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L'actualité de Saint-Benoît et des environs
(septembre 2008 A)
:

Reportages du mois (1):

Début

Le 16 août, quel boeuf... avec Elmer !

© Photo Marcel Lorre
© Photo Marcel Lorre

Ce 16 août 2008, grâce à une excellente collaboration entre la municipalité de Saint-Benoît-du-Sault et une des entreprises locales - le supermarché Super U dirigé par Maxime Moczulski - nous avons pu passer une excellente soirée .

Avec un repas peu onéreux, suivi d'un spectacle de bonne tenue , voilà la recette d'une bonne fête populaire, sans être populiste.
En plus, cela n'a pas couté une fortune, contrairement à ce que certains laisseraient entendre (on vous en parlera sans doute prochaînement).

© Photo Marcel Lorre

© Photo Marcel Lorre
Ici, on trouvait les vins et les appéritifs qui, au prix ou était le repas, ne pouvaient être inclus. Ceci dit, l'eau était offerte "à volonté" !

© Photo Marcel Lorre
© Photo Marcel Lorre
© Photo Marcel Lorre
© Photo Marcel Lorre
© Photo Marcel Lorre

Ci-dessus, à gauche, il y a l'animateur-présentateur dont on a pas le nom.

Ensuite, sur les deux autres photos ci-dessus, et avec cette jolie poupée qui lui coiffe le doigt, c'est Gilles Naudin, victime d'un accident de "bricolage".

Ci-contre et en dessous, voici le raggae-man Colin I qui a pas mal fait bougé les spectateurs, avec ses rythmes tropicaux et sa casquette en arrière.

Et pour clore le tour d'horizon de la première partie, voici, ci-dessous, Phil Barney, le crooner de ce spectacle.

© Photo Marcel Lorre © Photo Marcel Lorre © Photo Marcel Lorre
© Photo Marcel Lorre
© Photo Marcel Lorre

Quand les Elmer démarrent la seconde partie, c'est déjà le délire dans le public.

Manou ne joue pas de la guitare, mais il branle de l'épuisette !

Mais il est quand même très rocky...

© Photo Marcel Lorre

Comme le démontre l'extrait ci-dessous, les paroles des chansons des Elmer ont souvent cette tonalité débridée et égrilarde inégalée et inégalable (et qui peut choquer un public de jeunes téléspectateurs) :

"C'est la caissière de chez Leclerc
Cette fille a l'air sévère
Je la prendrais bien sauvagement
Au bord du tapis roulant
Quand je la vois, moi j'ai la trique
J'la passerais bien au rayon optique
Elle me vente les saucissons
Le mien est en promotion

C'est la caissière de chez Leclerc
C'est la caissière de chez Leclerc
Malgré son air sévère
Elle sait surement y faire
C'est la caissière de chez Leclerc"

Cette "caissière de chez Leclerc" qui démarrait leur partie, aurait pût, à Saint-Benoît, être légèrement modifiée pour devenir "la caissière de Super U", mais là, même si on a quelques idées, on vous laisse rechercher et choisir les rimes possibles.

Il y eut aussi "Daniela" (qui aurait pu s'appeler Carla) dont on sait qu'on peut y mettre ses doigts, et évidemment "Le plastique c’est fantastique", qui protège toujours de beaucoup de choses, mais toujours pas de la "connerie", mais qui coûte de plus en plus cher à cause du prix du baril.

Bon, ce n'est pas tout ça, mais si j'allais rapido faire mes courses dans ma superette locale, moi ?
Ça va fermer... Il est plus que temps !

© Photo Marcel Lorre

© Photo Marcel LorreLeur site internet officiel :
http://elmerfoodbeat.free.fr/

© Photo Marcel LorreIncroyable, mais sur la photo ci-dessus, on les voit tout les cinq !
Il y aurait, à gauche au fond, Vincent (Brutos) à la Batterie, ensuite lui aussi un peu dans l'ombre, c'est Kalou à la Guitare basse.
Au premier plan, voila Twistos (Guitare, voix) et derrière lui Grand Lolo, Guitare et voix aussi (qui a remplacé Kelu), à moins que ce ne soit l'inverse.
Si nous avons fait une erreur, merci de nous le signaler !

© Photo Marcel Lorre
© Photo Marcel Lorre
Ce ne serait pas un peu le B.... sur cette scène, non ?
Il faut dire que les spectateurs et surtout spectatrices qui montèrent sur scène avaient le rythme dans la peau !
© Photo Marcel Lorre

Comme Manou les avaient "vachement" chauffés, les filles n'ont pas arrêté de tendre leurs lèvres purpurines (de cheval, comme dirait Boby Lapointe) dans sa direction, afin de recevoir avec avidité ses fougueux baisers.

Mais pour en savoir plus sur ce qui se cachait réellement derrière l'épuisette de Manou, elles grimpèrent en foule sur la scène.

Du coup, devant une telle invasion, Manou a quand même laissé poindre une légère inquiétude en observant la meute...
Heureuement, tout rentrera dans l'ordre avant la fin du concert !

© Photo Marcel Lorre


© Photo Marcel Lorre

Plus d'un millier de spectateurs sur la Butte !
À Saint-Benoît, cela faisait longtemps qu'un spectacle payant * avait été applaudi par autant de spectateurs !

* Jadis, il y eut des spectacles gratuits qui firent bien plus de spectateurs…
Exemple "Les Forbans" sur la terrasse Phillipe Soupault (terrasse de la salle Brassens).

 



La page 10 de la N.R. du 19 août 2008,
décriptée ci-dessous :

"À Saint-Benoît, cela faisait longtemps qu'un spectacle payant avait été applaudi par autant de spectateurs !"
C'est le constat fort simple que faisaient toutes les personnes présentes ce soir-là.
N'empêche qu'il y a toujours des grincheux pour dire que les chiffres publiés par la Presse sont faux. Il est vrai qu'il suffit de regarder, ci-contre, la copie de la page 10 de la NR du 8 aout 2008 pour se rendre compte d'une chose évidente :
C'est que, sans doute enthousiasmés par le dynamisme dégagé par les musicos d'Elmer Food Beat, Lionel Marchenay et moi avions sans doute été un peu trop optimistes dans nos chiffrages des spectateurs présents durant la soirée.
Lionel annonçait dans son papier pas moins de 1500 spectateurs, alors que j'en annonçais sur ce site 1200 (chiffre que m'avait donné le soir même un des organisateurs.). Depuis, les vrais chiffres ont été communiqués lors du conseil municipal du 5 septembre 2008.
Ce furent 595 personnes qui prirent leur repas "boeuf grillé" sur La Butte et qui, évidemment, purent voir le spectacle, et 300 personnes qui prirent un billet à 3 euros juste pour le spectacle.
Il est bon d'applaudir l'honnêteté des organisateurs, la municipalité de Saint-Benoît et Le supermarché SuperU de la localité, car il est rare que les chiffres de billetterie d'un spectacle soient rendus publics.
La plupart du temps, les organisateurs ne donnent pas de chiffres, et les correspondants locaux et journalistes restent flous quant au nombre réel des présents.
Résultat, on peut lire à longueur de colonnes "Le spectacle a fait salle comble", "brillant succès pour la soirée machin", "le spectacle trucmuche a trouvé son public" ou encore "Les artistes ont ébloui le nombreux public"...
Ainsi on peut voir, comme dans la page ci-contre, des répétitions excessives comme , "nombreux public" employé trois fois, plus un "l'abbatiale... affichait complet" de circonstance.
Maintenant, allez savoir si ce "nombreux public" qui n'était peut-être pas supérieur à 30 personnes. On n'en saura probablement jamais rien, car en plus, ce papier n'était pas signé.
Avec un tel flou, personne ne se mouille, et certains organisateurs pourront se faire mousser grâce à cette phraséologie lénifiante, et ainsi garnir leurs press-books de comptes-rendus souvent trop élogieux pour être honnêtes.
Si d'aventure celà ne suffisait pas aux G.O. (gentils organisteurs), on peut affirmer sans risque que l'on en connaît qui n'hésiteraient pas à envoyer leur propre prose aux journaux.
Normal, puisque, comme le dit le proverbe, "On est jamais aussi bien servi que par soi-même !"
Voilà qui est fort pratique pour faire la chasse aux subventions, et s'en assurer de substantielles dont l'usage ne sera quasiment jamais contrôlé.
À Saint-Benoit, le succès de cette soirée a dû faire des jaloux puisque, sans doute contrariée, une personne (qui n'est même pas le correspondant local) a décidé de faire publier dans la N.R. les chiffres en question, mais en oubliant de faire le total des spectateurs de cette soirée.
En plus, nous avons appris il ya peu que 150 personnes étaient invitées juste pour le concert.
Ce qui fait donc, en comptant bien :
595 avec repas + 300 sans repas + 150 invités = 1045 personnes qui sont venues sur la butte.
Sans compter aussi ceux qui entrèrent sans payer, durant la seconde partie (prestation d'Elmer Food Beat) puisque, comme nous avons pu le constater, plus personne ne contrôlait les entrées.
Alors selon nous, que plus de 1000 personnes assistent à un même concert, et qu'en plus celui-ci soit payant, cela ne s'était pas vu depuis longtemps à Saint-Benoît, qu'on se le dise !
M.L.


"Indre / Argenton-sur-Creuse / Canton Saint-benoit-du-sault / Saint-benoit-du-sault

Elmer Food Beat déchaîne les foules

Légende photo : Elmer Food Beat devant un public en délire.

Samedi soir, pas moins de 1.500 personnes se sont rendues sur la butte et dans la cour de l'ancien collège, théâtre d'une véritable soirée de prestige.
La municipalité de Saint-Benoît-du-Sault en partenariat avec Super U, avait tout mis en œuvre pour la réussite d'une soirée qui voulait sortir de l'ordinaire avec, pour toile de fond, un concert de grande classe. Le dîner n'était pas mal non plus : les organisateurs de la rencontre avaient également innové en faisant cuire à la broche un bœuf entier. Il fallait bien ça pour nourrir la foule, quand on sait que huit cents repas ont été servis.
Maxime Moczulski, gérant du Super U de Saint-Benoît, principal partenaire de cette rencontre festive de l'été, déclarait que pour avoir du monde, il fallait mettre le paquet. « J'ai aidé au niveau du repas et à trouver les artistes en indiquant aux élus que pour attirer le public en nombre, il fallait un plateau de qualité et notamment un groupe de rock. Quoi de mieux que le grand retour d'Elmer Food Beat ! »
La première partie du concert était animée par des musiciens et chanteurs de talent : Collin I, Phil Barney…
Ils ont précédé l'arrivée percutante du groupe de rock qui avait pour mission d'accompagner Elmer Food Beat. La tenue de scène du chanteur a posé l'ambiance : sandales de plage, short blanc, marcel et casquette visière relevée. Le maître de la scène a véritablement emballé un public par un incontestable talent qui a déchaîné jeunes et moins jeunes.
Strip-tease du rocker
Elmer Food Beat ne cachait pas sa satisfaction lui non plus devant ce succès. Les jeunes ont envahi de temps à autre la scène en chantant et en dansant au côté, n'ayons pas peur des mots, de leur idole.
A la fin du spectacle, Elmer s'est lancé à la demande de tous dans un véritable strip-tease, pour terminer, après plus d'une heure de spectacle, en slip.
N'oublions pas de signaler qu'après l'effort, le réconfort était au rendez-vous des artistes. Ils ont terminé le bœuf à la broche avec le public.
Correspondant NR, Lionel Marchenay, tél. 02.54.25.33.77."

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