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Tout
a commencé lors de la réunion du conseil municipal du Vendredi
20 Juillet 2001 (une des rares dont nous avions été prévenus,
mais pas par la Mairie). Ce soir-là, le "coup de colère" du PDG de la SITRAM nous avait semblé une affaire importante. Importante surtout parce qu'elle mettait en cause l'usine et donc les emplois de ceux qui y travaillent. À ce coup de colère, M. le maire n'avait manifesté que quelques phrases pour calmer les ardeurs de Gilles Combe. Mais pas d'inquiétude de sa part pour l'avenir de la première entreprise de la cité. À croire qu'il s'agissait juste d'un malentendu entre la DRIRE et la SITRAM... Nous, nous avions demandé à M. Gilles Combe la permission de venir lors de la visite de la préfète. Et nous y étions présents avec le correspondant de l'Echo. Voyant que la NR n'était pas présente, M. le Maire a convoqué en catastrophe le correspondant de ce journal. Qui est venu lors de la réunion qui a suivi la visite. Et comme nous ne voulions pas écrire des "conneries", nous avons attendu un renseignement que la Sitram devait nous communiquer... nous attendons encore ! D'où un important retard pour un article qui au départ était un scoop.... Et la surprise de voir un article dans la NR du 4 août. Alors, avec mon confrère de l'Echo nous avons décidé de passer notre texte et sans aucune modification. Mais avec du retard... On va finir par croire que, dans cette commune, certains ont l'information sélective ! |
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Dans l'Echo du Centre du 7 août 2001 ![]() |
Madame
la Préfète à la SITRAM. Une visite chargée de lever quelques ambiguïtés. Le
25 juillet dernier, Madame Anne Boquet, Préfète de l'Indre,
effectuait avec différents fonctionnaires, dont ceux de la DRIRE,
et le maire de Saint-Benoît, une visite dans les locaux de l'usine
SITRAM de Saint-Benoît-du-Sault. |
Pour une SITRAM aux normes
Anne Boquet, préfète de l'Indre a visité l'usine
SITRAM de Saint-Benoît-du-Sault, accompagnée de deux inspecteurs
de la Direction régionale de l'industrie et de la recherche (DRIR). |
Dans la NR du 27 juillet Voila au moins un article qui n'a pas déplu à M. le Maire... |
Dans la NR du 29 août 2001, page 2 : |
Ah,
le bien bel article que celui que nous avons trouvé dans la NR.
Notre nouveau maire a des points de vue sur tout, des concerts de musique
sacrée aux bovins de toutes races... Mais ici, il nous avoue enfin une chose dont les bénédictins n'avaient pas dû se rendre compte : Il est en train de tout apprendre... Et oui, comme pourrait le dire notre Président de la République, savoir flatter le cul des vaches demande un long apprentissage ! Ce n'est pas en deux années et demie de présence dans une commune que l'on peut arriver, dans l'Indre, à la maestria dont fait encore preuve, dans ce domaine, le grand Jacques en Corrèze. |
Après
la foire aux ovins qui s'est déroulée le 4 août dernier,
SaintBenoît se replonge dans les «bêtes à concours»,
le 1er septembre, avec sa 11è foire-concours de reproducteurs limousins
et charolais. L'occasion pour vingt-deux éleveurs de montrer leur travail
au public. Avec environ cent vingt bovins attendus samedi, la fréquentation
devrait être équivalente à celle de l'an passé,
«ce qui, compte tenu de la situation actuelle
des élevages, représente une démarche réellement
volontariste et tournée vers l'avenir» indique le maire
Marc Dumont. Les crises de la vache folle et l'épizootie de fièvre
aphteuse ont en effet suffisamment atteint le marché bovin pour que
«l'envie de se rendre à cette foire soit
saluée. C'est pour nous une gageure de faire aussi bien que la dixième
édition.»
La journée commencera très tôt pour les participants avec
dès 6 h 30 la réception des animaux pour le contrôle sanitaire.
La foire proprement dite rythmée par les ventes commencera à
8 h et durera toute la matinée. La préfète Anne Boquet,
présente l'an dernier, et Louis Pinton, président du conseil
général, sont attendus à 11 h pour une visite officielle.
A midi, un repas de foire sera servi dans l'ancien collège. Le tirage
des primes aux acheteurs ainsi que la remise des coupes auront lieu au cours
de ce repas.
Cette onzième foire est importante à plus d'un titre. Elle doit
d'une part rendre compte de la volonté du monde agricole à refaire
surface, et elle est aussi la première foire aux bovins organisée
par la nouvelle municipalité. «Cette édition
nous livrera les enseignements nécessaires à l'organisation
des prochaines foires» précise Marc Dumont. Côté
visiteurs, même si beaucoup de touristes achèvent en ce moment
leur séjour dans l'Indre, on s'attend comme d'habitude à ce
que la place du marché soit bien investie.
Si la foire de Saint-Benoît a vu par le passé plus de deux cents
bêtes envahir la place de Verdun, gageons que samedi, la qualité
et la convivialité seront comme toujours au rendez-vous.
Séverine PENIN. "
Et oui, en ce qui concerne le succès de cette foire, heureusement que ce n'est pas une foire aux porcins, car on pourrait dire qu'il a une fâcheuse tendance "à compter les andouilles dans le ventre du cochon"!
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