Et de trois... À qui le tour ?
Ça y'est, une troisième défection s'est produite dans le conseil municipal "tranquillement révolutionnaire" qui a pris le pouvoir il y a un an à Saint-Benoît.
Est-ce inspirée par la récente "Journée de la Femme", ou par la préférence accordée à une autre conseillère pour un poste d'adjoint, que l'heureuse partante (puisque c'est bien une femme qui s'esbigne) s'explique, fort vaguement dans la NR, sur les raisons de son départ, effectif dès le conseil du 22 mars?
Visiblement non, car une fois de plus, les idées exprimées dans le journal semblent être loin de ce que les "Jupettes de notre édile" ont dû subir depuis un an.
Pour une telle discrétion, espérons que le maire aura la reconnaissance du ventre en allant consommer dans l'établissement de son ancienne colistière. Mais le fera-t-il, alors, sans se faire défrayer ses ripailles?

POLITIQUE St-Benoît- du-Sault : démission d'une conseillère Une conseillère municipal. de Sa int-Benoît-du-Sault a adressé sa lettre de démission au maire de la commune, Marc Dumont. Isabelle Marin justifie sa décision par des "raisons personnelles" et explique ne pas vouloir pour autant "déstabiliser la municipalité ". Son choix, qui sera rendu public au cours du prochain a conseil, ne surprend pas le maire de Saint-Benoit qui savait sa colistière très occupée sur le plan professionnel, celle-ci ne siégeant déjà plus en commissions. Cette situation ramène donc le conseil municipal de Saint-Benoît-du-Sault à quatorze élus puisque MM. Pierre Level et Jean-Claude Bourgoin, adjoints démissionnaires, continuent à siéger.

Nous on veut bien, mais il n'y a pas que les élus qui risquent d'être pénalisés : les Bénédictins aussi qui pourraient bien finir par s'inviter à certaines réunions pour y donner leur avis, comme nous l'avons vu avec la pétition pour la terrasse du Portugal.
Et quand disposent-ils du plus de temps pour passer une soirée récréative ? Le vendredi, bien sûr !
Il y aussi le fait que, même en bradant des terrains ou des maisons, il n'est pas dit que le budget prévisionnel ne soit pas voté sans l'annonce d'un déficit prévisible. Et cela ferait désordre en période électorale...

Le conseil de Mars aura bien lieu le 22 mars ! Est-ce révolutionnaire ?

Un Conseil municipal à report forcé… au 22 mars !

La réunion du conseil municipal n'arrête pas d'être reportée.
Il faut dire que certains élus trouvaient que la ficelle était un peu grosse, car le report au lundi 17, puis au mardi 18 mars.
Selon certains élus, cela aurait sans doute permis au maire de s'assurer une majorité confortable en évitant la présence d'au moins deux de ses opposants habituels.
Parce que ça commence à sérieusement coincer entre des élus et le maire. Et certains de ces élus contestataires avaient une furieuse tendance à penser que c'est pour mieux les évincer que les conseils seraient ainsi déplacés du vendredi vers un jour de semaine et que cela constituerait, à leurs yeux, comme une atteinte à la démocratie..
Et avec le vote du budget 2002 au programme, le doute était permis.
L'un d'entre eux a certainement dû lui mettre une sacrée pression, car nous avons appris récemment que le retour à la norme des "conseils du vendredi soir" serait effectif puis que finalement la date retenue est le Vendredi 22 Mars.
Nous on veut bien, mais il n'y a pas que des élus qui risquaient d'être pénalisés : Les Bénédictins aussi qui pourraient bien finir par s'inviter à certaines réunions pour y donner leur avis, comme nous l'avons vu avec la pétition pour la terrasse du Portugal.
Et quand disposent-ils du plus de temps pour passer une soirée récréative ? Le vendredi, bien sûr !
Il y aussi le fait que, même en bradant des terrains ou des maisons, il n'est pas dit que le budget prévisionnel ne soit pas présenté (voté ce n'est pas dit !) sans l'annonce d'un déficit prévisible. Et cela ferait désordre en période électorale...
Enfin, sans être des soixante-huitards nostalgiques, espérons qu'un appel retentira ce jour-là, sans attendre éventuellement le 18 juin, pour que le maire cesse ses dérapages, qu'il revienne, par exemple, sur sa décision de vendre la terrasse Portugal-Grimaldi et qu'il restitue cet espace public aux habitants du quartier !
Car il n'est pas dit que, même en bradant des terrains ou des maisons, le budget prévisionnel ne soit pas voté sans l'annonce d'un déficit prévisible. Cela ferait désordre en période électorale...