St-Benoit - Index Actualités 2009/01h

Le Père Siffleur et les cartes de voeux !

Sur la page 3 de la NR du Vendredi 2 janvier 2009

Dans un article publié le vendredi 2 janvier, un rédacteur de la Nounou ironisait sur la cate de voeux envoyée par Michel Sapin.
"Indre / Actualité Départementale / Insolite
insolite
Mon beau Sapin…
(Légende photo : DR : Le nom de l’expéditeur ? Facile, c’est dessiné dessus.)
Allez, on ne résiste pas à partager avec vous ce trait d'humour d'un élu. Ce n'est pas tous les jours fête... Parmi les premières cartes de vœux reçues à notre rédaction, il en est une qui ne manquait pas de recul sur soi. Tout est sous le 2009, avec ce sapin de Noël décoré de huit boules portant des principes allant de la solidarité au bonheur en passant par l'innovation et la liberté. Qui a osé nous envoyer le dessin d'un sapin après Noël… Michel Sapin, bien entendu ! Facile ? Pas tant que ça. Il se serait appelé Royal, nous aurait-il envoyé une couronne d'Épiphanie ? Le député-maire d'Argenton-sur-Creuse a en tout cas accompagné ses vœux des mots de Georg Friedrich Haendel tirés de l'oratorio « Il Trionfo del Tempo e della Verita » : « Laisse l'épine, cueille la rose ». Après les vicissitudes du PS l'année passée, le clin d'œil est drôle. De là à en conclure que le député a autant les boules que le sapin dessiné sur sa carte, non franchement, nous n'oserions pas, vous nous connaissez… Nous ne sommes pas joueurs pour un sou.
Sébastien Acker "

De son côté, Le Père Siffleur nous a fait parvenir ce commentaire ironique :

En lisant la Nounou de ce matin, je vois que le journaliste rend hommage à Michel Sapin qui fait preuve d’humour en adressant un sapin de Noël comme carte de Vœux pour l’année 2009
Chaque boule y est porteuse d’un message, Liberté, Légalité etc..

J’ai donc aussitôt pensé que notre "Seiller" pourrait, lui aussi, présenter ses vœux en maillot de bain grande classe avec comme souhait :
Soutenons les bourses malgré la crise !

Le Père Siffleur

Début

Au Blanc, malgré l'interdiction,
les "Pétards" trainent pourtant dans les rues !

Notre ami "Le P'tit Canard" nous signale un autre merveilleux articulet publié dans la Nounou du samedi 3 janvier 2009, page 2...
Accrochez-vous encore une fois :
" Indre / Faits Divers
Quatorze obus retrouvés en centre-ville du Blanc
Quatorze obus de la Seconde Guerre mondiale déposés dans un cageot sur un trottoir de la rue de Ruffec, en centre-ville du Blanc, ont été retrouvés le 1er janvier. Alertée par un passant vers midi, la gendarmerie a barré la rue. Ces obus antichars, fortement oxydés, semblaient avoir séjourné longtemps dans l'eau, et ne présentaient heureusement pas de risque avéré. Toutefois, leur enlèvement a nécessité l'intervention de l'équipe de déminage de La Rochelle et la mise en place par la gendarmerie d'un périmètre de sécurité et d'une déviation le temps de l'opération.
Le parquet de Châteauroux rappelle à cette occasion qu'en cas de découverte de vieux obus, il convient d'avertir la gendarmerie ou la préfecture, afin que ces munitions – qui restent souvent dangereuses, après des décennies – puissent être évacuées avec les précautions requises."
Nous on pense que le déposant de ce sinistre paquet cadeau voulait sans doute respecter à la lettre la circulaire qui interdisait l'usage de "pétards" et autres "artifices de divertissement", durant le reveillon de la Saint-Sylvestre, une interdiction qui aurait dû concerner aussi la Bande de Gaza, et ses abords.

Comme nous le disait "le P'tit Canard" :
"Faut vraiment être fou pour fumer des trucs pareils !"
Nous le pensons aussi !

Une usine anglaise, durant la seconde guerre mondiale.
Ca aussi, c'était interdit à la mise à feu, et évidemment interdit de les fumer le soir de la Saint-Sylvestre (Source inconnue)

En recherchant avec Google, nous avons trouvé cette photo, sur le site du ministère de la Défense, ainsi légendée :
"28/08/07 : Le Génie à Kaboul, 20 tonnes détruites.
Les sapeurs du 17e régiment du génie parachutiste sont chargés de détruire un stock de munitions (obus, grenades, mèches...) récupérées sur le terrain.
(Sources : EMA, Droits : Ministère de la défense)"

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