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L'actualité de Saint-Benoît et des environs
(mai-juin 2004 A)
:

 

Début

Heureux anciens élèves !

 

La fête fut un succès,
et les retrouvailles furent émouvantes !

 

Voici le texte qui accompagnait les images dans ce magnifique article d'une page publié dans La Marseillaise/L'Echo du Centre du Samedi 29 mai 2004, que vous pourrez commander à son service :

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le Numéro à commander est celui du 29 mai 2004 - N° 18354 - Edition de l'INDRE / La Marseillaise (prix en kiosque 0,85 €)


Il y a bien sûr, ci-dessous, quelques images de plus !


L'ECHO de la rencontre du demi-siècle à SAINT-BENOIT

À Saint-Benoît, il y a des évènements qui ne manquent pas d'intérêt...

Faire se retrouver pas loin de 150 anciens élèves de l'école de Saint-Benoît-du-Sault, tous nés entre 1938 et 1945, a dû sembler une gageure à quelques-uns.


C'est depuis presque deux ans qu'un généalogiste amateur (mais acharné), Christian-Paul TRINQUART, s'est lancé dans l'aventure en explorant des photos de classe (d'époque) de l'école élémentaire (ne disait-on pas aussi primaire) de Saint-Benoît, images souvent un peu figées, glanées ici ou là. Une enquête quasi policière, presque dans l'intérêt des familles.

À force d'opiniâtreté, et avec l'aide d'une équipe de copains, parmi lesquels Raymond BERNERON, Roger LAGONOTTE, Bernard LEGER, Rolande et Roland REDJAH, Jean-Maurice SAGET et Jean-Michel VALENTIN, ce sont plus de 150 personnes qui ont été retrouvés.
En allant jusqu'à éplucher quelques listes électorales, il fut aussi possible de retrouver les jeunes filles qui depuis, s'étant mariées, avaient épousé le nom de leur mari...
Mais il fut aussi, et malheureusement, constaté que certains avaient quitté ce bas monde...

Ils sont venus, ils sont tous là...

Pratiquement tous ceux qui furent contacté ont répondu présent à l'appel (pas celui de l'instit) et prirent la route, souvent de fort loin (il y en avait même qui venaient de Nouvelle-Calédonie) pour être de ces retrouvailles dans la salle polyvalente de Saint-Benoît.
Dès 11 heures, on entendit des "Tu as vraiment pas changé" ou des "Oh, t'es vraiment toujours aussi jolie", mais aussi quelques "Sans ton nom sur ton badge, je ne t'aurai pas reconnu" ou encore "Qu'est-ce que tu as changé".
Il y avait de la surprise, des larmes de joie, et quelquefois de la nostalgie en revoyant le premier amour d'enfant que l'on avait laissé partir avec regret... bref tous les ingrédients d'une émission télé du genre "perdu de vue"!
Mais avant l'apéritif, il fallut passer aux choses sérieuses...

Quels garnements...

Un demi-siècle après, si tous ont pris des directions souvent fort éloignées, tant au niveau social que géographique, ils n'avaient pas oublié le "jour de la photo". Le jour où leurs mères les avaient habillés de propre, et avaient surveillé leur coiffure... le jour où ils avaient posé, en rang d'oignons... orchestré par le maître ou la maîtresse, quand tous posaient, avec plus ou moins de sérieux.
Depuis, question discipline, on a senti dimanche que ce n'était plus ça... et pour réussir la "photo de classe" ce ne fut pas une sinécure.
Essayer donc de placer tous ces garnements en bon ordre, genre "les petits devant et les grands derrière" ?
Ce ne fut pas chose facile et au final, malgré tous les efforts de Jean-Pierre Montane, le photographe de Saint-Benoît, certains élèves avaient disparu(e)s...


A la santé du confrère...

Ce fut ensuite l'apéritif et l'heure des discours... celui de M. Trinquart, au nom du collectif d'organisation, et celui de Pierre Level, maire de Saint-Benoît. Et puis vint l'heure du repas... au cours duquel les discussions continuèrent...

Certains voulurent même, à cette occasion, boire le calice jusqu'à la lie...
Il y eut plus de présents que de repas prévus puisque certains furent "privés de dessert". Espérons que c'est tombé sur les garnements précités.

 

Nous ne saurons pas si de nouvelles amitiés et pourquoi pas de nouvelles amours se sont nouées ou renouées ce jour-là, mais ce dont nous sommes sûrs, c'est que personne n'oubliera cette journée.

Et nous pensons que tout les participants de cette première rencontre espèrent que les prochaines, organisées bientôt, celle des enfants du "Front Populaire" (1926 -1938), et celle des "baby-boomers" (1946-1956) auront autant de succès.

P.O./M.L.


Début

Vous ne serez (haut) débité qu'en septembre 2004 !

C'est-il pas beau ça ?

"025424XXXX / 025447XXXX
L'ADSL n'est pas disponible dans la localité sélectionnée.

Le déploiement de l´ADSL dans cette localité est prévu à partir du :
21/09/2004.

(la date indiquée n'est pas contractuelle).
Merci de contacter votre agence :
· Au 1014 (appel gratuit pour les particuliers)
· Au 1016 (appel gratuit pour les professionnels)"

Et oui, vous avez bien lu !

Est-ce pour fêter la "fête de la Musique" et le début de l'Été (ainsi que les mesures répressives futures pour ceux qu'un Ministre de la Culture n'hésite pas à traiter de "jeunes pirates" d'oeuvres musicales - France-Inter le 22/06) ?
Voilà donc enfin annoncée l'arrivée de l'ADSL, le "haut-débit" numérique par ligne filaire, dans notre petit canton, et surtout dans son chef-lieu, juste pour fêter L'Automne...

Nous pouvons aussi vous dire que c'est très partiel, car dans le canton, seules les communes de Roussines, La-Châtre-l'Anglin, Parnac et Saint-Benoît-du-Sault, seront arrosées (et ceci en se calant sur les numéros de leurs mairies).
Mais attention, il n'est pas garanti que tous les hameaux, ou habitations isolées, de ces localités puissent bénéficier d'un accès au service, car l'usage de l'ADSL n'est plus permis, dans de bonnes conditions, au-delà de 4 km du point de répartition (en général, le standard téléphonique).

Comme un bonheur n'arrive jamais seul, et nous avons été surpris par la façon dont nous l'avons appris.
Car si nous pouvons vous divulguer cette bonne nouvelle, c'est grâce à une interrogation fortuite du serveur spécialisé de France-Telecom que nous avons pu obtenir l'information...
Et pas par voie de presse, comme l'était le plan (et rantanplan) sur les NTIC (nouvelles technologies de l'information et de la communication) faisant partie des promesses serinées par les élus de la majorité du conseil général, et son président, juste avant les élections cantonales et régionales...
Un silence trop lourd pour ne pas rendre d'autres promesses suspectes de pure démagogie électoraliste !
Enfin, vu leurs résultats, ils auraient mieux fait de s'abstenir...

P.S. : Aux dernières nouvelles, la commune de Chaillac, fief du conseiller général du canton, bouderait France-Télécom et pourrait être arrosée en téléphonie mobile comme en haut-débit numérique, grâce à un accord signé avec un prestataire totalement privé (sans doute CEGETEL-SFR). Un pylône pour le téléphone serait même déjà en cours d'installation sur le point le plus haut du site de la Baratine... paraît-il juste pour SFR, ce qui fait râler les abonnés d'Orange.
Quant au Haut-Débit, il pourrait bien ne pas être filaire, mais être en WiFi, voire satellitaire.
Voilà qui confirme une totale adhésion à la politique de privatisation, et à des technologies coûteuses.

Début

à suivre...
Ces pages sont des pages d'informations générales sur la commune.

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