Histoires d'Humour, ou pas ! :
Dans
les années 70, Claude François chantait «je suis le
mal aimé»... Mal aimé peut-être, mais ça a quand même fait un disque d’or. Ce qui prouve que «mal aimé» n’est pas incompatible avec «profits» ! Et bien à Saint-Benoît une compagnie aux prétentions culturelles a un jour débarqué dans le village, sans que personne ne les en ait prié, et se plaint maintenant de ne pas faire l’unanimité. Après avoir traité le village de désert culturel, on allait voir ce qu’on allait voir. Zozo est arrivé ! Tels autrefois nos braves petites sœurs des pauvres la sébile à la main, nos maîtres à penser pleurent auprès des élus pour réclamer à grands cris les subventions qu’ils ne voudraient pas partager pour d’autres manifestations. C’est dommage, mais nous sommes dans un pays de traditions et nous aimons rester maîtres de nos destins. Il existe une variété d’activités auxquelles nous sommes attachés. Nous avons passé l’âge d’être à l’école, et ce n’est plus la maîtresse qui commande. Nous traversons une année budgétairement difficile avec la mise en place de la communauté de commune. Les charges restent les mêmes et le retour ne se fera que l’année prochaine. Il serait très mal vu d’augmenter les impôts locaux pour distraire les sauvages de Saint-Benoît. La morale de cette histoire ressemble à une poule qui a couvé des canards et les voit s’éloigner dans la rivière. Quand on n’est pas de la même espèce on ne peut pas se comprendre. De plus, sous sa mue, la poule aura beau piailler qu’elle veut du grain, elle reste à la merci de la fermière pour en avoir. À bon entendeur Salut. Le père siffleur. |
No comment !
Ce n'est pas à cause de la page 6 de la NR du lundi 16 février 2009, que notre chèvre Cunégonde a les crocs !
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La
NR ne mégote pas, surtout lorsqu'il s'agit de "chiens
écrasés". |
Par
contre, pas loin d'ici, on connaît un fort joli troupeau de chèvres
qui serait visiblement en quête d'un propriétaire. Elles auraient, paraît-il, de jolis prénoms : Françoise, Odile, Chantal, Germaine, Sandrine, Catherine et Philomène. Mais nous ne garantissons pas l'exactitude de ceux-ci. L'une d'elles jouerait au chef du troupeau, mais elle aurait une concurrente. Alors serait-ce un cadeau pour Mme Fournier ? Pas sûr puisqu'il semble qu'il faille sans arrêt les nourrir, car elles seraient boulimiques à souhait, et bien peu reconnaissantes ! On nous a signalé aussi que pour un euro symbolique, on pourrait acquérir un âne avec ce troupeau, mais on ne lui connaît pas de prénom. M.L. |
Quand
on vous disait que le quartier devenait malsain…
Après des chèvres qui meurent inexplicablement, voilà
que les voleurs de bétails ont investi les douces prairies du Boishaut-Sud,
en principe bien protégées par de solides bouchures.
À en croire la Nounou du mercredi 18 février 2009, un éleveur
de Parnac aurait constaté que des "malfaiteurs" auraient,
entre le dimanche et le lundi précédent, fait main basse sur
sa remorque-bétaillère, mais aussi sur son troupeau de huit
vaches limousines, ainsi que sur leurs sept veaux.
Pour ces bovins, ça devait être dur, car on peut se demander
si leur capture a été exécutée à cheval
et au lasso, dans la meilleure tradition de l'Ouest sauvage !
La gendarmerie de Bélâbre mènerait l'enquête sur
ce "vol audacieux" qui causerait, à l'exploitant agricole
qui en a été victime, un préjudice de 12.000 €
pour la bétaillère et autant pour le troupeau, soit un total
de 24.000 euros.
Impossible de dire si les vaches avaient des prénoms, ce qui aurait
pu être le cas puisqu'il paraîtrait que les prénommer
leur ferait donner plus de lait…
Cependant, la Limousine est une race à viande, et pas une race à
lait comme la Holstein !
M.L.
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