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Cette année encore la 15ème édition des Foires Grasses de Brive à Saint-Benoît a remporté le succès escompté.

Et pourtant la commune de Chaillac, qui ne se voudrait absolument pas jalouse des activités du chef lieu de canton, avait pour la troisième fois consécutive, choisi la même date pour son Marché de Noël.

Pure coïncidence me direz vous, car il faudrait être sacrément tordu pour penser une chose pareille.

Mais pour confirmer le proverbe "jamais deux sans trois !" le seigneur à béni ce marché, vu ce qu'il a plu toute la journée.

A qui peut-on se fier grand'dieu ?

Le Père Siffleur

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Ce matin du 31 janvier, la Nounou en rajoute une couche en page 2 :
"Indre / L'événement (page 2)
le billet
Le préfet n'aime pas les pétards
Dormez tranquilles, amis Indriens, la préfecture a décidé d'interdire « l'utilisation des pétards et artifices de divertissement » en cette nuit de passage à 2009. Raison invoquée ? « Afin de conserver à la nuit de la Saint-Sylvestre son caractère festif et limiter les débordements ». Un conseil, tous chez nos voisins de Bourges où ce mercredi, place Séraucourt, à 23 h, la compétition pyrotechnique réunira quatre pays avec dix minutes de feu d'artifice chacun. Chut ! Pourvu que les échos ne réveillent pas notre préfet…
Sébastien Acker"
Ben en voilà une info qu'elle est bonne, mais il paraîtrait que cette interdiction serait nationale !
Dire que nous avons failli boycotter les J.O. de Pékin, et les chinois qui sont les inventeurs de la poudre, et évidemment des feux d'artifices et autres pétards...

Ci-contre : Faudrait vraiment être fou pour fumer ça !

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Sans faute, allez-y !

- Dis, ta fameuse lettre, Je l'ai lue !
En sortant du Café-débat consacré à «L'Etat : pouvoir et contrepouvoir», j'en ai trouvé un exemplaire jeté par terre. Ce n'est pas toi qui l'aurait jeté ?
- Non, moi je sais où la jeter sans polluer, et ceux qui voulaient le faire auraient pu le mettre dans une poubelle !
Ça, c'est comme pour les fautes d'orthagraphe ou l'inexactitude, cela s'appelle un manque de culture et de respect des autres !
- En tout cas, cette découverte m'a permis de la lire. Il y manque des mots ou quoi ?
- Oui, et c'est aussi à cause de ça que j'aurais eu une raison supplémentaire de ne pas y aller !

Cliquez sur cette ligne ou sur la photo ci-contre pour obtenir une version permettant une impression de meilleur qualité.

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(1) La Petite Boutique des horreurs (The Little Shop of Horrors) est un film américain réalisé par Roger Corman, sorti en 1960.
Un remake en fut fait :
La Petite Boutique des horreurs (Little Shop of Horrors) est un film américain réalisé par Frank Oz, sorti en 1986.

"Employé d'un minable fleuriste, le jeune Seymour est propriétaire d'une mystérieuse plante "tropicale" qu'il a baptisé Audrey Junior par amour pour Audrey, sa jolie collègue de travail.
Mais la plante se nourrit de sang humain, parlant pour réclamer sa nourriture et grandissant de façon inquiétante : elle devient très vite une attraction touristique. Bientôt, Seymour est obligé de lui fournir de nombreuses victimes et se retrouve pourchassé par la police ..."

Du vent, encore du vent !

Il y a bientôt un mois, La Nounou nous promettait un long article sur les éoliennes de Mouhet and Co, dont la DDE refusait l'implantation pour cause de "protection du paysage" alors qu'elles borderaient l'autoroute.
Aussi sec, notre "seiller" nous refait sa "Peube pour ses panneaux solaires grâce à notre Jean-Mimi de la NR.
Rappelons quand même que notre "seiller", avec l'aide du même, avait sérieusement bourré le mou des électeurs du canton lorsqu'il leur annonçait, juste avant les élections cantonales que le démarrage de la centrale photovoltaïque aurait lieux durant l'été 2008.
Un mensonge de plus, comme on peut le constater puisqu'en novembre, soit 6 mois après les élections, on en est encore qu'à la pose des clôtures.

Il en met un rayon !

"L'énergie solaire va rayonner à Chaillac", tel est le titre du magnifique dossier que présentait la NR du Samedi 22 novembre 2008.
Avec un titre pareil, il n'y a rien d'étonnant que son rédacteur en soit notre cher Jean-Mimi, connu comme amateur de rayons... de vélo.

Et pourquoi pas la Famille Pierrafeu !

Toujours grace à Jean-Mimi, on apprend aussi que le dénommé Ronald Knocke, président du directoire d'Eco Delta Développement, aurait déclaré que «L'ancien site de la Barytine va passer de l'âge de pierre à l'âge du soleil.»
Et pourquoi pas le dire du Canton de Saint-Benoît-du-Sault, pendant qu'on y est ?
On va finir par croire que dans notre canton, s'il n'y avait notre "seiller" et ses lumineuses idées, on en serait encore à croiser la Famille Pierrafeu ou l'homme de Cromagnon !

Est-ce que ça vous chatouille, ou est-ce que ça vous grattouille ?

Le "Docteur" Knocke insiste aussi sur l'idée que ce projet serait un des plus importants qui existerait, sans préciser si c'est dans l'hexagone ou en Europe, ou dans le monde entier.
Signalons quand même que des projets bien plus importants sont déjà installés, ou en cours d'installation, dans la partie orientale de l'Allemagne (vers Leipzig, en particulier), chez des allemands qui seraient largement en avance sur cette technologie.

«Les gens bien portants sont des malades qui s'ignorent !»

C'est ce que disait Le docteur Knock, héros du roman de Jules Romain "Le Docteur Knock, ou le triomphe de la médecine" (1923), connut grâce à la forte personnalité de Louis Jouvet.
On pourrait dire que dans notre Canton, les citoyens qui croient encore aux projets de notre "seiller" pourraient bien être considérés comme " des gens intelligents qui sont des cons qui s'ignorent"

On kife avec les plantes tropicales !

Voici maintenant notre "seiller" en train d'envisager l'aménagement d'une plantation de fleurs tropicales sur le site de la Barytine.
Grâce à tous ces projets pour convertir une friche industrielle, il espérerait compenser la TP de 300.000 € de la taxe professionnelle jadis versée à la commune de Chaillac par la Barytine.
Si on ne connaissait pas l'habituel sérieux du maire-conseiller général, on pourrait croire au rêve d'un mec ayant tendance à fumer la moquette.
Espérons que ce ne sera pas une espérance qui finira par couter cher aux contribuables du canton.
Alors, pendant qu'on y est, il reste une solution : pourquoi pas la culture du Hakikke dans cette serre de plantes tropicales ?
Il paraitrait que ce soit une production rentable, sauf si on se fait prendre !

Que la lumière fut !

On sait très bien que notre "seiller" n'en est pas à sa première idée lumineuse et soi-disant éclairée :
- Son Sictom du Rasimier, tellement privatisé et tellement rentable qu'il dut cesser de fonctionner. Sa gestion et le ramassage des ordures ménagères fut, depuis, confié à l'ennemi mortel : Le Symctom qui ramassait déjà les OM au delà de la Communauté de Communes de Brenne-Val de Creuse, et qui avait été créé par celle-ci !
- Son moulin de Seillant, dont les premières initiatives ont été annulées, parait-il pour des raisons de météo désastreuse ! Visiblement fait pour concurrencer le projet du Prieuré, on peut légitimement se demander si un jour sa rentabilité sera assuré. Lorsque l'on connaît la situation du Moulin Saint-Etienne d'Argenton sur Creuse, qui n'a jamais trouvé son seuil de rentabilité, on peut se poser des questions sur l'avenir d'un centre aussi bien situé.
- Sa Communauté de Communes dite "de la marche occitane". Avec une population insignifiante, on peut bien se demander où elle pourra trouver les moyens d'exercer ses compétences, et surtout quand elle finira par rejoindre, enfin, une communauté plus grande, genre Brenne-Val de Creuse, par exemple.
Etc, etc...

Ci-dessous, vue de la tour de Brosse dans son nouvel environnement tropical.
Pourquoi notre "Seiller" n'y avait il pas pensé avant ?

Au régime !

"On finira par avoir des bananiers à la Barytine" nous disait un habitant de Chaillac...
Normal, il faut bien que quelques-uns se bananent !

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Grosse rigolade à la lecture de la Nounou du 15 décembre dernier.

Il faut dire que nos petites citations extraites du dernier spectacle de Patrick Timsit n'avaient pas plu à certains amis lecteurs, castelroussins de résidence ou d'origine, qui trouveaient quand même que le comique avait quand même la main pas mal lourde pour décrire les beaux dimanches de Châteauroux.
Grace à la Nounou, nouveau journal satirique de l'indre, nous avons pu constater que certains castelroussins, eux-mêmes, savaient avouer que leur belle ville n'avait pas que des avantages et que son aspect désertique les impressionnait aussi.
Un exemple avec Roulatacles, billetiste de la Nounou, qui a été obligé de faire un constat étonnant :
Malgré la pluie, les rues de la ville s'étaient remplies un dimanche, même d'hiver...

"Indre / Châteauroux / Roulataclès
roulataclès
Pincez-moi je rêve !
Quel est le comble de Châteauroux ? Je suis tenté de répondre : que ses habitants sortent le dimanche. Et bien je n'ai plus qu'à ravaler ma langue. Vous me croirez si vous le voudrez mais, ce dimanche, Châteauroux est apparu métamorphosé. Il y avait des gens en ville… Oui, oui, de vrais gens, avec des manteaux, des sacs et tout, qui se promenaient. Comme ça. On aurait même presque pu croire qu'ils en avaient l'habitude. Là où j'ai déchanté c'est quand j'ai vu les parapluies. Et oui le rêve a ses limites. Si le no man's land dominical avait disparu, il ne faut pas rêver : cela restait un hiver dans le Berry !"

Et oui, Timsit semble être maintenant un peu dépassé !