se retournent aujourd'hui contre lui. Ce n'est pas ma façon d'agir et je rappelle que notre commune a adhéré sans hésiter et sans contrainte à cette structure.".
L'adhésion sans contrainte date de l'ancienne municipalité et non de lui. N'a-t-il pas déclaré, lors d'un conseil municipal : " S'il n'y avait que moi, je n'aurais jamais signé avec le Rasimier !"
Mais devenu Vice président du SICTOM, Il a aussi avalisé l'intégralité du processus, en se gardant bien de dire aux bénédictins que 53.000 F (dans le budget communal) affectés jadis au ramassage des ordures, avaient été affectés à d'autres postes budgétaires.
"".

3/ Cela nous confirme à quel point le maire méprise les Bénédictins, mais précise aussi une chose importante :
La campagne électorale pour les municipales de 2007 (ou avant) a, bel et bien, démarré, et nous assistons enfin à une lutte fratricide entre le maire et celui qui fut le premier adjoint du Fleurissement, mais qui nous affirmait encore récemment qu'il ne briguait pas la place de Maire !
Nous, nous n'y croyons plus.
Bon courage messieurs !


Mais ou est passé le fric ?

Explication de texte :

Certes, le SICTOM du Rasimier pose quelques problèmes.
Encore que ce soit souvent les maires des communes qui en soient la cause.
Pourquoi ?
Parce que dans quelques communes, comme Saint-Benoît et Roussines, le ramassage des OM était assuré, jusqu'au début de l'année 2002, en régie municipale… ce qui signifie que les employés communaux assuraient ce service, et que la commune incorporait dans son budget toutes les dépenses concernant le ramassage et l'évacuation des OM.
À Saint-Benoit, comme le confirme le courrier ci-dessous, le budget afférant aux OM était de 350.000 francs soit 53.357 Euros.
La nouvelle municipalité, déjà très empressée de refiler en 2001 ce travail à Onyx (qui ne l'a jamais assuré entièrement) a, dès la mise en place du SICTOM en janvier 2002, oublié sciemment ce poste budgétaire pour reporter cette somme vers d'autres dépenses.
Or, le SICTOM paye depuis le 1er janvier 2002 toutes les factures du ramassage des communes de son secteur.
Que ce soit celle d'Onyx ou celles d'autres prestataires de service.

Donc les factures de Saint-Benoît aussi !
Alors le maire aurait dû mettre le problème en débat dès l'élaboration du budget 2002 et aurait pu alors proposer trois solutions au vote de son conseil :
1/ reverser cette somme au SICTOM afin que celui-ci le prenne en compte et se charge de minorer la taxe des "bénédictins".
2/ Minorer elle-même la taxe d'habitation des Bénédictins pour compenser le déplacement de perception de la taxe des ordures ménagères vers le SICTOM.
3/ s'asseoir sur cette somme rondelette et en disposer pour d'autres besoins (justifiés ou non) !

Comme la commune et son maire ont tellement dépensé, tellement fait de cadeaux immobiliers en 2001, et que les caisses frisaient la déconfiture, il n'a même pas daigné mettre le problème évoqué par Bourgoin à l'ordre du jour d'un conseil.
Et c'est donc, faute de décision, la troisième solution qui a été retenue afin que ces 350.000 Francs masquent leurs inconséquences financières aux yeux de la population bénédictine : l'achat de la maison Cogne ou l'achat d'un tracteur, par exemple!
Non content de cela, le maire de Saint-Benoît qui est, ne l'oublions pas, Vice-président du SICTOM et qui a voté le montant des redevances dudit SICTOM, s'est empressé d'en rejeter la responsabilité sur les autres élus du Canton, et surtout sur M. NOGRETTE, son président et maire de Dunet.
On va finir par croire que cela devient une habitude chez lui de faire feu de tous bois lorsqu'il s'agit de rendre impopulaires ses confrères élus locaux!

Monsieur le Maire DUMONT a donc menti à un grand nombre de ses administrés qui râlaient, mais, de surcroît, à certains de ses conseillers qui s'indignaient d'une si brutale augmentation de "leurs impôts et taxes" [On en connaît!].
D'où un mécontentement parfaitement justifié, mais aussi une "grève du paiement de la taxe" qui ne se justifie pas.
Puisqu'en faisant grève contre le SICTOM, on en oublie la responsabilité du maire de Saint-Benoît.
La preuve par la Lettre ci-dessous!

Lui, au moins, sait-il de quoi il parle ?

En fait, il semble bien que Monsieur Bourgoin proposait une sacrée planche de salut à son maire !

Si la réflexion de Monsieur BOURGOIN semblait aussi pertinente, c'est qu'elle faisait suite à une fronde qui a pris naissance après un envoi tres voisin de deux taxes de ramassage d'Ordures Ménagères (OM), aux citoyens de Saint-Benoît.
Nous vous en expliquerons quelques raisons plus tard !

 

" Monsieur le Maire,

J'ai l'honneur de porter à votre connaissance ma réflexion concernant le remue-ménage dans le problème de recyclage. En effet, voici plusieurs mois dans un rapport je proposais des mesures, par l'installation de plateformes a divers points de notre village, afin de permettre aux habitants d'avoir pas plus de 200m environ pour la dépose des produits recyclés, ainsi que conteneurs pour les ordures ménagères.

Ce rapport est resté lettre morte, pourquoi ?

Aujourd'hui, ceux qui ont décidé de mettre en place un système d'apport volontaire, dont vous faites partie, ont oublié que nous sommes en zone rurale, que nos communes comptent de nombreuses personnes âgées ou handicapées, et souvent dépourvus de véhicules, vous nous proposez un service public au rabais.
Dans ces conditions, je propose que notre commune prenne en charge dès le mois de janvier 2003, la collecte des produits recyclés, avec distribution de sacs jaunes pour les plastiques et sacs bleus pour les journaux et papiers.
Depuis un an, la commune économise plus de 53 357 euros soit 350 000 F, ce que coûtait l'élimination des ordures ménagères, qui est maintenant supportée par la population par le biais de la redevance.

Le coût pour notre budget pour cette opération réalisée chaque semaine ne devrait pas dépasser la somme de 15 800 euros soit 100 000 F, et réalisée par nos services techniques.

Restera à régler le problème si souvent soulevé des ordures ménagères, qui trouve place au coin de nos rues au départ des résidents.

Attendez-vous Monsieur le Maire à répondre enfin à une demande bien légitime de la population.

Je vous prie de croire, Monsieur le Maire, à l'assurance de mes salutations.
Jean-Claude BOURGOIN "

Les contestataires contestent... pourquoi ?

   

à suivre...
Ces pages sont des pages d'informations générales sur la commune.

<<retour à la page d'accueil>>