<<retour à la page d'accueil>>

"www.st-benoit-du-sault.info"
L'actualité de Saint-Benoît et des environs
(Novembre 2008) :

Articles de ce mois, à lire en cliquant sur la ligne de titre :

- Notre édito du mois !


Anonces de Festivités et services

- Chaque jour, il y a de nouvelles infos dans le Bloc-Notes services des communes du Canton !!!
- La poste, une nouvelle maison close ?!?!

- Lignac : Ce week-end, 29 et 30 novembre, c'est la marché de Noël de Chateau-Guillaume !
- Programme complet du 13ème Téléthon du Canton !


Nouvelles brèves

- À Saint-Benoît, la "Diagonale du Fou" continue-t-elle ? Peut-être !



Vie politique locale :

- À Mouhet, la communauté de Commune dites "de la marche occitane" a été vivement contestée, puis votée de justesse !


Divers :
Des mises à jour ont été faites sur la page "Hôtellerie, Restaurants, Cafés à Saint-Benoît, et aux environs".

Reportages et enquêtes (sur de belles pages spéciales, ou non) :

- Saint-Benoît-de-l'Embuscade : "Amendogène" et accidentogène !

- À Saint-Benoît, un 11 novembre où ne manquait qu'une chose : Une écharpe tricolore !

- Scoop : Ben alors, grand cachottier ! ou comment on devient maire honoraire !
- Visitez notre beau village, avec un guide virtuel !


Culturelles :

- Ce que l'Avant-Scène d'Argenton vous propose en Novembre 2008 et décembre !

- "Bonjour, amis, et faites Escale... Théâtre !", du théâtre à Saint-Benoit avec L'Escale Théâtre !

- Le Cinémobile sera le mardi 18 novembre à Saint-Benoît !
- Pour ceux qui aiment le "Jazz au Féminin", à la Soutte !
- Le Blanc : Daphné sera en concert le Vendredi 7 Novembre, à la salle des Fêtes !
- Entre Ciel et Pierres... à Saint-Benoît !

-Mémoires en images, un bel article sur Michel Gau, avec le texte de l'article

-"Faites péter la veuve... du brennou !
- Paysages d'entre Vallée de la Creuse et Vallée Noire, à Éguzon !

- D'art, d'art, mais pas dare dare !

Chaque mercredi, un hebdo sans Charlie, c'est Sine-Hebdo !
Espérons qu'il durera longtemps ! Pour en savoir un peu plus sur ce nouveau journal, cliquez ci-dessous :
http://www.sinehebdo.eu/


Le programme "définitif" du 13ème Téléthon cantonal de 2008
est en ligne sur une page spéciale.
Vous pouvez la réjoindre en cliquant sur cette zone et sur l'image ci-contre à gauche.

C'était mardi 4 novembre à 20h30
La prochaine assemblée se réunira ce jour-là pour fixer les derniers détails du programme de cette opération de solidarité.
Elle est prévue le mardi 4 novembre à 20h30, toujours dans la salle 12 de l'ancien coillège de Saint-Benoît.
Contacts : Annie Laplace, tél. 02.54.47.60.32, et Jean-Louis Foulatier, tél. 08.70.52.64.79.

Et toujours :

- La soirée du samedi 16 août à Saint-Benoit, lors du Concert-Repas avec les "Elmer Food Beat !
- Le défilé des chars fleuris de la Fête de Mouhet, le dimanche 7 septembre 2008 !

"Chronique d'un vivant village", le 3ème bouquin de Jean Chatelut ! (avec un article de Georges Chatain)
- Indre, Poubelle nucléaire ?

Rolland Hénault parle de Boby Lapointe !
 Fête de l'Été 2002,  et son annonce !

"10èmes Nuits du Blues" 2002 Fresselines
"9èmes Nuits du Blues" Fresselines
Les spectacles du Grand Théâtre 2002
Les spectacles du Grand Théâtre 2001

"Elizabeth" & Rolland Hénault !
"Les Forbans" !
"La Belle Germaine" à Saint-Benoît en Août 2001 !
Les Singlar Blou à Saint-Benoît.


Index des actualités passées, actuelles ou à venir (?).

<<retour à la page d'accueil>>

Début

Notre Édito !

Le chiffre d'octobre 2008 : 20.000 !

20.000, c'est le nombre fabuleux de visiteurs que ce site aura bientôt enregistré (1), en ce début octobre 2008 et depuis son ouverture… Ceci malgré quatre années au moins de mise en sommeil de ses pages d'actualité.
Un résultat auquel il était difficile de croire lors de sa création, surtout dans un canton, où les habitants ont droit à deux quotidiens régionaux.
Pas facile de remplir, presque chaque jour, un média qui doit parler de tout sans faire ce que font habituellement les médias locaux : "faire de la lèche !"
Seulement ce site se heurte, surtout à Saint-Benoît-du-Sault, à l'indifférence d'équipes municipales successives.
À Saint-Benoît, les élus n'ont, par ailleurs, jamais fourni le minimum d'informations que ses habitants seraient en droit d'attendre d'une équipe municipale qui les respecteraient, soit par les canaux de presse habituelle (les 2 quotidiens régionaux), soit par la fourniture régulière d'un bulletin communal d'information, soit aussi grâce à ce site internet.
Il y a eu seulement deux bulletins municipaux en 3 ans, entre 2001 à 2004, et depuis rien, mais rien de rien, malgré, en mars 2008, une promesse de la liste gagnante à Saint-Benoît, celle du maire Level.
Pendant ce temps, certains dénigrent ce site internet, le jugeant paraît-il "peu professionnel" puisque, à leurs yeux, un journaliste en invalidité n'est plus un journaliste... Alors que le moindre retraité, de l'armée, de l'enseignement, ou d'ailleurs, est appelé "journaliste" quand il assure une correspondance pour la presse locale, surtout en ne fournissant que des "rangs d'oignons" aux pieds des monuments aux morts.
Enfin, heureusement, il y a encore de quoi rire dans notre canton, surtout quand on sait que les cons, eux, restent toujours des cons, même en invalidité, à la retraite, ou en se faisant élire dans leurs communes.
Car comme le disait Audiard : "Les cons, ils osent tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît !"
Marcel Lorre.

(texte mis en ligne le 1er octobre 2008 et modifié le 4 octobre 2008)

(1) une seule visite enregistée pour un même visiteur dans la même journée

Début

À Saint-Benoît, un 11 novembre
où une écharpe tricolore manquait à l'appel !
Photo Michel Gau

On ne va pas faire trop de commentaires sur cet évènement pour lequel nous n'étions pas présents, il faut le reconnaitre, puisque nos jambes ont du mal à porter la bête.

Photo Michel Gau
Mais où est donc passée cette écharpe tricolore ?

Mais au regard des photos de notre ami Michel, il faut noter plusieurs points :

- Si les participants étaient nombreux, il convient de consater que le gros des troupes était formé d'adhérents de la FNDIRP-Amis de la Résistance, de la FNACA, des sapeurs-pompiers de Saint-Benoît.
Il faut noter aussi la présence d'une représentante de la Gendarmerie.
- Il y avait quatre drapeaux d'organisations patriotiques.
- Comme on peut le voir ci-dessous, Alain GÉRARDY, le secrétaire de la FNDIRP-Amis de la Résistance du canton de Saint-Benoit, a déposé une gerbe au nom de son association, le maire en a déposé une pour la municipalité, et un sapeur-pompier en a déposé une au nom des sapeurs-pompiers de Saint-Benoît.
- Si on ne voit pas les élus bénédictins sur les photos, ils étaient pourtant là, car en plus de Pierre Level, le maire, on notait la présence de Jean-François Mercier, maire adjoint, et de quatre conseillers, madame Galego et messieurs Mazingues, Leroy et Couret.
- Jean Chatelut, notre maire honoraire, était présent.
- Le Maire aurait-il oublié de porter son écharpe tricolore, ou cela ne se ferait-il plus dans notre beau pays où tous les poilus sont morts ? Il faut quand même avouer que cela fait franchement désordre dans le paysage.

Photo Michel Gau Photo Michel Gau
Photo Michel Gau

Merci à Michel Gau pour avoir été notre regard durant cet évènement.

Photo Michel Gau


Début

SCOOP : Ben alors, grand cachottier !

"Oyez, oyez, braves Bénédictins et Bénédictines... Jean Chatelut, notre ancien maire de 1977 à 2001, a été nommé Maire honoraire de Saint-Benoît-du-Sault en mai 2008..." aurait pu crier le garde-champêtre au début des années 70.
Les gardes-champêtres ont disparu, et sauf publication dans la presse, certains hommes méritants se montrent très, trop, discrets sur les honneurs qui leur sont faits.
C'est le cas de Jean Chatelut qui, depuis qu'il a reçu ce titre honorifique, n'en a fait aucun étalage.
Nous, on s'était un peu étonné qu'aucune démarche n'ait été faite en ce sens par la municipalité de Saint-Benoît reconnaissante, surtout dès les premières réunions du nouveau conseil municipal !
Depuis que la nouvelle nous a été annoncée, on s'est même dit que nous avions peut-être loupé quelque chose, une délibération, surtout en l'absence de comptes-rendus officiels de CM, ou publications dans les journaux. Il n'en était rien.
Mais alors, qui donc a bien pu demander cet honorariat ?
Depuis peu, nous savons que, sous la pression de nombreux élus ou maires de notre secteur, la démarche fût faite par deux personnalités de notre département (l'une nous l'a confirmé de vive voix), deux maires bien connus (mais à vous de deviner lesquels), qui savent encore reconnaître les mérites de leurs concitoyens, même s'ils n'en sont pas proches politiquement.
Leur requête fut appréciée à sa juste valeur par les services de l'État et par Jacques Millon, préfet de l'Indre, qui signa un arrêté, le 28 mai 2008, conférant l'honorariat à Jean Chatelut, qui devint ainsi Maire honoraire de Saint-Benoît-du-Sault.
Voilà donc, enfin, la reconnaissance bien méritée du travail d'un homme qui passa de nombreuses années au service de Saint-Benoît-du-Sault, de 1971 à 2001 et de 2003 à 2008.
Et à travers cet honorariat, c'est aussi la reconnaissance du travail d'une équipe soudée et efficace - qui entoura Jean Chatelut quand il fut maire de 1977 à 2001 (4 mandats) - qui est confirmée.
Tous ensemble, ils sortirent notre commune du moyen-age - un terme que l'on peut utiliser ici - et ils en firent ce qu'elle est maintenant, un village agréable, où il fait bon vivre, labellisé "plus beau village de France".
On sait maintenant que Pierre Level, le maire actuel, tint à remercier par courrier le préfet de l'Indre de l'honorariat conféré à Jean Chatelut.
Une seule chose nous manque, même lorsqu'on ne boit que de l'eau et même si on sait que le nouveau maire honoraire n'aime pas trop ce genre de raout, c'est de fêter ça, sans protocole, avec la population et ses amis.

M.L.

Ce que dit le Code général des collectivités territoriales sur l'Honorariat :


Article L2122-35

Modifié par Loi 2004-809 2004-08-13 art. 190 1° JORF 17 août 2004

L'honorariat est conféré par le représentant de l'Etat dans le département aux anciens maires, maires délégués et adjoints qui ont exercé des fonctions municipales pendant au moins dix-huit ans. Sont comptés pour une durée de six ans les mandats municipaux qui, par suite de dispositions législatives, ont eu une durée inférieure à six ans, à condition qu'elle ait été supérieure à cinq ans.

L'honorariat ne peut être refusé ou retiré par le représentant de l'Etat dans le département que si l'intéressé a fait l'objet d'une condamnation entraînant l'inéligibilité.

L'honorariat des maires, maires délégués et adjoints n'est assorti d'aucun avantage financier imputable sur le budget communal.

 

Ne pouvant afficher les documents en JPG, nous mettons un liens sur ceux-ci, dans d'autres formats :

Référence de la décision du prefet (origine : site de la préfecture de l'Indre)

Texte de la notification (sans entête,date et signature) (origine : site de la préfecture de l'Indre)

 


Début

Saint-Benoît-de-l'Embuscade : "Amendogène" et accidentogène !

Un panneau qui devrait être posé à Saint-Benoît !

La NR publiait, le vendredi 21 novembre 2008, un article sur "Ces tombes fleuries qui bordent les routes".
Il fait une erreur en disant qu'une stèle marquant un accident aurait été retirée à Saint-Benoît-du-Sault car cette stèle aurait été jugée dangereuse (par la DDE) et qu'elle aurait été démontée.
Si elle n'est pas géographiquement à l'endroit cité (elle serait à Abloux-Vigoux), on comprend la confusion puisque, à Saint-Benoît, nous avons aussi une zone tragique dans le village.
Située sur la RD1 en venant d'Argenton, entre le château d'eau et le carrefour Collège-Gendarmerie, cette zone est accidentogène puisqu'elle provoqua un décès le 10 octobre 2003, cinq ans déjà.
Mais pourquoi est-elle si dangereuse ?
Parce que la partie qui la précède, entre la carrefour de Parnac et le Château d'eau, pourtant dans l'agglomération bénédictine, n'est limité qu'à 70km/h.
Résultat, en arrivant à hauteur du château d'eau et au début de la "plongée" vers le carrefour collège Gendarmerie, on découvre en catastrophe un panneau de limitation à 50km/h, placé juste au début de cette descente et caché un peu par les arbustes.
Ralentir à ce moment-là n'exclurait donc pas une vitesse trop rapide dans cette portion.
Et c'est en bas de cette descente que la gendarmerie place systématiquement un radar "en planque".

Et c'est pour cela que cette zone est aussi "Amendogène" !
Normal, diront certains, puisque la tendance serait plus à la répression qu'à la prévention.
En effet, quel exemple peut bien donner, aux jeunes conducteurs en particulier, une bagnole banalisée équipée d'un radar dissimulé.
Jadis, les gendarmes ne se planquaient pas, et l'on disait que la vue d'un gendarme ramenait à plus de sagesse et de prudence. Maintenant, il ne serait plus question d'une incitation à la prudence, mais bien d'une attitude qui assimile tout automobiliste à un délinquant en puissance.
Cela ne donne pas le sentiment d'une société aux règles et pratiques inspirées par la franchise et l'honnêteté, mais cela donnerait plutôt envie à des citoyens piégés de pratiquer les délits d'outrages et/ou d'injures.
Et cela ne supprime absolument pas les accidents.
Interrogé par nos soins, un ancien élu nous confiait que depuis de nombreuses années, la municipalité demandait que la vitesse soit limitée à 50Km/h dès l'entrée dans l'agglomération (carrefour de Parnac). La mise en place d'un "ralentisseur" aurait même été demandée il y a une dizaine d'années.
Ces demandes successives auraient toutes essuyé un refus de la DDE, responsable de cette RD1.


Ce ne serait pas mal, un panneau de ce genre avant le château d'eau, mais sans gendarmes planqués en dessous !

Photo Marcel Lorre
Les lieux de l'accident d'octobre 2003. La victime avait 25 ans...
Des fleurs y étaient déposées...

On ne sait si une demande de ce type a été faite suite à l'accident qui couta la vie à Melle Magalie Laprade en octobre 2003, mais on ne voit toujours rien venir.
Le seul espoir serait la reprise de cette portion de la RD1 par la communauté de communes, mais à quel prix ?
Pendant ce temps, en ouvrant son courrier, on constate que les gendarmes continuent à "racketter" les automobilistes distraits, pendant que rien n'a été fait pour empêcher de nouvelles victimes.
Ironiquement, un ami me disait qu'il fallait bien payer le train de vie de notre président, et ses étrennes.
Comme visiblement, l'embuscade se déroule aussi durant l'été, on peut se demander quel souvenir agréable auront les touristes de leur passage dans l'un des "plus beaux villages de France", lorsqu'ils ouvriront leur courrier au retour des vacances ?
En tout cas, à Saint-Benoît, une chose semble évidente : il vaut mieux piquer de l'argent dans la poche des automobilistes plutôt que de financer des travaux pour leur sécurité !

M.L.

Le terme "Amendogène" n'existe pas, évidemment, mais il pourrait exister !


Début

Saint-Benoît : La poste, une nouvelle maison close ?
Grosse catastrophe à quelques jours des fêtes de Noël :
LA POSTE de Saint-Benoit-du-Sault est fermée.
Jusqu'au 13 décembre, il paraît qu'elle serait en travaux, mais on ne sait pas pourquoi, ni si ces travaux étaient programmés.
En tout cas, s'ils avaient été programmés, dans le cas d'une rénovation des locaux, ce serait un comble.
En effet, rien n'a été annoncé par voie de presse, à moins que "La Poste" de Saint-Benoit ne prenne modèle sur la municipalité de Saint-Benoît qui sait ce que c'est de mépriser les habitants de la commune.

Résultat, de nombreux usagers du service postal se cassent le nez sur une porte close.
Ils y découvrent une petite affichette sibylline placée dessus.
On y informe que jusqu'au 13 décembre,
pour toutes les opérations postales habituelles, il faudrait se déplacer vers les bureaux de Postes de Mouhet (à 9 km) et de Chaillac (à 8,5 km).
Voilà qui ne manque pas d'humour quand on sait que la Poste aurait pu prévoir un bureau de poste provisoire dans notre commune qui est aussi, rappelons-le, le chef-lieu du Canton.
C'était pourtant un chose facile à faire, quand on sait que dans de nombreux endroits, pour cause de rentabilité, les bureaux de postes sont remplacés par des agences postales installées dans les mairies, ou dans des cafés ou autres commerces.
Il semblerait qu'à Saint-Benoît, toutes les boites aux lettres soient, semble-t-il, relevées.
Mais il semble impossible de savoir où vos lettres recommandées ou colis en instance seront récupérables : Est-ce à Chaillac ou à Mouhet ?
Félicitons quand même l'entreprise "LA POSTE" pour son discernement qui lui a fait choisir cette période de fêtes de fin d'année pour faire des travaux et bloquer l'accès à un bureau quand même très fréquenté.
Certains diraient que c'est vraiment du "N'importe nawak !"

Enfin, pour acheter vos timbres, il y en a toujours dans les bureau de tabac, mais ce ne sont pas de beaux timbres de collection.

PS : Lors des travaux de rénovations de la Poste de Chaillac, un local municipal a été affecté aux services habituels de La Poste et les travaux ont été annoncés dans la presse locale. A Saint-Benoit, rien de tout cela n'a été fait. Merci monsieur le maire !


Début

La diagonale du fou sur la bonne voie ?

Encore une nouvelle gamelle ?

Un petit "flyer" bleu était glissé récemment dans nos boites aux lettres ( à droite).
C'est Patrick le métallo, notre Jo le plombier bénédictin qui nous proposait une cocote à tarif réduit (1) dans le catalogue publicitaire d'un supermarché ( à gauche), qui nous propose maintenant des produits ménagers à "prix d'usine".
Quelle aubaine diront certains, mais il faudra quand même garder les yeux ouverts, car on a vu des prix d'usine plus élevés que ceux qui sont pratiqués dans des supermarchés.
En plus, si votre cocotte est en panne, vérifiez les joints et la valve de sécurité. Une réparation et un remplacement de pièces peut "quelquefois" couter moins cher que le rachat d'une cocotte neuve.
En plus il n'est pas dit si ces prix d'usine sont les prix réels en sortie d'usine à Saint-Benoît, où les prix réels en sortie des usines de Chine ou d'Espagne ?


Récemment, nous nous demandions si Patrick le métallo ne risquait pas d'être touché par la crise ?
On peut maintenant se le demander.
À suivre !

Début

Lignac : Marché de Noël à Château-Guillaume !

Marché de Noël à Château-Guillaume :


C'est plus de cinquante producteurs et artisans qui sont attendus samedi 29 Novembre en après-midi et dimanche 30 Septembre toute la journée, au marché de Noël de Château-Guillaume, à Lignac.
Une cinquantaine d’exposants de Brenne et du Berry seront installés dans les vieilles maisons du village et leurs bâtiments annexes (granges, four à pain, appentis…) gracieusement à leur disposition et réaménagés en échoppes à l'ancienne.

Des producteurs fermiers : fois gras, confits et conserves, lentilles, canards gras, poulets aux écrevisses, vins (Valençay, Reuilly, Vouvray), fromages (Pouligny, Valençay), miel, pain d’épices, pain biologique, jus de pomme, huile de colza et tournesol artisanale, chocolat et coquelicot.

Des artisans d’art : vannier, tourneur sur bois, poupées, tissage, objets déco, sculptures sur pierre, bijoux, faïencerie artisanale, composition florale, poterie…

Des artistes et auteurs : peintres, illustrateurs, écrivains régionalistes…

Le bourg sera décoré sur le thème du week-end, et deux jours durant les démonstrations de savoir-faire, dédicaces d'auteurs, promenades en calèche, devraient attirer beaucoup de monde.

On trouvera :

Au programme :

Samedi :
à partir de 18 h, une veillée concert de Noël sera animée par la Guérouée de Gâtines.
Dimanche :
11 heures, messe traditionnelle clébrée dans la Chapelle,
16 heures, conte de Noël pour enfants, présenté par la Comédie bélâbraise (dans la chapelle).
Dans l'après-midi, Musique et danses berrichonnes par la troupe de la Sabotée des Grands-Prés.

Pendant les deux jours :
Accès exceptionel au donjon et à la terrasse du château de Château-Guillaume.
Démonstrations artisanales.
Dédicace de leurs ouvrages par des écrivains régionaux : Daniel Bernard, Pierre Brunaud (pendant les 2 jours), Corinne Duchêne (le dimanche).
Animation calligraphie pour les enfants (samedi et dimanche)
Bar, salon de thé et crèpes à l'Auberge. vous y ferez une une bonne action puisque les bénéfices de l’auberge seront intégralement reversés au profit du Téléthon.


Début

Vive la nouvelle formule ?!?!


"Tu sais,
Dans la NR, il n'y a rien...
ou pas grand-chose !"

Sur sa UNEdu 16 septembre 2008, la NR relookée était déjà un peu dévaluée...
peut-être victime de l'ouragan financier,
sauf pour la Pub (que nous avons flouté) !

Ceux qui vous (nous) disaient cela il y a peu, avec un regard parfois complice, mais qui se refusaient à lire un autre quotidien ou journal, vont être servis.
La nouvelle formule de la NR, dont on nous a dit qu'elle valut à l'équipe du journal 18 mois de cogitation, c'est quasiment 20 à 40% de surface rédactionnelle en moins. Sauf pour la pub qui, à surface égale, passe, par exemple du 1/4 de page à la demi-page... toujours ça de gagné !
Normal puisque le format devient un format tabloïd !
Pour vous en convaincre de la baisse du contenu journalistique, il suffit de comparer les rubriques de l'ancienne formule avec les mêmes publiés dans la nouvelle, et compter (dans les deux cas) le nombre de caractères disponibles pour le texte du journaliste ou du correspondant, pour apprécier l'étendue de cette diminution.
Par exemple, le billet de "Roulataclès", sur les pages de Châteauroux, a perdu au moins 50% de sa surface.
Les fidèles de la NR dont nous parlions ci-dessus pourront toujours s'accrocher au seul argument qui les maintenait dans le lectorat de l'ancienne formule, mais qui devient encore plus réel avec la nouvelle formule :
"Le journal ne contient peut-être rien, mais on l'achète encore à cause des avis d'obsèques."
N'empêche qu'avec un changement de formule, on a beau augmenter une police de caractère pour garder ses lecteurs vieillissants et à la vision chancelante, "n'empêche qu'un jour ces cons meurent", comme le diraient certains plumitifs et autres vendeurs de papier, et on en revient fatalement à la rubrique nécrologie.
Donc, pour résoudre ce que certains appellent la crise de la Presse Quotidienne Régionale, il suffirait de faire un journal qui ne contiendrait que le carnet rose, le carnet blanc et les avis d'obsèques.
Avec un tel contenu, la rentabilité serait assurée, d'autant qu'il n'y aurait plus de journalistes à payer, quelle aubaine !
On garderait peut-être les correspondants, déjà majoritairement pourvoyeurs d'un contenu sans qualité d'écriture, et encore, allez savoir.
Ne riez pas, car certains responsables de grands quotidiens de la PQR ont même pensé qu'il serait logique de faire payer les associations culturelles pour que "leurs annonces" (communiqués) soient publiées.
Alors, l'écriture journalistique serait-elle déjà morte, face aux SMS ou à la parole ?
On pourrait le croire, puisqu'il n'y a que les émissions de radios à ne pas avoir subi cette diminution du contenu journalistique. Il suffit d'écouter France-Inter, par exemple, dans ses émissions du matin, pour constater que cette radio diffuse de moins en moins de musique, et de plus en plus de parlotte.
Reste aussi Internet, où l'écriture n'a pas trop de carcan, si ce n'est pour son contenu.
Pour la longueur, il n'y a pas photo, puisque ce papier n'aurait jamais pu être publié, en intégralité, dans les colonnes de la NR ou de l'Echo du Centre.
Marcel Lorre


Début

Transports (amoureux ?)

Nouveau service de Transports interurbains départementaux,
et mise en route de son service d'information.

Depuis le 1er septembre, un nouveau service départemental de transports interurbains a été lancé.
À cette occasion, le conseil général vient de proposer une ligne de renseignements téléphoniques à la disposition des usagers.
Les utilisateurs qui se posent des questions sur les horaires des liaisons, sur les arrêts, le transport à la demande, ou qui souhaitent plus simplement formuler des remarques sur le service peuvent désormais appeler le 02.36.90.60.12, en semaine de 8h à 12h et 13h à 17h.
Le département s'engagera, selon lui, "à étudier avec chaque utilisateur la solution la mieux adaptée à son besoin" (c'est beau les promesses).
Le nouveau service de transports interurbains a été conçu pour répondre aux besoins de notre territoire majoritairement rural et à la population dispersée, tient à rappeler le CG36.
Il prévoirait notamment des liaisons domicile-travail plus rapides, un accès aux services présents dans les centres urbains, une généralisation du transport à la demande, et surtout un tarif unique et économique de 2 €, quel que soit le trajet.
Puisqu'on nous aime tellement, voici, chers élus, mon rêve : Un minibus faisant régulièrement une boucle dans les rues de Saint-Benoît, et un autre pour aller directement à la Sécu et à l'Hosto à Chateauroux !

En savoir plus sur : http://www.cyberindre.org/jahia/Jahia/portail/cg36/pid/6678

Il exsite deux documents permettant de savoir en quoi consiste le réseau de transport et ses horaires. Si vous ne les trouvez pas dans les établissements publics ou mairies, voici des liens pour les télécharger sur Cyberindre.org :
Carte des lignes du réseau L'Aile Bleue
(Pdf, 1.26 Mo) : http://www.cyberindre.org/jahia/webdav/site/cyberindre/shared/pdf/Carte%20Transport%20Aile%20Bleue.pdf
Guide des transports dans l'Indre, avec horaires
(Pdf, 3 Mo) :
http://www.cyberindre.org/jahia/webdav/site/cyberindre/shared/pdf/Guide%20horaire%20Aile%20Bleue.pdf

Début

INDRE, poubelle nucléaire ?

Le 04 juillet 2008, le CADNI, Collectif Anti Déchets Nucléaires de l'Indre, publiait le communiqué ci-dessous.
Il peut évidemment rappeler les craintes exprimées jadis, pour un CTE, Centre technique d'enfouissement de déchets, non-nucléaires heureusement. mais non-recyclables (ultimes).
Les habitants du Canton et surtout ceux de Mouhet, avaient à l'époque vivement protesté contre un tel projet qui, heureusement, n'en était encore qu'à sa phase de tests géologiques.
Méfions-nous quand même, car les entreprises privés qui stockent des ordures ménagères reviendront peut-être un jour à la charge, comme l'ANDRA le fait, 23 ans après, avec la recherche d'une implantation pour un centre d'enfouissement de déchets radioactifs.

INDRE, poubelle nucléaire ?
Fin juin, de nombreuses communes du Berry ont été invitées par le préfet à se porter candidates pour l'implantation d'un centre d'enfouissement de déchets radioactifs.
L'énergie nucléaire a été imposée en France, sans consultation démocratique, aux dépens d'autres solutions et sans en mesurer les risques sanitaires et environnementaux à long terme.
Et depuis 25 ans, c'est la 3éme tentative de l'ANDRA
d'installer dans l'Indre des déchets radioactifs.
Aujourd'hui on nous propose d'enfouir dans le Berry des déchets graphites provenant de l'exploitation et du démantèlement de la première génération de centrales nucléaires.
La dangerosité pour l'homme et l'environnement de ces déchets « faiblement radioactifs » serait de plusieurs dizaines de milliers d'années ...
· Ne faisons pas ce cadeau empoisonné aux générations futures.
· Préservons l'image de notre département et son patrimoine touristique, culturel, agricole ...
· Dénonçons les diverses « incitations économiques » que l'ANDRA fait miroiter aux yeux des élus.
· Refusons la dissémination et le transport des produits radioactifs sur tout le territoire français : c'est sur le site de production et nulle part ailleurs que les déchets doivent être gérés.
L'ANDRA a choisi cette période en espérant bénéficier de la « trêve estivale » : ne les laissons pas faire.
Le Collectif Anti Déchets Nucléaires de l'Indre est ouvert à toute personne, élu, association, organisation qui souhaite s'engager contre les déchets radioactifs dans l'Indre.
Rejoignez-nous. Seule une forte mobilisation pourra faire reculer l'ANDRA
CADNI

Pour contacter ce collectif voici leur adresse : cadn.indre@laposte.net

Le Cadni a lancé une pétition qui est à signer sur le lien ci-dessous :
http://www.petitionduweb.com/voirpetition.php?petition=2000
En voici le texte :

" Fin juin , de nombreuses communes du Berry ont été invitées par le préfet à se porter candidates pour l’implantation d’un centre d’enfouissement de déchets radioactifs.
L’énergie nucléaire a été imposée en France, sans consultation démocratique, aux dépens d’autres solutions et sans en mesurer les risques sanitaires et environnementaux à long terme. Et depuis 25 ans, c’est la 3éme tentative de l’ANDRA d’installer dans l’Indre des déchets radioactifs.
Aujourd’hui, en juillet 2008, on nous propose d’enfouir dans le Berry des déchets graphites provenant de l’exploitation et du démantèlement de la première génération de centrales nucléaires.
Je m’associe au Collectif Anti Déchets Nucléaires de l’Indre et je demande à l’ANDRA de retirer son projet :
- Je refuse de faire ce cadeau empoisonné aux générations futures.
- Je veux préserver l’image de notre département et son patrimoine touristique, culturel, agricole, immobilier ...
- Je m’oppose à la dissémination et le transport des produits radioactifs sur tout le territoire français : c’est sur le site de production et nulle part ailleurs que les déchets doivent être gérés.
DECHETS NUCLEAIRES,NI ICI NI AILLEURS !!!"

Début

 

à suivre...
Ces pages sont des pages d'informations générales sur la commune.

<<retour à la page d'accueil>>