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L'actualité de Saint-Benoît
et des environs (juillet-Août 2002) :
Articles du mois :

 Rolland Hénault parle de Boby Lapointe !
 Bientôt sur France Inter (Dim 01/09à 10h), "LE PAPA DES POISSONS", EMISSION SUR BOBY LAPOINTE

 Urgent, AG de Jumelage Aéré M'bar, ce soir !
Édito, pour un au revoir !

Urgent, Les 10èmes Nuits du Blues à Fresselines
 Quelques nouvelles Brèves (de comptoir ?)
 La photo du mois !
 Le Pere Siffleur n'approuve pas la concurrence déloyale !

Jeux de Massacre à Saint-Benoît :

 Le Pere Siffleur parle de biens mobiliers communaux vendus par la municipalité, de Cure, et de denier du culte !
 Ben sur la Cure, v'la t'y pas un tract sur le sujet...
 Cure, toujours, Lettre d'un élu...

 Massacre à la pelleteuse, ou comment faire n'importe quoi avec le travail d'un architecte
 Premier article sur le sujet (arghh !)
Le maire se fache, mais un second article confirme le premier (re-arghh !)

 Le marché du Samedi ne ferait pas recettes ?

 Massacre à la désherbeuse, ou comment ne détruire que les fleurs.

Reportages et enquetes :
 Expositions à Saint-Benoît et Eguzon
 Fête du Lac à Chaillac
 CinéSites à Argentomagus/St-Marcel

 Muzik, spécial copinage...
 Fête de l'Été, une bien belle journée de Muzik !
  et son annonce !
 Le Grand Théâtre travaillait...
les pages sont presque finies !
 Soleil levant à Chaillac ! & revue de presse...

Culturelles :
Les cinoches de juillet et Août (page supprimée) !
 Agenda de juillet-Août 2002 (ça se remplit)
Programme prévisionnel 2002

Et toujours :
"Elizabeth" & Rolland Hénault !
"Les Forbans" !
"9èmes Nuits du Blues" Fresselines
Les spectacles du Grand Théâtre 2001
"La Belle Germaine" !
" Festival des Causeux" Meobecq.
Les Singlar Blou à Saint-Benoît.
Une émission sur des Creusois importés !


Index des actualités passées, actuelles ou à venir (?).

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Début

Urgent !!!

Dimanche 01 septembre, MOUHET, Brocante et Fête, dans le bourg.

Toute la journée, Mouhet accueille sa 8ème foire à la brocante vide-grenier et sa grande fête.
- 10h30 : animation avec le groupe «Osmonde E Sau Bangounas».
- Midi :
repas champêtre
- 14 heures, ouverture de la fête par la course cycliste organisée par l'USA,
- Ensuite : Le défilé de chars accompagné par
«l'entente musicale Buzançais – Saint-Genou» et les «Osmonde E Sau Bangounas».
Toute la journée, pour les enfants, jeux des ciseaux, course à pied et fête foraine, chevaux de bois, tirs, loteries et confiseries.
- Soir : repas champêtre
- 22 h, un grand feu d'artifice qui précédera le grand bal musette animé par la formation musicale « Les Fêtards ».


SAINT-BENOIT-DU-SAULT
Comité de jumelage
Le comité de jumelage Saint-Benoît – Aéré M'Bar tiendra son assemblée générale à la salle 12 de l'ancien collège à Saint-Benoît, vendredi 30 août, à 20 h 30.
A l'ordre du jour : bilan moral et financier et projet 2003.


mercredi 21 août à 21 h,
en l'abbatiale de Saint-Benoît-du-Sault, Intitulé «Un labyrinthe baroque».
Il s'agit d'un clin œil aux associations organisatrices (Compagnie du Paysage et Didascalies). Ce concert est à base d'œuvres de Jean-Marie Leclair, Jean-Sébastien Bach, Jean-Philippe Rameau, Marin Marais ; les concertistes sont Gilles Colliard (violon baroque), Martha Cook (clavecin) et Coen Engelhard (viole de gambe).
Prix des places : 15 euros ; moins de 26 ans, 10 euros.


DIMANCHE 11 AOÛT, à 17 H .
ÉGLISE DE SAINT-BEN0IT-DU-SAULT
PROMENADE POETIQUE A TRAVERS LES SIECLES
PAR L'ENSEMBLE VOCAL LA LUPINELLE
Entrée libre

SAINT-MARCEL, le Jeudi 1er Août avec :
«Gladiator» de Ridley Scott aux arènes d'Argentomagus.

Mercredi 24, 20h00 à la salle des fêtes de Mouhet, Lecture d'une pièce :
"Novocento : pianiste" d'Alessandro Baricco
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Lundi 8 juillet, à 21 h, dans l'église Saint-Jean
L'orchestre de Chambre de Heidelberg,

Une musique de très haute qualité
C'est en 1960 que l'Orchestre de Chambre de Heidelberg se créa à partir d'un cercle musical autour de Klaus Preis, qui le conduisit depuis le début et par un travail intensif à son succès actuel.
L'orchestre a toujours été ouvert au monde, ceci aussi bien dans le choix de ses musiciens que dans celui de ses buts de voyages. Il considère avant comme son devoir d'encourager de jeunes musiciens qui prendront par la suite des positions élevées dans le monde musical international, mais également d'offrir à ses auditeurs une musique du XIIIe siècle paisible, propice à la détente et de très haute qualité. C'est ainsi que l'orchestre joue en une combinaison de clavecin avec des instruments à vent et à cordes éprouvée depuis des dizaines d'années.
De cette façon, il s'oppose à tout culte du star system et réalise une musique offerte naturellement et évitant le piège du produit de masse.
L'Orchestre de Chambre de Heidelberg se présente avec des oeuvres de Vivaldi, Boccherini, Pergolesi, Purcell et Pachelbel / avec la flûte et le Piccolo en partie du solo.
[d'après l'Echo du Centre]
Les prix d'entrée sont inconnus !!!


«URGENCE QUARTET», le Mercredi 3 juillet 2002 à 21H00
à Chaillac, sous le chapiteau "Dibbouk", Lac Roche Gaudon.
Avec :
- Dominique Aufrère à la clarinette
- Frédéric Baudiamant au violon
- Fabrice Coussoux à l'accordéon
- Eddie Souchois au trombone

C'est sur les plateaux de théâtre que ces quatre compères ont concocté un répertoire des plus variés.
Mêlant sans vergogne, Klezmer, Tango, Jazz, Danse Macédonienne, compositions ciselées et improvisations débridées, ils vous invitent à un voyage multicolore.


Début

Édito

"Je veux dédier ce poème,
à toutes les femmes qu'on aime,
Pendant quelques instants secrets..."

C'est du Brassens, du pur jus, du vrai, du juste.

Une amie a décidé de nous quitter... un choix dont les conséquences sont douloureuses pour tous ceux qui restent.
Je cherchais à lui rendre hommage sur ce site.
Je me suis souvent demandé pourquoi elle dérivait ainsi...
Sans doute parce qu'un jour, elle s'est rendu compte que celui en qui elle croyait, se désintéressait d'elle.
Depuis rien n'allait plus. La galère...
Qui utiliser, après Brassens, comme poète de qualité, pour exprimer un état d'âme sur l'âme qui venait de nous quitter ?

J'ai trouvé quelqu'un... proche aussi, mais souvent lointain... je le cite :
"Perdue dans son état civil,
le nez ancré dans ses bassines,
Bobonne, à la maison, servile,
a comme des idées qui ruminent,
des envies d'allers faire des tours,
du côté de la marge des jours,
se mettre un peu de chaud dans l'bide,
voir si c'est vrai qu'elle est frigide,
du haut de son cinquième étage,
sur des fenêtres embuées,
elle dessine des rêves noyés,
en arrière-plan de son naufrage,
les chevaux galopent sur la mer,
le garrot sur la veine se serre,
vers d'autres quais, d'autre rivages,
elle peut partir, elle n'a plus d'âge...
...Vers d'autres quais, d'autres rivages... "
.
Voilà !
Tout ça pour dire adieu à Josianne C....
Et faire aussi un tristounet salut à Anne, sa fille.

PS : les vers ci-dessus sont d'Eric Laurent, qui a su, parfois, écrire des mots justes !

Début

La photo du mois !

Trompe quoi?

Tout le monde à Saint-Benoit se posait une question :
"Quelle est donc cette magnifique fresque que notre maire veut imposer sur la façade de la Boulangerie Sadron qui était en train d'être ravalée ?"
Les débats étaient ouverts.
L'application de ce "trompe l'œil" semblait être à l'origine de beaucoup de débats.
Mais, et surtout, il semblait être une des conditions sine-qua-non pour que le propriétaire de cette belle façade obtienne la fameuse prime que notre maire a promis à tous les candidats ravaleurs.
Était-ce une copie d'une icône exposée à Brassens ? Que nenni !
Et nous avons fini par retrouver une trace de ce magnifique projet artistique sur une des faces de ces cubes publicitaires que la commune a préféré au structure de palettes-Sitram du Grand Théâtre.
Ce n'était que ce vulgaire et populaire "panier de la ménagère", chargé de nous guider vers le nouveau marché hebdomadaire... qui comme chacun sait, fait l'unanimité !
Le jeu de piste a commencé... Et le mauvais goût aussi ! !


Début

Le Grand Théâtre était là !

Des pages spéciales sur son travail sont mises en ligne... Cliquez ici !

Un retour auquel
on ne croyait plus !

Espérons pour eux qu'il ne leur a pas fallu ramper, ou se coucher, pour revenir animer nos rues...

Les représentations auront lieu sur le parvis de l'église :

vendredi 26 juillet à 21 h, "A quoi ça rime", ;

samedi 27 juillet, "Le Cancan des corps guerriers", à 20 h,
suivi d'un repas avec les comédiens à 22 h
(inscription souhaitée : 02 54 47 51 44)
;

- dimanche 28 juillet :
- "A quoi ça rime" à 15 h,
-  
"Le Cancan des corps guerriers" à 16h30.

Entrée : 7, 50 € ;
12 € pour les 2 spectacles ;
gratuit jusqu'à 16 ans;
demi tarif de 16 à 26 ans.

Participation au repas du samedi : 7,50 €.

Au cœur de la cité médiévale de Saint-Benoît-du Sault, les acteurs du Grand Théâtre continuent de se démener, investissant les rues et les bistros, pour quelques joyeuses parades, en masques et en échasses, au son de la flûte et du violon. Après plus de deux semaines de travail, les choses vont leur train, sous un soleil très estival. Mais, à trois jours des premières représentations, la cadence redouble : le texte à peine terminé, les acteurs l'ont appris et les metteurs en scène travaillent d'arrache-pied pour insuffler à tout le monde leur énergie théâtrale. Les répétitions se multiplient, sous le regard curieux de quelques Bénédictins venus y assister.
En résidant trois semaines à Saint-Benoît, en réunissant acteurs, auteurs et metteurs en scène autour d'un même projet et en participant aux festivités de l'été (on a vu les acteurs se produire sur la grande scène du concert estival, entre Rose Laurens et Plastic Bertrand...), le Grand Théâtre cherche à créer un dynamisme festif, sans lequel le théâtre n'est qu'un morne exercice de récitation.
Le résultat de ce grand chantier de création dirigé par Jean-Marc Luneau donnera lieu à une pièce, "À quoi ça rime" ("fabriquée" de bout en bout à Saint-Benoît) dans laquelle des souvenirs de poèmes rythment l'itinéraire d'un jeune couple, qui découvre une existence à la fois désespérante et réjouissante. Derrière eux, des figures masquées guettent... et tous les masques ont été créés sur place, dans un atelier où les enfants du Centre Aéré sont venus tous les jours, en compagnie des acteurs, tremper leurs mains dans la peinture et dans la colle... Mais, en plus de cette création " artisanale ", en plus des planches et des tréteaux, le Grand Théâtre cherche également à promouvoir des pièces contemporaines, peu connues ou peu jouées : c'est le cas, cette année, du Cancan des corps guerriers, un texte de Suzanna Prieto empreint d'une gravité sérieuse, mais traitée avec joie et légèreté, comme le veut François Tardi, le metteur en scène. En effet, si le théâtre n'a pas d'interdits, s'il a le droit de parler de la guerre et de la mort, les organisateurs du festival de Saint-Benoît ne veulent pas d'un art dogmatique ou didactique : leur ambition est toujours de montrer sur scène quelques esquisses possibles d'une vie différente, plus ou moins belle, et de glisser quelques bribes sérieuses, sur fond d'humour et de rire.
Ce que le Grand Théâtre cherche à faire vivre, ce n'est donc pas un théâtre prétentieux et sûr de lui, mais un moment de fête créatrice à laquelle tout le monde est convié. Le plaisir de jouer, les acteurs ne le garderont pas pour eux : ils le transmettront au public, et, pour la quatrième année consécutive, sur le parvis de l'église de Saint-Benoît, des voix résonneront, tantôt drôles tantôt tristes, mais toujours joyeuses et avides de jeu.

Début

Brèves (de comptoir ?)...

Nom de Nom !
Certains bénédictins ont pu se demander, comme nous, si des nominations de lieux connus de la commune n'avaient pas subi une nouvelle dénomination, comme le laisserait entendre l'article de la NR (fac-similé ci-contre) ou il est dit, clairement, :
"... La foire s'achèvera par le traditionnel repas de foire servi dans la cour de l'école François-Rabelais..."
Il n'en est rien, la nouvelle municipalité n'ayant eu, en rien, suffisamment de fibre littéraire pour donner le nom de "François Rabelais" à l'école primaire, plus communément appelée "Ancien Collège".
Oh, que non, puisque cette dénomination avait été l'œuvre de l'ancienne municipalité et ceci pour bien d'autres lieux, rues ou places de Saint-Benoit.
Ainsi en était-il de la terrasse "Philippe Soupault" (terrasse sous la Salle Brassens), ou encore le Rond-Point "Abbé Pierre" (le Rond-point de la gendarmerie).
Il y avait même prévu de nommer la placette (vendue cette année par l'actuelle municipalité) sise entre les rues Basse Cadette, de Beauregard et du Portugal, la Place "Willy Ronis". Un caneton m'a dit qu'elle pourrait bien s'appeler la place aux cornichons...
Là, je ne vois pas du tout le rapport et il faudra que l'on m'explique !


A travers la presse déchaînée:

Partie de jambes en l'air !
Dans la « NR/Indre du 20/8 (page 11, Saint-Benoît) » :
"... les concertistes sont Gilles Colliard (violon baroque), Martha Cook (clavecin) et Coen Engelhard (viole de jambe)."

Comme chacun le sait, un viol ne doit pas se faire par dessus la jambe... Même durant un concert de viole de gambe !

Que d'eau, que d'eau... (samedi 10 août 2002)
- À 22h, qu'est-ce qu'il pleuvait à Lignac...
- Et alors, à Saint-Benoît aussi...
- Oui mais le Carlos, à Lignac, il a chanté : "Tout nu et tout bronzé !"...
- Pas grave puisque demain dimanche, c'est "la course des ânes" !
- T'as raison, et j'ai même un copain de la Vachetière qui s'y est inscrit !

Le marché du samedi - place Hervé Faye - est, sans conteste, un grand succès!
- Dis-donc, le samedi 10 août, le marchand de Pizza n'est pas venu
[NdW : Oh les pochtrons, il est venu mais en retard !], la fleuriste semblait aux "abonnés absents", et le marchand de volailles est parti se finir au Blanc...
- Ben où... Au bar ? Devant un muscadet?
- Non, au marché du Blanc... Là où il a pu écouler les invendus.
- C'est ça, ceux que la municipalité promettait de maintenir en place ?
- Faut croire. Et ceux qui devrait venir... Ben on ne les voit toujours pas !

Pets,Pets,Pets...
Un caneton nous a aimablement signalé que P.P.P. ne voulait pas seulement dire "Petit Porte-Parole".
- Ah, alors ça veut dire quoi?
-
Mais "Petit Père des Peuples"... Bien sûr !
Zut, Staline se serait-il fait coupé le moustache et aurait-il changé de prénom !
Enfin, si vous avez d'autres traductions, faites-le nous savoir...

Trompés sur la marchandise ?
- Ben alors, des trompes de chasse à Saint-Benoit le 15 août, voudrait-on copier sur la Fête de Mouhet ?
- Ben oui, car comme ses trompettes de la renommée sont bien mal embouchées, notre maire les fait sonner.
- Sans doute pour mieux nous tromper, une fois de plus ?
- Peut-être, mais aux prochaines élections, on ne se trompera pas une deuxième fois !

Celle-là, c'est la NR qui nous l'a faite :

Mais non, ce n'est pas un hommage au travail du Webmestre et à "ses milliers de lecteurs mensuels"... mais franchement on y a cru ! Un jour viendra...

Début

Vie politique locale d'avril, mai & juin 2002...

Roule petit bolide...

Début

Vendez tout... c'est fait pour ça !
Après avoir vendu des bien immobiliers de la commune, la "nouvelle et nostalgique municipalité de Saint-Benoît-du-Sault" se met même à vendre des biens mobiliers...
Qui visiblement ne lui appartenaient pas...
C'est ce qu'affirme ce tract recu par tous les bénédictins dans leurs boites-à-lettes.
Bon, nous, on veut bien que de tels tracts se mettent à circuler.
(Quoique?...)
Il conviendrait donc que leurs auteurs aillent jusqu'au bout de leur démonstration, car :
1/ Si les objets cédés à vil prix (ou même mis en dépôt-vente) à un brocanteur par la municipalité ne sont pas sa propriété mais celle d'autrui, cela s'apparente purement et simplement à un délit passible des tribunaux :
LE VOL.
2/ Si le brocanteur n'a pas vérifié l'origine et la propriété des objets cédés, cela s'apparente à un autre délit :
COMPLICITE DE VOL ET RECEL D'OBJETS VOLES.

Ça va chercher dans les combien, de tels délits ? Et nous pensons que l'on peut écoper d'une déchéance de ses droits civiques pour ça...

Nous pensons que "certains" vont commencer à serrer les fesses...
Et que les mêmes "certains" vont commencer à nous dire qu'ils n'étaient pas au courant, que le maire avait décidé sans eux... et patati et patalaire !
Arrêtez de jouer les Enfants de choeur et à prendre les Bénédictins pour des C..s !
Car parmi ceux qui vous tous ont brillamment élus, il en est qui estiment déjà que vous êtes tous complices.
Quoi, vous ne croyez pas ? Alors, vérifiez !

Début

Sur les objets de la cure... lettre ouverte !

 

Nous on veux bien...
et comme c'est une tribune libre, on passe le texte...
mais cette prose ne serait-elle pas d'un de ceux qui étaient sur la liste de l'incriminé aux dernières municipales...  ?
Et qui l'a mis aux commandes de la commune ?

Y'en a vraiment ici qui nous font penser à Bayrou !

Jean-Claude BOURGOIN
Ancien Maire
Conseiller Municipal
xxxxxxxxxxxxxx
xxxxxxxxxxxxxxxxxxx

Adresse courrier :
xxxxxxxxxxxxxxx
xxxxxxxxxxxxxx
xxxxxxxxxxxxx

St. Benoît du Sault, le 05.08.2002

A Monsieur le Maire de St. Benoît du Sault

Monsieur le Maire,

Après avoir pris le temps d'analyser et de consulter, je me permets de revenir vers vous, dans l'affaire des statuettes, livres anciens qui ont été vidés de la cure, bâtiment appartenant à la commune et objet remis à cette dernière lors d'un inventaire en date de 16 mai 2002, en présence du responsable de la commission diocésaine d'art sacré.
En conséquence de quoi un certain nombre d'objets devenaient de ce fait, propriété communale, leur vente, leur prêt, où toute autre action ne pouvaient se faire que dans un cadre réglementaire, c'est à dire, de décision du conseil municipal.
Vous aviez d'ailleurs, obtenu du conseil municipal, lors de sa réunion du 26 avril 2002, paragraphe 3 (emploi contractuel pour besoin saisonnier). Je vous cite « le Maire propose la création d'un emploi contractuel pour une durée de 2 mois, afin de répertorier le matériel entreposé dans les bâtiments communaux et de préparer la vente publique ».
Le conseil municipal ne pouvait qu'être rassuré tranquillisé sur la méthode qui serait enfin employé, la transparence aurait bien lieu.
Malheureusement, c'est par un tract, certes, anonyme que les conseillers et la population apprennent que vous avez fait vider de son contenu le bâtiment de la cure, pas par les employés communaux, ou l'agent contractuel recruté à cet effet, mais tout simplement par le biais d'un antiquaire trouvé par vos soins et qui s'est payé avec quelques objets récupérables (pourtant sans valeur).
1

Votre lettre de 24 juillet dernier est d'ailleurs intéressante dans son contenu puisqu'elle apporte des éléments chiffrables sur les préjudices matériels que tout bon citoyen est en droit de demander sans estimer qu'il y a aussi dans cette affaire, un préjudice moral. Si je retiens vos données en tenant compte que cet antiquaire est particulièrement dévoué pour notre commune et pour vous rendre service, il a néanmoins mis à la disposition de celle-ci pour cette opération, 3 hommes pendant 4 jours, plus, évidemment le véhicule indispensable au transport.
On peut donc estimer que le coût de reviens avant bénéfices de l'opération effectuée par l'antiquaire s'élève à environs 1900 euros, en quoi, il est bien estimable et logique que la revente des `menus objets lui permettra de multiplier ce chiffre.
En conséquence, j'aimerais savoir comment vous attendez indemniser notre commune pour les préjudices qu'elle subit dans cette affaire dont le montant reste à estimer.

Je vous prie de croire, Monsieur le Maire, à l'assurance de mes sentiments les meilleurs.

Jean-Claude BOURGOIN

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Début

Quand ça ne marche pas, faut faire "Marché" !

Ci-dessous le texte de ce tract :

Pas loin de 3000 exemplaires de ce tract auraient été envoyés à la population de Saint-Benoît et de ses environs.
Il faut dire que les premiers effets de ce "déménagement" n'auront été que fort peu probants.
Ces piètres résultats ont déjà été vérifié le samedi 13 juillet, lorsque que les commerçants forains du marché se sont retrouvés, Place Hervé Faye, "un peu agressés.
Et ceci face à des "Brocs" râleurs, car non prévenus par les instances municipales, et du changement d'horaire de la brocante, et de la nouvelle implantation du marché sabbatique (du Samedi).
Dès la fin de la matinée, le constat pouvait déjà être fait :
- Des commerçants forains qui ne retrouvent plus leur clientèle habituelle, même si elle était de passage, et repartant avec des invendus, d'un village où jadis ils faisaient une vente entière.
- Des commerçants du centre-ville se demandant vraiment si le jeu (de la Lettre envoyée par leur présidente) en valait vraiment la chandelle.
- Des habitants de Saint-Benoît et des environs se demandant si le Marché n'avait pas été supprimé, comme la taxe sur les marchands forains, par cette municipalité si nostalgique du passé. Et se sont empressés d'aller faire leurs courses sous des cieux moins tourmentés.
Bref, un Fiasco...
D'où ce tract coincé entre une pub pour notre supérette locale, et une d'un Con-faux-rama... que certains habitants du coin ont du foutre rapidement à la poubelle.
"MARCHE DU SAMEDI
SAINT- BENOÎT- DU-SAULT
Le marché du samedi matin à Saint-Benoît-du
Sault s'installe désormais dans le vieux bourg.
Il aura lieu de 8 h 30 à 12 h 30 sur la place Hervé Faye.
Vous y trouverez:
- un poissonnier
- deux marchands de primeurs
- une pizza-mobile
- deux marchands de Volailles
- deux marchands de fromages
- une fleuriste
et sans doute d'autres marchands dans un avenir proche.
Venez passer un moment de convivialité sur cette
place typique du vieux Saint-Benoît.
Renseignements Mairie de Saint-Benoît-du-Sault / tel : 02 54 47 51 44"

Bref, c'est un tract qui fait dans l'auto-satisfecit, puisqu'il prévoit l'arrivée de nouveaux commerçants forains.

Et ceci alors même que l'on ne sait pas si les habitués seront tous présents lors des prochains marchés...

Surtout ceux de cet hiver,
quand les estivants seront tous partis!


Début

 
à suivre...
Ces pages sont des pages d'informations générales sur la commune.

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