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L'actualité de Saint-Benoît et des environs
(mai-juin-juillet-août 2004-La) :
Politique locale page A

Infos vraiment trop sérieuses !

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Dernier échange de pavés sur les barricades bénédictines !

 

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Pêcheur en eau trouble ?

Que celui qui n'a jamais péché me jette la première pierre !


C'est un peu ce que devait penser notre ancien édile lorsqu'il a comparu, en son nom propre et non au nom de la commune, devant la chambre correctionnelle de Châteauroux.
Selon le compte-rendu d'audience d'Hervé LARROQUE, publié dans la NR du 22 septembre 2004, Monsieur notre ex-maire démissionnaire était poursuivi pour avoir déclenché, fin octobre 2002, une catastrophe écologique dans les eaux de la rivière Le Portefeuille, en aval du pont-barrage de Saint-Benoît.
Dans sa hâte de vidanger l'étang afin, ce qui peut-être justifié, d'éviter une crue comme celle d'avril 2002. Il aurait, d'une part, oublié de prévenir le conseil supérieur de la pêche, en prétextant une erreur de numéro de télécopieur, et d'autre part, la vidange déclenchée aurait été par trop rapide, entraînant avec elle une boue sédimentaire qui aurait colmaté le fond de la rivière sur quelque sept kilomètres, jusqu'au confluent de l'Anglin.
" Une calamité pour la microfaune, la microflore, le poisson... et les pêcheurs " dit notre confrère qui n'a pas manqué de souligner qu' " Il n'est pas facile de faire comprendre un processus environnemental à quelqu'un qui a, sur cette question, une idée bien arrêtée, tout en étant dépourvu de compétence particulière sur le plan écologique."
Et pour le démontrer, le journaliste narre le dialogue, consternant à ses yeux, échangé entre notre démissionnaire et la partie civile dans les termes suivant :
" « La vidange n'a duré que trente-six heures et il y a eu peu de dépôt », assure l'ancien maire. Le technicien du Conseil supérieur de la pêche souligne qu'au contraire, qu'il aurait fallu procéder à une vidange lente, avec un système de filtration en aval, pour assurer une dilution convenable et éviter l'amoncellement des sédiments. L'opération aurait sans doute été fractionnée, et prolongée d'autant, « mais il n y avait pas d'urgence ».
Le maire s'obstine et rappelle que la crue d'avril comportait bien plus d'eau et de courant... C'est bien parce que le débit naturel du Portefeuille était réduit, à cette période, qu'il fallait y aller doucement, tente d'expliquer le technicien. « Nous avions entièrement levé la vanne de fond », rétorque le maire, pour activer cette évacuation « saris commune mesure avec la crue ». Rideau. "

Nous voulons bien le croire, car cela nous rappelle quelques conseils municipaux pendant lesquels l'obstination n'était quelquefois rien en comparaison du langage employé.
Le procureur aurait voulu minimiser les faits comme le signale notre confrère " « Il est de bonne foi, mais c'était une décision précipitée, sans motif d'urgence ». Et de requérir « une amende à hauteur du dommage causé : entre 3.000 € et 4.500 € » "
Le président du tribunal a été plus loin dans la clémence puisque, comme l'explique notre confrère " L'ancien édile qui se défend seul, réitère sa position, en vain. « C'est le maire qui est poursuivi personnellement et pas la commune, non responsable des fautes pénales de son maire », précise le président au prévenu, qui reste sans voix. Sa décision malencontreuse sur la forme et (surtout) sur le fond, lui coûtera 1.000 € d'amende."
C'est effectivement la grosse surprise de ce jugement. Même si l'amende est faible, c'est bien l'individu qui est condamné et pas la commune...
Depuis la publication de cet article, de nombreux sourires se sont épanouis dans les rues du village, même si personne ne va jusqu'à lâcher la bonde.
Ces sourires ne doivent rien à un bon poisson d'avril, avec ou sans crue !

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Un adjoint quitte son poste, et un "conseiller spécial" aussi !!

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Au voleur !

Saint-Benoît semble faire l'objet de quelques disparitions... de mobilier urbain !

Ainsi en est-il des panneaux de bois qui encadrait jadis les containers du dépôt des déchets triés près de la gendarmerie...
Avoir augmenté le nombre de containers de ce dépôt aurait dû entraîner une augmentation de la surface de la plate-forme en béton... et n'empêchait en rien de maintenir en place les panneaux de bois, et d'en rajouter d'autres.

À moins qu'ils n'aient tous été cassés, comme ce fut le cas de celui de la plate-forme du virage de la CD 10 (route de Limoges) qui a été supprimée depuis.
La repose de ces panneaux aurait permis de masquer, un peu, l'état de délabrement des lieux, et d'éviter la propagation des odeurs vers les maisons voisines dont se plaignent les riverains.

Qui donc a décidé de les supprimer définitivement ?

Et qui doit entretenir les abords lorsqu'ils sont dans l'état dans lequel nous les avons photographiés ?
Quant au cloaque qui se forme à chaque pluie, elle rend les opérations de dépose des déchets triés particulièrement agréables.


photo du 03 juillet 2003

photo du 30 avril 2004

photo du 9 février 2004
Ainsi en est-il d'un râtelier à vélo qui était planté, jadis, sur le parking de la maison Guinnepain, rue Charles Davet.
On ne sait s'il servait vraiment à quelques cyclotouristes égarés, mais ce qui est sûr, c'est qu'un bien communal, qui a dû coûter assez cher, a finalement disparu... Où est-il et qui le détient ?

photo du 8 août 2004

photo du 29 mai 2004

photo du 18 août 2004

- Ainsi en est-il de la porte du jardin de la terrasse, près de la maison des voyageurs.

Etait-elle en fer ou en bois ?
Impossible de nous en souvenir...
Etait-elle en bon état ou non ?
Mais elle existait...

Des bénédictins (bien informés ?) nous ont signalé qu'il s'agirait d'un vol... mais quand même...

La remplacer par une vague barrière boulonnée sur les pierres, ça frise le ridicule !


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Jouez au jeu des sept erreurs !

Le 7 juillet dernier, à la fin du conseil municipal et dans les questions diverses, il était évoqué "le non respect des règles d'urbanisme en ce qui concerne les permis de construire. Il est demandé qu'un membre du Conseil se mette en rapport avec la D.D.E. à ce propos."
Il semble en effet que le règne du précédent maire démissionnaire ait permis à des bénédictins, bien en cour, habitant le vieux village de transgresser allègrement toute les règles en vigueur et de faire ce que bon leur semblait en matière de construction... Même le photographe du village, ancien élu de cette municipalité, s'en offusquait et nous avait montré quelques apparitions, non miraculeuses, de Velux ou de portes-fenêtres à quelques encablures du prieuré...
Tout cela s'est fait semble-t-il sans que les autorisations de travaux ou autres permis de construire aient été demandés...
Ainsi en est-il du bâtiment (à vous de trouver sa localisation) dont nous vous montrons, en photos, quelques étapes de sa transformation.
Jamais sur celui-ci n'a été apposé le moindre panneau de permis de construire ou d'autorisation de travaux, même quand du matériel de chantier stationnait devant et dans la rue.
Il est vrai que cette bâtisse qui appartenait à la municipalité, jadis à usage de grange et garage, avait été vendue par le précédent maire démissionnaire et son équipe...
À l'époque, il est vrai qu'aucune opposition municipale ne pouvait s'opposer à toutes ces dérives...
Il est bon aussi de constater que non loin de là, un caneton qui, lui, avait respecté les règles et demandé les autorisations et permis nécessaires pour transformer une bâtisse, s'est vu opposer un refus de transformation d'une fenêtre, au prétexte qu'elle ne serait pas dans le style du pays...
Un style, mais quel style ?
Car même l'Association de défense du patrimoine bénédictin s'avoue
bien incapable de définir ce qu'il doit être vraiment, tant les époques de construction et les styles d'habitat se mélangent dans le vieux village.
Bref, deux poids, deux mesures !

Quand le bâtiment va,
tout va... tout va !

 


photo du 8 mai 2002, avant la vente...


photo du 31 janvier 2004

photo du 25 juin 2004

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Une initiative merdique... avec ou sans syndicat !

A l'approche d'un débat sur le paysage, voilà une initiative qui ne manque d'offusquer les partisans du bon goût...

Serait-ce un avatar de plus de la folie de défiguration de notre commune organisée par notre précédent maire démissionnaire ?
Paraît-il prévue à la pose il y a six mois, et payé par les commerçants affichés il y a plus d'un an, à l'époque du précédent maire, il y a des "salopiots" qui n'ont pas hésité à faire fabriquer et à planter ce panneau en plein milieu de la place des Augustins (la Butte).
Questionné à ce sujet par un caneton, notre actuel maire en aurait rejeté la responsabilité sur le syndicat d'initiative.
Nous on veut bien, mais rien n'est moins sûr et, même si c'était le cas, nous doutons fort que pour ce type d'implantation le vote du conseil municipal ne soit pas nécessaire.
Doit-on alors le, la ou les en féliciter ?

L'aspect mastoc de la structure est en "totale harmonie" avec la nullité esthétique des sarcophages de fleurs ou des "bittes" verdâtres plantées dans le village, que le précédent maire et certains de ses factotums nous ont imposé...

Recto comme verso, on y trouve les deux mêmes plans de Saint-Benoît, vieille ville, et des circuits-découvertes. Mais d'un côté à l'autre, y'a que les pubs qui changent... beaucoup proviennent de commerçants ou artisans extérieurs à Saint-Benoît, et même d'une maison de retraite.
Le plan de Saint-Benoît fait double emploi avec celui qui existe déjà à deux pas, près de l'office du tourisme, dont l'esthétique bien plus discrète offre plus de détails sur la commune.

Ça, plus les cubes blancs et provisoires, prévus pour les annonces culturelles, mais squattés aussi par d'autres annonceurs moins culturels (dont un restaurateur), et que l'on trouve déjà à deux exemplaires sur la même Place (mais aussi à une exemplaire Place Hervé Faye), et sans compter les affichettes du festival de théâtre qui continuent à être accrochées aux murs ou aux arbres (et pas clouées comme le disait un stupide individu) un peu partout le long des rues, et que personne ne songe à décrocher depuis la fin du festival, voilà qui commence à faire lourd dans le paysage.
Si en plus on ne devait pas faire gaffe ou l'on met les pieds, pour éviter de glisser ou butter sur quelques étrons canins ou autres déchets qui parsèment certaines de nos ruelles, Saint-Benoît pourrait bien redevenir un village sympathique !

Nous voilà donc en présence d'un avatar supplémentaire d'une pollution publique et publicitaire, mais aussi humaine et animale, froidement acceptée par tous et par nos élus.
Quand cesseront donc ces atteintes au bon goût, qui défigurent un village encore annoncé comme comptant parmi "les plus beaux villages de France"...

PS :
On nous a signalé depuis :
- Que ce serait bien, selon le maire, la présidente (élue par qui ?) du Syndicat d'Iniative, et quelques commerçants, qui serait à l'origine de cette implantation... Que la même présidente aurait planté des tuiles "Canal" (une spécialité du sud) sur le toit de son garage et qui a fait appel à une société de Saint-Laurent-du-Var (dans le sud aussi).
Est-ce vrai et faut-il un syndicat pour avoir d'aussi bonnes initiatives ?
- Que les responsables du syndicat d'initiative de Saint-Benoît ne seraient pas autoproclamés mais, parait-il, nommés (ou élus ?) par un aréopage de personnalités extérieurs au village, dont ferait partie M. Gérard Mayaud. En plus de la présidente, M. Clidière, de Chaillac, serait vice-président. On ne nous a pas dit qui en était le secrétaire mais il paraîtrait que Guy Dagorne,notre premier adjoint, en serait le trésorier et qu'une des conseillères municipales bénédictines en serait un des piliers (pas si solide que ça). A qui rendent-ils compte de toutes leurs belles initiatives ?
- Que la "vente" de tels panneaux et mobilers urbains serait assurée par la femme d'une haute personnalité du canton..
Si tout cela est vrai, on se demande à qui profiterait donc le crime ?

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Courage... fuyons !

Incroyable...

Trouvé, par hasard en bas de page 3 de la Nounou du Vendredi 9 juillet 2004. On peut lire ceci :
"SAINT-BENOÎT-DU-SAULT
Conseil municipal
Pierre Cuévas, pour raisons personnelles et professionnelles, a démissionné de son poste de troisième adjoint au maire de Saint-Benoît-du-Sault. Toutefois, il reste au sein du conseil municipal."

Nous ne ferons pas de commentaire, mais comment expliquer que celui qui racontait, récemment, à un citoyen bénédictin "qu'il était apolitique et qu'il ne voulait que le bien de la commune et des administrés", puisse jeter l'éponge aussi vite. Bon, il est toujours conseiller... ce qui ne changera pas grand chose !
" Raisons personnelles et professionnelles", dites-vous, M. Cuevas ?
Ah bon...
On attends la suite car, selon le compte-rendu de l'opposition, comme celui (paraît-il) de la mairie, M. Bourgoin aurait bien démissionné de son poste de "Conseiller spécial du maire".
Ben voila une nouvelle qu'elle est marrante !
Nous on attend que cela se confirme... mais une question se pose :
Après de telles défections, qui viendra renforcer l'équipe dirigeante de la municipalité ?
Avec seulement deux adjoints, dont un adjoint qui ne sait pas conduire et un autre que personne ne voit
(sauf auprès des pierres tombales, comme nous le laissent entendre certains), la question d'une gestion municipale efficace reste posée.
Pour se sentir moins seul, M. Level fera-t-il appel à l'opposition pour compléter son équipe ?
Il faudra certainement qu'il leur donne quelques garanties sur le futur de la commune...
Donc, une affaire à suivre attentivement !


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Délocalisa... quoi ?


Affiche non signée... comme d'habitude !

Ben oui, en regardant l'affiche placardée, depuis ce printemps, sur certaines vitrines du village, on se dit qu'enfin les commerçants de Saint-Benoit ont décidé de prendre notre avenir en main...
Purée, mais c'est l'horreur, ce titre "NON à LA MORT DU VILLAGE" vous saute au visage comme une belle claque à la droite
(la joue)...

En dessous, un "NON à LA DELOCALISATION", vous en recolle une deuxième à la gauche (la joue aussi), avec une idée qui mobiliserait même le plus Eurosceptique...
Car l'emploi du terme "Délocalisation" ne pourrait que faire penser immédiatement aux déclarations, pas si lointaines, du PDG de la SITRAM menaçant de faire partir quelques-unes de ses productions vers une Asie agressive par ses faibles coûts de main-d'oeuvre !

Rien de tout ça dans cette affiche, car, en prolongeant sa lecture, on constate vite que ce mot d'ordre ne concerne que le marché hebdomadaire et surtout de son positionnement géographique...
Qui donc aurait, dans la direction municipale, décidé de transférer le marché, qui sait, à Roussines, voir à Chaillac, ou pourquoi pas à Eguzon...
Et pourquoi pas en Chine pendant qu'on y est ?
Et bien personne !

Alors pourquoi cette formulation agressive ?
Parce qu'une décision du conseil municipal tendrait à faire revenir le marché du Samedi sur la Place de la Butte... en haut du village, où elle se déroulait depuis de nombreuses années, jusqu'à ce qu'un maire, démissionnaire depuis, et ses élus (dont certains sont encore là) décident de l'en déloger, à la demande de l'association des commerçants de Saint-Benoît.
Et tout ça pour l'installer dans le vieux village, sur une place étriquée (la place Hervé Faye), peu facile d'accès et, surtout, rendant ce marché peu "visualisable" par les personnes externes au village, voir même à ceux qui habitent sur la route d'Argenton... dont beaucoup se demandèrent si le marché n'avait pas purement et simplement été supprimé !
Résultat : les quelques "commerçants forains" qui s'y sont installés ont vite déchanté... et durent constater la défection d'une clientèle habituelle.
De nouveaux marchands, qui furent sollicités pour s'y installer, ne donnèrent pas suite.

Quant aux "anciens de la Butte", certains d'entre eux décidèrent de fuir ce lieu où l'idée de faire des affaires passait pour une vue de l'esprit.
Ce sont même les rescapés qui ont sollicité un retour à la case départ...
Car après moins de deux ans de ce déménagement, on se demande où en est la liste monumentale que le démissionnaire Dumont annonçait, par tracts, juste après (
et que nous avions publié avec deux articles en juillet 2002 et que vous trouverez, à nouveau reproduit, ci-contre)?
Bien loin de ce qu'ils, lui et ses élus, prévoyaient à l'époque !
En plus dans cette histoire, les dés sont pipés, car il est impossible de dire si les "commerçants sédentaires" ont vu, grâce à l'arrivée du marché sur la place Hervé Faye, leurs chiffres d'affaire respectifs augmenter.
Si cela était le cas, n'est-ce pas plutôt grâce à de bonnes initiatives commerciales, comme l'organisation des marchés de nuit ?

Au milieu de tout cela, la population bénédictinne se sent embarquée dans un débat qui ne la concerne guère...
Un constat fait par une habitante du vieux bourg qui, malgré son grand age, se fichait éperdument du lieu du marché, mais s'inquiétait plutot de la baisse de l'offre commerciale et de sa diversité...
Juste pour un jour par semaine !


Le tract municipal du printemps 2002

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Votez EuroZozo !
À Saint-Benoit aussi, on peut voter EuroZozo !
Il n'y a qu'à comptabiliser les listes contenues dans l'enveloppe électorale des Européennes, pour l'immense région Limousin-Auvergne-Centre qui n'aura que 9 élus, pour apprécier la dispersion.
À Gauche, 4 listes : 3 pour la Gauche "classique" (Parti Socialiste, Parti Communiste et Verts), 1 pour l'extrême gauche (LO-LCR) ;
À Droite, 8 listes : 3 pour la Droite classique (UDF, UMP, et Villiériste), 2 pour la droite extrême (F-Haine et turcophobe) , et 3 d'une droite sensible ou masquée (France d'en haut, Traditionalistes du Fusil et Contribuables-actionnaires).
Ne parlons pas d'autres groupuscules droitiers qui incitent leurs éventuels électeurs à télécharger leur bulletin sur internet (oui, oui, y'en a !).
Les Européennes attirent aussi quelques francs-tireurs, farfelus et le plus souvent partisans d'eux-mêmes.
Ainsi à Saint-Benoît, et une fois de plus, un de nos Zozos (surnom donné à ceux qui nous avaient arrosé de lettres anonymes depuis les élections de 2001), vient de sévir en se présentant...
Dans un courrier, le voilà-t-il pas qui ose demander aux Bénédictins de voter pour lui le 13 juin prochain...
À le lire, il faudrait revoir la transparence des investissements (communaux ou non), et organiser le lutte contre les "galettes vertes" qui se seraient posées à la surface de l'étang (tu es sûr que ce ne sont pas des OVNIS ?).
Un tel mélange de poujadisme manifeste, et d'écologie à la petite semaine, ne pourra laisser insensibles ceux qui cherchaient à pratiquer le vote INUTILE...
Ils pourraient bien ainsi, avoir la possibilité de voter pour une Europe de la Connerie...
Car chacun sait qu'elle n'a pas de frontière !

 

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H! (??/0?/2004)


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à suivre...
Ces pages sont des pages d'informations générales sur la commune.

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