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Un président de la république, on dit généralement qu'il s'agirait d'Édouard Herriot, disait "la culture c'est ce qui reste après que l'on ait tout oublié."
Et Jean Yanne (Jean Gouyé de son vrai nom), prétendait, lui, que "l'oubli c'est ce qu'il reste quand on a tout cultivé."
La Nounou n'hésite pas aussi à mêler les genres. La preuve ci-dessous, avec le titre de l'article publié le 12 décembre 2008, page 17.

En rédigeant ce texte au moment même où se déroulait, en mairie, la fameuse réunion sur l'avenir culturel de Saint-Benoît (samedi 13 décembre vers 11h, heure de l'apéro), j'avais une pensée émue pour tous ceux qui creusent le champ culturel d'un sillon de charrue...
Redécouvrons-donc les définitions du mot culture :

"culture.
Nom féminin singulier :
1. (subst.) en agriculture, fait de cultiver des sols, terrain cultivé lui-même;
2. mode d'exploitation des sols;
3. en biologie, mise en croissance de micro-organismes dans des milieux particuliers, les micro-organismes obtenus;
4. instruction, éducation, ensemble de l'acquis;
5. ensemble des éléments distinguant une société, un groupe social, d'une autre société, d'un autre groupe."

Oui vous avez bien lu, "ensemble des éléments distinguant une société, un groupe social..."
Rares sont les communes qui peuvent s'honorer d'avoir autant de diversité parmi leurs habitants.
Mais il semble qu'à Saint-Benoît, pour certains, ce soit chose normale que d'exclure des individus représentatifs de cette diversité d'un débat important sur la vie culturelle de la cité, ceci sous de fallacieux prétextes.
Combien n'ont pas été jugés en capacité de participer à cette commission Théodule, alors qu'ils étaient conscients qu'il fallait redresser la barre et comprenaient l'importance qu'une telle réunion pouvait avoir pour la vie sociale ou culturelle de la commune ?
Allez savoir !
Donc, en fait de mariage de la Culture et de l'Agriculture, il ne faut pas s'étonner que l'actuelle direction communale de Saint-Benoît ne sache rien faire d'autre que s'enorgueillir auprès de "la presse" d'accueillir encore "les Foires Grasses" ou la Foire aux vins des Pays de Loire, deux des rares survivances des activités mises en place par la municipalité d'avant 2001.
Ceux qui ont pris le pouvoir depuis 2001 (il en reste quelques-uns dans l'actuel conseil, dont le maire et un adjoint) n'ont pas manqué de faire en sorte que la commune devienne un désert culturel... et ceci à grand coup de produits phytosanitaires intellos et autres pesticides élitistes !
Quand cela s'arrêtera-t-il ?
M.L.

Au Blanc, dans la NR ou dans la Marseillaise de samedi matin, on découvrait que Denis David devenait "l'homme de la culture de proximité".
On dit même de Denis qu'il est prêt à relever le défi qui lui a été proposé par l'équipe municipale du Blanc qui voulait "renforcer sa ligne offensive en matière culturelle en intégrant Denis David sous la forme d'un contrat d'accompagnement à l'emploi."
Comme le souligne la NR "Lors de sa présentation mercredi soir, Alain Pasquer, premier adjoint et Danièle Chaudagne, adjointe chargée de la culture ainsi que Chantal Delavau, présidente du centre culturel ont souhaité préciser les choses : « Denis n'est pas un personnel en plus au centre culurel ni un rival du centre culturel . Chacun a sa place. Dans notre programme municipal , nous souhaitions compléter le programme culturel et renforcer la proximité. » Denis David a déjà mis le bleu de chauffe et commencé à travailler sur des animations touchant les maisons de retraite. Une feuille de route lui a été remise avec un chantier musical, culturel estival..."

Denis n'est pas un inconnu pour les habitants du sud-ouest du département, puisqu'il a animé de nombreux bals et festivités, nous gratifiant, avec ses accompagnareurs, de bons morceaux musicaux, souvent de style manouche, comme lors des foires aux moutons de Saint-Benoît (voir la photo ci-contre, qui date du 4 août 2007, le matin de cette foire).
Il semble que la commune du Blanc tente, avec Denis, de combler un vide laissé par le départ de la troupe du "Réveur du Temps Fou" dont certains n'avaient pas compris l'utilité et qui sentant une certaine incompréhension décida de stopper sa présence au Blanc.
Enfin, "un chantier musical, culturel estival...", voilà qui risque de faire de l'ombre à quelques bouchures depuis longtemps victimes du remembrement.
À Saint-Benoît depuis 2001, la municipalité a préféré que la culture soit privatisée, par exemple en soutenant une association qui lui a couté en 2008 quelque 5000 euros de subventions, sans compter d'autres prestations non recensées, pour un résultat qui n'a pas vraiment prouvé sa popularité et son efficacité.
L'avenir sera vraisemblablement du même tonneau, puisqu'il semblerait que cette attitude ait été celle d'une majorité de ceux que la municipalité avait conviés à la réunion qu'elle a organisé samedi.
Continuons ainsi, et ne changeons pas une politique qui perd !

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D'argent à un arbre de sinople.

le Révérend Père Sylvain Perussault.

Merci à Isabelle et Gilbert, de la Librairie de Saint-Benoît, pour la documentation présente sur cette page.

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ALINEA + en Diner-Concert !

Vendredi 12 décembre à partir de 19h30 :
Un concert du groupe "Alinéa +" (Vocal trad) se déroulera au moulin de Seillant dans le cadre des "Diners du moulin".
Diner + concert 15 € enfants 6 €
Réservation au 02-54-25-75-69 ou contact@lemoulindeseillant.org

Le site où trouver des chansons du Groupe Alinea :
http://www.myspace.com/alineacapella

Pas besoin d'être atteint d'Alzheimer pour entendre Doulce Mémoire !

Vendredi 12 décembre 2008 en l'église Saint-Sauveur d'Argenton-sur-Creuse, à 20h30 :

Un concert à ne surtout pas manquer !
Doulce Mémoire, dirigé par Denis Raisin Dadre vous présente "AMOR TIRAMISU JESU".
Doulce Mémoire, cet ensemble professionnel de très haute qualité, a largement fait ses preuves !
Denis Raisin Dadre a définitivement modifié notre perception de la Renaissance !
Ce groupe vocal est, et restera, prodigue en nouveautés marquantes !
Ce Concert, c'est L’expérience d’une rencontre entre un ensemble professionnel, des chœurs amateurs (Argenton et Gargilesse) et le public.
consulter le site www.doulcememoire.com

ATTENTION, il est préférable de réserver à l’office du tourisme d’Argenton sur Creuse au 02 54 24 05 30.
Prix des places : adultes : 10 €, enfants (jusqu’à 12 ans) : 5 €.

"TIRAMISU AMOR JESU"
Laudes italiennes
Chantées dans le cadre des confréries, des processions ou même à la maison, les laudes écrites en italien, par opposition au latin, langue officielle de l'Eglise, se définissent comme des chants religieux paraliturgiques. Des mélodies simples et séduisantes, des rythmes répétitifs, des textes accessibles à tous caractérisent ce style. Le concile de Trente, en 1563, soutient cette forme de musique avec l'objectif de s'en servir comme moyen de propagande pour récupérer les âmes égarées par la Réforme de Luther. Considéré comme mineur, ce répertoire n'a, à ce jour, guère été étudié et surtout joué. Il présente pourtant un immense intérêt, surtout dans ces temps de questionnement interreligieux, car il montre un aspect inhabituel de la musique religieuse occidentale, plus proche des pratiques des confréries musulmanes et des musiques de transes que la grande tradition contrapuntique qui a marqué toute la musique religieuse : "l'ars perfecta" des XVe et XVIe siècles. Pendant le concert, des laudes seront également chantées par l'Ensemble Vocal de l'Ecole Municipale de Musique d'Argenton sur Creuse et l'Ensemble Itinéraire Bis de Gargilesse. Le public sera invité à reprendre les refrains.
Ce programme fera l'objet d'un enregistrement discographique à paraître au printemps 2009 chez Zig-Zag Territoires.
Avec la participation de l'Ensemble Vocal de l'Ecole Municipale de Musique d'Argenton sur Creuse et l'Ensemble Itinéraire Bis de Gargilesse, dirigés par Catherine Gaiffe.
Le travail préparatoire des deux Ensembles e été réalisé en partenariat - avec le CEPRAVOI.

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Coluche, l'histoire d'un mec

Comédie dramatique - 2007 (Date de sortie : 15 Octobre 2008)
Réalisé par Antoine de Caunes
Avec François-Xavier Demaison, Léa Drucker, Olivier Gourmet Plus...
Film français. Genre : Comédie dramatique
Durée : 1h 43min. Année de production : 2007
Distribué par Mars Distribution

Septembre 1980. Coluche triomphe tous les soirs au Gymnase.
Comique préféré des Français , il est au sommet de sa gloire ; télés, radios et journaux se l'arrachent, et sa maison est l'endroit où se croise tout ce que le pays compte de vedettes?
Toujours prêt à pousser le bouchon un peu plus loin, il décide, pour rire, de poser sa candidature … la Présidence de la République.
Très vite, la France se bidonne, l'acclame, le soutien. Les sondages s'affolent, sa cote monte en flèche.
Et si finalement un clown se faisait élire Président ? Lui-même commence à y croire...

Petit à Petit...

Quatre Courts Métrage d'Animation - 2007 (Date de sortie : 12 Décembre 2007)
Réalisés par Pierre-Luc Granjon, Uzi Geffenblad, Lotta Geffenblad et Gun Jacobson.
Avec Sarah Cadot, Daniel Huet, Marjolaine Poulain...
Film français, Suédois.
Durée : 40min. Année de production : 2007
Distribué par Les Films du Préau (Le Parc distribution / Folioscope)

Des films tout en poésie et en tendresse...
Quatre histoires qui font grandir !

L'Enfant sans bouche de Pierre Luc Granjon (France, 2004, 4 mn) :
L'histoire d'un enfant qui n'avait pas de bouche et d'un lapin qui avait de grandes oreilles.
Les Pierres d'Aston d’Uzi & Lotta Geffenblad (Suède, 2007, 9 mn) :
Aston, lave, dorlote et fabrique de petits lits douillets aux pierres qu'il trouve.
Les Abricots d'Uzi de Gun Jacobson et Lotta Geffenblad (Suède, 1996, 12 mn) :
Un petit garçon passe la journée au bord de la mer avec son tonton.
Lola s'est perdue de Gun Jacobson et Lotta Geffenblad (Suède, 1991, 15 mn) :
Lola est partie acheter de la confiture. Au retour, elle a bien du mal à retrouver sa maison !

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Concert organisé par l’UIPB, les Amis du Blanc, Le Blanc-Accueil et le Centre culturel du Blanc au profit du TÉLÉTHON.

DIMANCHE 7 DÉCEMBRE 2008 à 15h00
à la Salle des fêtes du Blanc

NELLY VILA : " L’OPÉRA, LA FEMME ET L’AMOUR"
Morceaux choisis de Gounod, Satie, Berlioz, Messager....

TARIFS : 10 € (tarif unique)
Gratuit pour les moins de 10 ans
RÉSERVATIONS :
Office de Tourisme - 02 54 37 05 13
La soprano Nelly Villa sera accompagnée par la pianiste Emilie Braz.

Nelly Villa

Emilie Braz

Nelly VILA commence le chant dans la classe de Hugues Hugot au conservatoire de Châtellerault. Parallèlement en 2000, elle intègre la classe d’art dramatique de Philippe Lebas au conservatoire régional de Tours. Elle poursuit sa formation artistique et commence à enchaîner les rôles de soprano dans différents opéras.
En novembre 2008, elle donne un récital d’airs d’opéra du XIXe siècle dans le cadre du festival d’automne musical de Châtellerault.
En mars 2009, on pourra voir Nelly Villa sur la scène du CALA, théâtre d'opérette de Lyon, où elle jouera dans une création de cette troupe, le célèbre"My Fair Lady", la comédie musicale de Frédérick Loewe sur des Livret et lyrics de Alain Jay Lerner, et dans une mise en scène par Jean-Marc Biskup.
Dans ce qui est la Comédie Musicale par excellence, immortalisée au cinéma par la divine Audrey Hepburn, elle interprétera évidemment le rôle de Elisa Doolittle.
Cet après-midi au Blanc, elle sera accompagnée par Emilie Braz au piano. Professeur de piano dans les écoles de musique de Saint-Maixent-l’École et Le Blanc, elle participe à de nombreux concerts en tant que soliste ou accompagnatrice de solistes.

La première partie sera assurée par l’ENSEMBLE VOCAL DU BLANC sous la direction de Hugues Hugot.

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VENDREDI 12 DÉCEMBRE 2008 à 21h00
à la Salle des fêtes du Blanc

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DE DAVID STOREY

TARIFS :
8 € (plein tarif) - 5 € (tarif réduit) - 6 € (abonnement)
RÉSERVATIONS : Office de Tourisme - 02 54 37 05 13

UNE PRODUCTION :
ASSOCIATION CULTURE ET LOISIRS
36220 NÉONS-SUR-CREUSE - TÉL. : 02 54 37 73 63

Traduction : Nanou Bergeault
Mise en scène : Giovanni Ortega
assisté de Clôde Chaussebourg
et Pascal Champigny
Avec : Eric Champigny, Yves Champigny,
Christelle Viaud, Nanou Bergeault et
Francis Labbaye.
Création sonore : Olivier Thillou
Régie son : Florence Jeux
Régie lumière : Pascal Champigny

Qui sont-ils?
Les pensionnaires d’un hospice, des désaxés, des prisonniers ?
Ont-ils commis un crime, un délit ?
Ils hésitent, tergiversent, s'observent...
Scène de vies désemparées et de fragilité glaciale entre ces personnages.
Un texte sobre et complexe.
Une histoire singulière et fertile.

«La pièce de David Storey, «HOME», créée par
l’ACEL Théâtre, est telle un bonbon acidulé qui
fait délicieusement glisser les pires amertumes»
L’ÉCHO LA MARSEILLAISE, DÉCEMBRE 2007

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