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Dimanche 01 septembre, MOUHET, Brocante et Fête, dans le bourg.
Toute
la journée, Mouhet accueille sa 8ème foire à la brocante
vide-grenier et sa grande fête.
- 10h30 : animation avec le groupe
«Osmonde E Sau Bangounas».
- Midi : repas
champêtre
-
14 heures, ouverture de la fête par la course cycliste organisée
par l'USA,
- Ensuite : Le défilé de chars accompagné par
«l'entente
musicale Buzançais Saint-Genou» et
les «Osmonde
E Sau Bangounas».
Toute
la journée, pour les enfants, jeux des ciseaux, course à pied et
fête foraine, chevaux de bois, tirs, loteries et confiseries.
- Soir
: repas champêtre
- 22 h, un grand feu d'artifice qui précédera
le grand bal musette animé par la formation musicale « Les Fêtards
».
Une
musique de très haute qualité |
Avec
: - Dominique Aufrère à la clarinette - Frédéric Baudiamant au violon - Fabrice Coussoux à l'accordéon - Eddie Souchois au trombone | C'est
sur les plateaux de théâtre que ces quatre compères ont concocté
un répertoire des plus variés. |
"Je
veux dédier ce poème,
à toutes les femmes qu'on aime,
Pendant quelques instants secrets..."
C'est
du Brassens, du pur jus, du vrai, du juste.
Une
amie a décidé de nous quitter... un choix dont les conséquences
sont douloureuses pour tous ceux qui restent.
Je cherchais à lui rendre
hommage sur ce site.
Je me suis souvent demandé pourquoi elle dérivait
ainsi...
Sans doute parce qu'un jour, elle s'est rendu compte que celui en
qui elle croyait, se désintéressait d'elle.
Depuis rien n'allait
plus. La galère...
Qui utiliser, après Brassens, comme poète
de qualité, pour exprimer un état d'âme sur l'âme qui
venait de nous quitter ?
J'ai
trouvé quelqu'un... proche aussi, mais souvent lointain... je le cite
:
"Perdue dans son état civil,
le nez ancré dans ses bassines,
Bobonne, à la maison, servile,
a comme des idées qui ruminent,
des envies d'allers faire des tours,
du côté de la marge des jours,
se mettre un peu de chaud dans l'bide,
voir si c'est vrai qu'elle est frigide,
du haut de son cinquième étage,
sur des fenêtres embuées,
elle dessine des rêves noyés,
en arrière-plan de son naufrage,
les chevaux galopent sur la mer,
le garrot sur la veine se serre,
vers d'autres quais, d'autre rivages,
elle peut partir, elle n'a plus d'âge...
...Vers d'autres quais, d'autres rivages... ".
Voilà !
Tout ça pour dire adieu à Josianne C....
Et faire aussi un tristounet salut à Anne, sa fille.
PS : les vers ci-dessus sont d'Eric Laurent, qui a su, parfois, écrire des mots justes !
Trompe quoi? Tout
le monde à Saint-Benoit se posait une question : |
Un
retour auquel Les représentations auront lieu sur le parvis de l'église : vendredi 26 juillet à 21 h, "A quoi ça rime", ; samedi
27 juillet, "Le Cancan des corps
guerriers", à 20 h, -
dimanche 28 juillet : Entrée
: 7, 50 € ; Participation au repas du samedi : 7,50 €. | Au
cur de la cité médiévale de Saint-Benoît-du Sault,
les acteurs du Grand Théâtre continuent de se démener, investissant
les rues et les bistros, pour quelques joyeuses parades, en masques et en échasses,
au son de la flûte et du violon. Après plus de deux semaines de travail,
les choses vont leur train, sous un soleil très estival. Mais, à
trois jours des premières représentations, la cadence redouble :
le texte à peine terminé, les acteurs l'ont appris et les metteurs
en scène travaillent d'arrache-pied pour insuffler à tout le monde
leur énergie théâtrale. Les répétitions se multiplient,
sous le regard curieux de quelques Bénédictins venus y assister. En résidant trois semaines à Saint-Benoît, en réunissant acteurs, auteurs et metteurs en scène autour d'un même projet et en participant aux festivités de l'été (on a vu les acteurs se produire sur la grande scène du concert estival, entre Rose Laurens et Plastic Bertrand...), le Grand Théâtre cherche à créer un dynamisme festif, sans lequel le théâtre n'est qu'un morne exercice de récitation. Le résultat de ce grand chantier de création dirigé par Jean-Marc Luneau donnera lieu à une pièce, "À quoi ça rime" ("fabriquée" de bout en bout à Saint-Benoît) dans laquelle des souvenirs de poèmes rythment l'itinéraire d'un jeune couple, qui découvre une existence à la fois désespérante et réjouissante. Derrière eux, des figures masquées guettent... et tous les masques ont été créés sur place, dans un atelier où les enfants du Centre Aéré sont venus tous les jours, en compagnie des acteurs, tremper leurs mains dans la peinture et dans la colle... Mais, en plus de cette création " artisanale ", en plus des planches et des tréteaux, le Grand Théâtre cherche également à promouvoir des pièces contemporaines, peu connues ou peu jouées : c'est le cas, cette année, du Cancan des corps guerriers, un texte de Suzanna Prieto empreint d'une gravité sérieuse, mais traitée avec joie et légèreté, comme le veut François Tardi, le metteur en scène. En effet, si le théâtre n'a pas d'interdits, s'il a le droit de parler de la guerre et de la mort, les organisateurs du festival de Saint-Benoît ne veulent pas d'un art dogmatique ou didactique : leur ambition est toujours de montrer sur scène quelques esquisses possibles d'une vie différente, plus ou moins belle, et de glisser quelques bribes sérieuses, sur fond d'humour et de rire. Ce que le Grand Théâtre cherche à faire vivre, ce n'est donc pas un théâtre prétentieux et sûr de lui, mais un moment de fête créatrice à laquelle tout le monde est convié. Le plaisir de jouer, les acteurs ne le garderont pas pour eux : ils le transmettront au public, et, pour la quatrième année consécutive, sur le parvis de l'église de Saint-Benoît, des voix résonneront, tantôt drôles tantôt tristes, mais toujours joyeuses et avides de jeu. |
Nom
de Nom ! |
A travers la presse déchaînée: Partie
de jambes en l'air ! |
Que
d'eau, que d'eau...
(samedi 10 août 2002)
- À 22h, qu'est-ce qu'il pleuvait à Lignac...
- Et alors, à Saint-Benoît aussi...
- Oui mais le Carlos, à
Lignac, il a chanté : "Tout nu et tout bronzé !"...
- Pas grave puisque demain dimanche, c'est "la course des ânes" !
- T'as raison, et j'ai même un copain de la Vachetière qui s'y est
inscrit !
Le
marché du samedi - place Hervé Faye - est, sans conteste, un grand
succès!
- Dis-donc, le samedi 10 août,
le marchand de Pizza n'est pas venu [NdW :
Oh les pochtrons, il est venu mais en retard !],
la fleuriste semblait aux "abonnés absents", et le marchand de
volailles est parti se finir au Blanc...
- Ben où... Au bar ?
Devant un muscadet?
- Non, au marché du Blanc... Là où
il a pu écouler les invendus.
- C'est ça, ceux que la municipalité
promettait de maintenir en place ?
- Faut croire. Et ceux qui devrait venir...
Ben on ne les voit toujours pas !
Pets,Pets,Pets...
Un
caneton nous a aimablement signalé que P.P.P. ne voulait pas seulement
dire "Petit Porte-Parole".
- Ah, alors ça
veut dire quoi?
- Mais
"Petit Père des Peuples"... Bien sûr !
Zut, Staline se serait-il fait coupé le moustache et aurait-il changé
de prénom !
Enfin, si vous avez d'autres traductions, faites-le
nous savoir...
Trompés
sur la marchandise ?
- Ben alors, des trompes de chasse à Saint-Benoit le 15 août,
voudrait-on copier sur la Fête de Mouhet ?
- Ben oui, car comme
ses trompettes de la renommée sont bien mal embouchées, notre maire
les fait sonner.
- Sans doute pour mieux nous tromper, une fois de plus ?
- Peut-être, mais aux prochaines élections, on ne se trompera pas
une deuxième fois !
Celle-là,
c'est la NR qui nous l'a faite :
Mais
non, ce n'est pas un hommage au travail du Webmestre et à "ses milliers
de lecteurs mensuels"... mais franchement on y a cru ! Un jour viendra...
Roule petit bolide...
Il
conviendrait donc que leurs auteurs aillent jusqu'au bout de leur démonstration,
car : 1/ Si les objets cédés à vil prix (ou même mis en dépôt-vente) à un brocanteur par la municipalité ne sont pas sa propriété mais celle d'autrui, cela s'apparente purement et simplement à un délit passible des tribunaux : LE VOL. 2/ Si le brocanteur n'a pas vérifié l'origine et la propriété des objets cédés, cela s'apparente à un autre délit : COMPLICITE DE VOL ET RECEL D'OBJETS VOLES. |
Ça
va chercher dans les combien, de tels délits ? Et nous pensons que
l'on peut écoper d'une déchéance de ses droits civiques pour
ça...
Nous
pensons que "certains" vont commencer à serrer les fesses...
Et que les mêmes "certains" vont commencer à nous dire
qu'ils n'étaient pas au courant, que le maire avait décidé
sans eux... et patati et patalaire !
Arrêtez de jouer les Enfants de
choeur et à prendre les Bénédictins pour des C..s !
Car parmi ceux qui vous tous ont brillamment élus, il en est qui estiment
déjà que vous êtes tous complices.
Quoi, vous ne croyez
pas ? Alors, vérifiez !
|
Jean-Claude
BOURGOIN Adresse
courrier : St. Benoît du Sault, le 05.08.2002 A Monsieur le Maire de St. Benoît du Sault Monsieur le Maire, Après
avoir pris le temps d'analyser et de consulter, je me permets de revenir vers
vous, dans l'affaire des statuettes, livres anciens qui ont été
vidés de la cure, bâtiment appartenant à la commune et objet
remis à cette dernière lors d'un inventaire en date de 16 mai 2002,
en présence du responsable de la commission diocésaine d'art sacré. |
Votre
lettre de 24 juillet dernier est d'ailleurs intéressante dans son contenu
puisqu'elle apporte des éléments chiffrables sur les préjudices
matériels que tout bon citoyen est en droit de demander sans estimer qu'il
y a aussi dans cette affaire, un préjudice moral. Si je retiens vos données
en tenant compte que cet antiquaire est particulièrement dévoué
pour notre commune et pour vous rendre service, il a néanmoins mis à
la disposition de celle-ci pour cette opération, 3 hommes pendant 4 jours,
plus, évidemment le véhicule indispensable au transport. Je vous prie de croire, Monsieur le Maire, à l'assurance de mes sentiments les meilleurs. Jean-Claude BOURGOIN 2 |
Ci-dessous le texte de ce tract : | Pas
loin de 3000 exemplaires de ce tract auraient été envoyés
à la population de Saint-Benoît et de ses environs. Il faut dire que les premiers effets de ce "déménagement" n'auront été que fort peu probants. Ces piètres résultats ont déjà été vérifié le samedi 13 juillet, lorsque que les commerçants forains du marché se sont retrouvés, Place Hervé Faye, "un peu agressés. Et ceci face à des "Brocs" râleurs, car non prévenus par les instances municipales, et du changement d'horaire de la brocante, et de la nouvelle implantation du marché sabbatique (du Samedi). Dès la fin de la matinée, le constat pouvait déjà être fait : - Des commerçants forains qui ne retrouvent plus leur clientèle habituelle, même si elle était de passage, et repartant avec des invendus, d'un village où jadis ils faisaient une vente entière. - Des commerçants du centre-ville se demandant vraiment si le jeu (de la Lettre envoyée par leur présidente) en valait vraiment la chandelle. - Des habitants de Saint-Benoît et des environs se demandant si le Marché n'avait pas été supprimé, comme la taxe sur les marchands forains, par cette municipalité si nostalgique du passé. Et se sont empressés d'aller faire leurs courses sous des cieux moins tourmentés. Bref, un Fiasco... D'où ce tract coincé entre une pub pour notre supérette locale, et une d'un Con-faux-rama... que certains habitants du coin ont du foutre rapidement à la poubelle. |
"MARCHE
DU SAMEDI SAINT- BENOÎT- DU-SAULT Le marché du samedi matin à Saint-Benoît-du Sault s'installe désormais dans le vieux bourg. Il aura lieu de 8 h 30 à 12 h 30 sur la place Hervé Faye. Vous y trouverez: - un poissonnier - deux marchands de primeurs - une pizza-mobile - deux marchands de Volailles - deux marchands de fromages - une fleuriste et sans doute d'autres marchands dans un avenir proche. Venez passer un moment de convivialité sur cette place typique du vieux Saint-Benoît. Renseignements Mairie de Saint-Benoît-du-Sault / tel : 02 54 47 51 44" |
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