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L'actualité de Saint-Benoît et des environs
(janvier 2009 CC)
:

Nouvelles de la Communauté de Communes (3) :

Début

La Communauté de Communes,
dites "de la marche occitane", a un perdant célèbre !
(articles du 16 janvier 2009)

L'Histoire que tout le monde colporte !

En ce début janvier, lors des voeux d'une personnalité très officielle du département, des élus se sont moqués ouvertement du "dépité de la marche occitane".
Pour lui permettre de bien démarrer l'année, et surtout pour qu'il puisse sécher ses larmes, ils lui ont offert, devant suffisamment de témoins, une boîte de mouchoirs en papier.
Une telle plaisanterie n'a guère été prisée par la personnalité invitante qui en fut irritée...
Pas plus qu'elle ne fut appréciée par l'heureux bénéficiaire du cadeau...

Comme il a dû copieusement les maudire !


Erreur de chiffres !

Décidément, grâce à la NR, on s'habitue aux erreurs...

Après le "long papier" non signé du 3 janvier qui évoquait l'arrivée de Philippe Gourlay à la présidence de la communauté de communes de "La Marche Occitane", il fallut constater une erreur sur le nombre de votants dans cette "élection" très sensitive. Dans les jours qui suivirent, le mardi 5 janvier, on vit apparaitre un rectificatif qui disait ceci :
" st-benoît-du-sault
> PRÉCISION. Dans notre édition de samedi, dans l'article relatant l'élection de Philippe Gourlay à la tête de la communauté de communes de la Marche occitane, il fallait lire 17 votants et non 10 comme indiqué par erreur. Un bulletin nul était également à noter."

Et oui, en rédigeant notre papier, nous nous étions interrogé sur ce chiffre de 17 votants, pensant que la représentation s'était faite à raison de deux délégués par commune et que trois d'entre eux étaient absents.
Mais en allant aux renseignements, on nous signala que le mode de délégation marchait par tranches d'habitants : 1 entre 0 et 500 habitants, 2 entre 500 et 1000, 3 pour plus de 1000.
Entre les retaillages évidents, ou autres modifications qui rendent souvent difficiles l'écriture d'un papier dans cette "nouvelle formule de la Nounou", il faut constater que les CLP (correspondants locaux de Presse) n'ont pas la rédaction facile et n'ont guère le temps de vérifier certaines informations, qu'ils n'auront d'ailleurs pas la place de dévelloper ou de clarifier.
Cette perte de qualité éditoriale serait-elle à l'origine de la baisse de lectorat que la NR constate en ce début d'année, provoquant des licenciements donc à des mouvements sociaux annoncés aussi chez les journalistes ?

Jean-Mimi à la rescousse !

le mercredi 07 janvier en page 5, la nounou n'a pas hésité à publier un long papier sur la défaite de notre "seiller", car le titre ne laissait planer aucun doute : "La défaite surprise de Gérard Mayaud". Quand à la légende de la photo, elle indiquait sous le portrait du perdant : "Photo d’archives NR : Gérard Mayaud espérait la reconnaissance de ses collègues."
Bien sur, celui-ci était signé par le rédacteur attitré de l'élu de Chaillac, qui pensait peut-être venir au secours de son habituel ami, en laissant paraître ses regrets d'un tel désastre pour le canton de Saint-Benoît.
Pour concrétiser cet espoir déçu, le journaliste n'hésita pas pas à tendre le micro en direction dudit "seiller", qui exprima son dépit dans les quelques perles suivantes :

"« Je ne cherche pas les honneurs, mais ce poste aurait été un signe de reconnaissance. J'avais énormément potassé le projet, nous avons des atouts économiques exceptionnels, mais une fois de plus tout capote à cause des élus de Saint-Benoît qui ont monté les communes les unes contre les autres avec le dossier du prieuré. J'en faisais un élément important de mon programme, ils en font une priorité ! »
Pierre Level, le maire du chef-lieu se défend d'avoir comploté contre le conseiller général : « Ça n'a rien à voir. S'il avait fait les comptes avant l'élection, il aurait compris qu'un autre tirerait les marrons du feu. L'important est de travailler maintenant ensemble. »"...

Et le même article précisait "Gérard Mayaud avoue « Je n'en fais pas une maladie mais dorénavant je compte m'investir davantage au niveau du Département.»"
Ben depuis la distribution de "brassards fluo" aux collégiens, on est rassurés... son investissement risque d'être toujours aussi limité, bien qu'il souhaiterait parait-il devenir le président du CG à la place de Pinton ! Devra-t-on l'appeler Iznogoud ?
En tout cas, un tel papier, même s'il ne fait pas part des réflexions peu amènes du CG du canton à l'issue de la réunion, ressemble un peu à un lâchage, plutôt qu'à la fourniture de mouchoirs attendue par l'interviewé !

Quand notre "Seiller" déclare qu'il avait potassé le projet, c'est vrai, on peut le croire, car il espérait bien se faire élire...
C'est d'ailleurs pour ça que la préfecture avait repoussé toute décision concernant le bien-fondé de son projet pour "l'après-élection cantonale".
Cela laissa à "Monsieur de Seillant" le temps de peaufiner un transfert de compétences à la mesure de son ambition...
Elle lui aurait probablement permis de superviser toutes les finances de la communauté, et surtout aurait pu lui permettre de contrôler deux postes importants parmi les compétences transférées : La Culture et le Patrimoine.
Tel un "Super-Maire" d'une communauté dont chaque entité aurait perdu beaucoup de ses pouvoirs, peut-être même plus que ce qui se passe dans les Cdc de Brenne-Val de Creuse, d'Eguzon-Gargilesse, ou même d'Argenton, ce super-contrôle englobait deux points qui lui auraient permis de mettre définitivement à la poubelle un projet culturel et patrimonial qui aurait donné un avenir à Saint-Benoît-Sault, un projet qu'il essaie de torpiller depuis 2001 au moins : Le projet du Prieuré.
On comprend mieux alors pourquoi il crache si fort son venin sur ce projet dans le papier de la Nounou, d'autant que la compétence Culture et Patrimoine revient à celui qu'il voue aux gémonies : Monsieur Level, maire de Saint-Benoît.
Il pensait bien que la représentation par tranches d'habitants lui apporterait sans encombre le titre de président car, comme commune la plus peuplée du canton, Chaillac avait 3 délégués à cette réunion.

Potasse encore !


Le jour où notre seiller a reçu ses palmes académiques !

Malgré cela, il semble que des élus de communes qui d'habitude lui faisaient confiance (pas seulement des élus de droite) ne l'ont pas suivi. Il faut dire que son insistance à être le premier de cette communauté a pu en froisser quelques-uns.
Qu'en plus, il se permette de casser du sucre sur le dos du maire de Saint-Benoît, Pierre Level, et le rendre responsable de sa déconfiture est tout bonnement hilarant.
D'abord parce que le Prieuré n'est probablement pas la seule raison de sa défaite.
Ensuite parce que Level est fortement soupçonné d'avoir été "l'abstentionniste à répétition" "qui s'est manifesté pour chacun des 4 votes.
Quel camouflet si l'abstentionniste avait en plus voté contre notre seiller !
En tout cas, le maire de Saint-Benoît a bien raison d'ironiser sur l'erreur de calcul de notre seiller, car un enseignant qui ne sait pas compter, c'est grave.
Ceci étant, l'élu bénédictin n'a peut-être rien à lui envier, lui qui va s'occuper de la Culture et du Patrimoine dans la nouvelle communauté de communes, lui qui su tellement se montrer humble devant le créateur et homme de théâtre Armand Gatti, et surtout quand on connaît le déroulement folklorique de la commission culturelle qui fût réunie par son premier adjoint à la fin de décembre dernier !
On vous en reparlera !


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