En ce qui concerne la CdC dite "de la marche occitane", on peut se demander si cet encouragement implicite à une fusion avec d'autres CdC aurait été aussi marqué si notre "Seiller", le dépité de La Marche, avait été le président de celle-ci.
C'est pourtant bien ce dernier qui a tout fait pour la création de cette micro-communauté taillée pour ses seuls intérêts ou ambitions, une communauté qui se trouverait bien appauvrie si la Taxe Professionnelle était supprimée gâce aux votes des députés et sénateurs de la même famille politique que nos deux compères.
La bonne question est de savoir pourquoi cet encouragement à se rattacher à de plus grosses structures n'a pas été exprimé lorsque quatre des communes envisageaient leur rattachement à la communauté Brenne-Val de Creuse, un territoire plus vaste, auquel quatre communes du canton étaient déjà rattachées (et qui le sont toujours !).
À l'époque, le président du CG avait sans doute besoin des amis de son 1er vice-président pour se faire élire sénateur, et il ne souhaitait sans doute pas contrarier le projet de celui-ci.
Mais maintenant, vers quel territoire voudrait-il nous encourager à nous rapprocher ?
La communauté de communes de Bélâbre, par exemple ?
On pourrait le croire.

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Un compte-rendu ni fait, ni à faire !

En lisant le compte-rendu du dernier conseil municipal du 28 février dernier, publié dans la NR du lundi 2 mars 2009, page 20, certains se sont étranglés, même des anciens élus de la commune qui n'y comprenaient rien du tout, ou presque.
D'autres s'interrogeaient sur l'auteur du texte en pensant, sans trop y croire, à l'ancienne et fugitive correspondante de la Nounou, paraît-il toujours présente à chaque CM (fugitive : (adj.) qui ne dure que peu de temps).
Sans en connaître l'auteur, sans même savoir comment les informations sont parvenues à la rédaction du quotidien, ni si des coupes ou autres modifications ont été faites à Châteauroux, nous n'hésitons pas à vous le passer intégralement, dans l'encadré ci-contre et tel qu'il a été diffusé dans la NR, et à tenter d'en faire une explication de texte, sans être sûr d'y parvenir :

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Il jouxte le collège Hervé Faye et son terrain de sport, et va compléter l'équipement sportif local en soulageant la salle polyvalente.
Un équipement orienté «pour l'essentiel vers les activités sportives, notamment scolaires» comme l'indiquait l'an dernier Pierre Level, le maire, dans la NR.

Ce chantier, dont la réalisation a fait l'objet d'un concours, est dirigé par l'architecte Bruno Robine en collaboration avec le cabinet de Paul Chemetov (celui qui a réalisé le Collège Hervé Faye et d'autres bâtiments de Saint-benoît). C'est un syndicat intercommunal, qui assure la maîtrise d'ouvrage, déléguée ici à l'Opah.

Les travaux, qui ont commencé en septembre, devraient se terminer cet été, sauf imprévus.
L'ouvrage a pu être placé là en creusant dans la colline, en contrebas du cimetière, ce qui permettra à un tiers du bâtiment d'être enfoui.

Ce point, plus une couverture végétalisée, lui permettra de se fondre dans le site. Il lui permettra aussi d'obtenir de substantielles économies énergétiques.
L'isolation du bâtiment, son enfouissement partiel, un puits canadien permettant une ventilation et une climatisation naturelle, et le chauffage complémentaire qui se fera au gaz, le rendra économe en énergie et lui permettra de respecter les normes HQE (Haute qualité environnementale).

La grande grue qui domine le chantier ne peut guère passer inaperçue dans le village.

Elle permet la mise en place des blocs de béton coulés dans leurs coffrages métalliques, un béton teinté de couleur brune pour le faire ressembler aux pierres de la région et pour mieux intégrer le bâtiment au paysage.

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