<<retour à la page du mois>>

"www.st-benoit-du-sault.info"
L'actualité de Saint-Benoît et des environs
Février-Mars 2009 H :

Histoires d'Humour, ou pas ! :

Début

Le Père Siffleur cartonne... et c'est rien de le dire !
Dans les années 70, Claude François chantait «je suis le mal aimé»...
Mal aimé peut-être, mais ça a quand même fait un disque d’or.
Ce qui prouve que «mal aimé» n’est pas incompatible avec «profits» !
Et bien à Saint-Benoît une compagnie aux prétentions culturelles a un jour débarqué dans le village, sans que personne ne les en ait prié, et se plaint maintenant de ne pas faire l’unanimité.
Après avoir traité le village de désert culturel, on allait voir ce qu’on allait voir.
Zozo est arrivé !
Tels autrefois nos braves petites sœurs des pauvres la sébile à la main, nos maîtres à penser pleurent auprès des élus pour réclamer à grands cris les subventions qu’ils ne voudraient pas partager pour d’autres manifestations.
C’est dommage, mais nous sommes dans un pays de traditions et nous aimons rester maîtres de nos destins.
Il existe une variété d’activités auxquelles nous sommes attachés.
Nous avons passé l’âge d’être à l’école, et ce n’est plus la maîtresse qui commande.
Nous traversons une année budgétairement difficile avec la mise en place de la communauté de commune.
Les charges restent les mêmes et le retour ne se fera que l’année prochaine.
Il serait très mal vu d’augmenter les impôts locaux pour distraire les sauvages de Saint-Benoît.
La morale de cette histoire ressemble à une poule qui a couvé des canards et les voit s’éloigner dans la rivière.
Quand on n’est pas de la même espèce on ne peut pas se comprendre.
De plus, sous sa mue, la poule aura beau piailler qu’elle veut du grain, elle reste à la merci de la fermière pour en avoir.
À bon entendeur Salut.

Le père siffleur.

No comment !

Début

Oui à la protection des chèvres !

Ce n'est pas à cause de la page 6 de la NR du lundi 16 février 2009, que notre chèvre Cunégonde a les crocs !


La NR ne mégote pas, surtout lorsqu'il s'agit de "chiens écrasés".
Ainsi a-t-elle diligenté un envoyé spécial sur le front des violences agricoles, dans la commune de Mouhet.
Mais là, il s'agissait de traiter d'une affaire de "chèvres tuées", mais pas écrasées.
Résultat : un bel article publié le lundi 16 février.
On y apprend que Madame Fournier, de Mouhet donc, a vu ces derniers mois son cheptel de six chèvres élevées avec amour, mourir inexplicablement et les unes après les autres.
Pour Dolly, la dernière dans cette succession de décès, il fut confirmé récemment qu'elle aurait été abattue par balles.
D'où une plainte déposée auprès de la Gendarmerie samedi après-midi.
À Saint-Benoît, on y tient, à notre troupeau de chèvres.
Celles-là, qui n'ont pas de noms, sans doute un troupeau de clandestines, mais qui entretiennent avec amour les friches pentues des terrains accidentés situés sous la Butte, et le plus souvent autour du Prieuré, en bordure de l'étang, ou elles gambadent, là où des rigolos voudraient tirer un feu d'artifice en juin prochain.
Espérons déjà que nos chèvres n'auront pas à souffrir de ce tir intempestif et coûteux car on y tient à nos jolies chèvres.
En tout cas, on a pas l'intention de les refourguer à Madame Fournier, même provisoirement.

Par contre, pas loin d'ici, on connaît un fort joli troupeau de chèvres qui serait visiblement en quête d'un propriétaire.
Elles auraient, paraît-il, de jolis prénoms : Françoise, Odile, Chantal, Germaine, Sandrine, Catherine et Philomène. Mais nous ne garantissons pas l'exactitude de ceux-ci.
L'une d'elles jouerait au chef du troupeau, mais elle aurait une concurrente.
Alors serait-ce un cadeau pour Mme Fournier ?
Pas sûr puisqu'il semble qu'il faille sans arrêt les nourrir, car elles seraient boulimiques à souhait, et bien peu reconnaissantes !
On nous a signalé aussi que pour un euro symbolique, on pourrait acquérir un âne avec ce troupeau, mais on ne lui connaît pas de prénom.
M.L.

Début

Ah les vaches !

Quand on vous disait que le quartier devenait malsain…
Après des chèvres qui meurent inexplicablement, voilà que les voleurs de bétails ont investi les douces prairies du Boishaut-Sud, en principe bien protégées par de solides bouchures.
À en croire la Nounou du mercredi 18 février 2009, un éleveur de Parnac aurait constaté que des "malfaiteurs" auraient, entre le dimanche et le lundi précédent, fait main basse sur sa remorque-bétaillère, mais aussi sur son troupeau de huit vaches limousines, ainsi que sur leurs sept veaux.
Pour ces bovins, ça devait être dur, car on peut se demander si leur capture a été exécutée à cheval et au lasso, dans la meilleure tradition de l'Ouest sauvage !
La gendarmerie de Bélâbre mènerait l'enquête sur ce "vol audacieux" qui causerait, à l'exploitant agricole qui en a été victime, un préjudice de 12.000 € pour la bétaillère et autant pour le troupeau, soit un total de 24.000 euros.
Impossible de dire si les vaches avaient des prénoms, ce qui aurait pu être le cas puisqu'il paraîtrait que les prénommer leur ferait donner plus de lait…
Cependant, la Limousine est une race à viande, et pas une race à lait comme la Holstein !
M.L.

Début

À suivre... sur "www.st-benoit-du-sault.info"
Ces pages sont des pages d'informations générales sur la commune.

<<retour à la page du mois>>